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Julieta Brodsky Hernández

Julieta Brodsky Hernández, née le à Santiago, est une anthropologue et femme politique chilienne. Elle est ministre des Cultures, des Arts et du Patrimoine entre le et le .

Julieta Brodsky Hernández
Illustration.
Julieta Brodsky Hernández en 2022.
Fonctions
Ministre chilienne des Cultures, des Arts et du Patrimoine
–
(11 mois et 27 jours)
Président Gabriel Boric
Gouvernement Boric
Prédécesseur Consuelo Valdés Chadwick
Successeur Jaime de Aguirre
Biographie
Nom de naissance Javiera Alejandra Toro Cáceres
Date de naissance
Lieu de naissance Santiago (Chili)
Nationalité Chilienne
Parti politique Convergence sociale
Diplômée de Université de Grenade
Profession Anthropologue

Biographie

Julieta Brodsky Hernández nait le , elle est la fille de Pablo Augusto Brodsky Baudet et de Paula Hernández Solimano. Elle est la petite-fille du journaliste Luis Hernández Parker (es).

Elle étudie l'anthropologie sociale et culturelle à l'Université de Grenade en Espagne, et diplômée du Master en anthropologie urbaine de l'Universidad Academia de Humanismo Cristiano[1].

Elle est Ă©galement titulaire d'un diplĂ´me en promotion et gestion des droits culturels, et depuis 2011, elle est directrice de recherche Ă  l'Observatoire des politiques culturelles (OPC). Elle est Ă©galement membre de l'Association culturelle Tramados[1].

Recherches

Julieta Brodsky est co-autrice de diverses études publiées dans le domaine culturel, telles que « Le scénario du travailleur culturel au Chili »[2], « Le rôle des politiques publiques dans les conditions de travail des musiciens au Chili »[3] et « Comment il a soutenu le théâtre au Chili ? Elle a également rédigée le document « Agenda Trama : Recommandations pour le développement des arts au Chili ».

Parcours politique

En janvier 2022, elle est désignée ministre des Biens nationaux par le nouveau président Gabriel Boric[1] et est investie immédiatement après lui le 11 mars suivant.

Elle est une ardente critique de la politique culturelle du gouvernement de Sebastián Piñera, dont elle a accusée que « la culture n'était pas un portefeuille prioritaire pour cette administration, ni une volonté de poursuivre le chemin des transformations entamé avec le second mandat de Bachelet »[4]. Elle est également critique de l'État d'Israël, évoquant qu'« Israël est un État génocidaire, point final »[4].

Références

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