Institut médical de traumatologie et de réadaptation
L'Institut médical de traumatologie et de réadaptation (IMTR) est un hôpital situé à Loverval, Gerpinnes, inauguré en 1962. Il fait partie du groupe "Grand Hôpital de Charleroi".
| Institut médical de traumatologie et de réadaptation | ||
 Vue de l’hôpital | ||
| Présentation | ||
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| Coordonnées | 50° 22′ 36″ nord, 4° 29′ 08″ est | |
| Pays | .svg.png.webp){kind=small} Belgique |
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| Ville | Loverval | |
| Adresse | Rue de Villers 1 6280 Loverval |
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| Fondation | 1962 | |
| Site web | http://www.ghdc.be/ | |
| Services | ||
| Service d’urgences | Oui | |
| Spécialité(s) | Grands brûlés | |
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Histoire
Le projet de construction de ce centre médical nait en 1947, de l'initiative de la société Solvay, afin de soigner les ouvriers des usines de la région de Charleroi. En 1955, les études en vue de la réalisation du projet débutent. L’hôpital est ouvert en 1962[1].
Il se spécialise particulièrement dans le soin apporté aux grands brûlés, et devient le premier hôpital de ce type en Belgique dans les années 1970. Conformément à sa vocation initiale, il soignait alors les ouvriers de la sidérurgie blessés par brûlures[2].
En 1980, de nouveaux travaux sont réalisés sur le site[3].
En 2016, l'institut médical prend en charge plusieurs blessés des attentats du 22 mars à Bruxelles[4] - [5].
En 2017, l’hôpital crée la première "banque de peau" de Wallonie[6].
Notes et références
- « La Trilogie de l’IMTR (1) : Mine d'Histoires » (consulté le )
- « Loverval: l'IMTR, un centre à la pointe pour le traitement des grands brûlés », RTBF Info, (lire en ligne, consulté le )
- « La Trilogie de l’IMTR (3) : Mine d'Histoires » (consulté le )
- (en) http://www.telesambre.be, « Un an après les attentats, le personnel de l'IMTR se confie sur les quatre patients soignés à Loverval - Télésambre » (consulté le )
- « Quatre victimes des attentats soignées au Centre des Grands Brûlés de Loverval », RTBF Info, (lire en ligne, consulté le )
- « L’IMTR de Loverval a créé la première banque de peau de Wallonie », L'avenir, (lire en ligne, consulté le )