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Jill St John

Jill Arlyn Oppenheim, dite Jill St John, est une actrice américaine née le à Los Angeles (Californie, États-Unis). Elle est surtout connue pour son rôle de Tiffany Case dans Les diamants sont éternels, un James Bond sorti en 1971.

Jill St. John
Description de cette image, également commentée ci-après
Jill St. John dans (en) Honeymoon Hotel , en 1964.
Nom de naissance Jill Arlyn Oppenheim
Surnom Jill St. John
Naissance
Los Angeles (Californie), Drapeau des États-Unis États-Unis
Nationalité Américaine
Profession Actrice

Biographie

DĂ©buts

Jill St John est née Jill Arlyn Oppenheim à Los Angeles, de confession juive, fille d'Edward Oppenheim (1912-1986), un propriétaire prospère de restaurant, et de son épouse Betty Lou (née Goldberg, 1912-1998)[1] - [2].

Petite fille, elle suit des cours de danse au Children's Ballet Company avec Natalie Wood et Stefanie Powers. Elle est déjà actrice à 6 ans à la radio.

En 1949, âgée de 9 ans, elle fait ses débuts dans un film et dans un spectacle à la télévision. Elle apparaît ensuite à 11 ans dans plusieurs épisodes de feuilletons et séries télévisées.

La toute jeune fille suit des cours en matinĂ©e pour les enfants du show-business Ă  la Hollywood Professional School (connue aussi sous le nom de « Hollywood Conservatory of Music and Arts Â») ; elle y dĂ©croche prĂ©cocement (Ă  14 ans) son diplĂ´me de fin d'Ă©tudes. C'est Ă  cette Ă©poque de l'adolescence que sa mère change le nom de sa fille pour qu'il ait une consonance hollywoodienne : St John[1].

Élève brillante, Jill s'inscrit à l'université de Los Angeles (UCLA) à l'âge de 15 ans. En parallèle, elle joue dans plusieurs spectacles radiophoniques dont One Man's Family[3].

Studios de cinéma

En , elle signe chez Universal Pictures un contrat de sept ans, rémunéré 200 dollars par semaine.

En 1958, elle fait ses débuts au cinéma dans Summer Love, tout en continuant de se produire à la télévision, notamment dans des épisodes de The Christophers, Schlitz Playhouse et DuPont Show of the Month[3].

Elle enchaĂ®ne sur une signature auprès de la 20th Century Fox qui tente de faire d'elle une Ă©toile. Elle figure au gĂ©nĂ©rique de plusieurs productions pour « des rĂ´les de starlette Â», selon ses dĂ©clarations : The Remarkable Mr. Pennypacker en 1959, Holiday for Lovers la mĂŞme annĂ©e et The Lost World en 1960[4].

En 1961, elle travaille ponctuellement pour la Warner Bros. dans The Roman Spring of Mrs. Stone (le Visage du plaisir) et, l'année suivante, dans Tender Is the Night.

Le , elle Ă©pouse l'acteur Robert Wagner.

Actions caritatives

Jill St John prend la suite de sa mère Betty Oppenheim pour s'occuper de diverses associations fournissant des aides d'urgence aux nĂ©cessiteux, telles (en) « People Helping People USA Â», « Sylmar Valley Earthquake Â», (en) « Care America Â» devenu (en) « People Helping People, USA Â» ou « Screen Smart Set Â».

Vie privée

Jill St John se marie quatre fois :

Entre ses mariages, St. John a entretenu une liaison avec Henry Kissinger et George Lazenby.

Filmographie sélective

Frank Sinatra et Jill St John dans Tony Rome, 1967

Cinéma

Télévision

Distinctions

Voix françaises

Katy Vail dans Batman (Ă©pisodes 1 et 2 dans le rĂ´le de Molly)

Notes et références

  1. « Jill St. John - The Private Life and Times of Jill St. John. Jill St. John Pictures. », sur www.glamourgirlsofthesilverscreen.com (consulté le )
  2. (en) Variety Staff, « Betty Lou Oppenheim, dead at 85 », sur Variety, (consulté le )
  3. Lovely Jill Goes Up the Hill to Stardom: JILL ST. JOHN 'High-Q' No Problem Hopper, Hedda. « Los Angeles Times Â», 28 septembre 1958 : E1
  4. Too Many Jacks for Jill: Hollywood's most irrepressible redhead says she likes the idea of marriage, but... Goldberg, Hyman. Los Angeles Times 5 Jan 1964: B12.

Voir aussi

Liens externes

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