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Harald Glööckler

Harald Glööckler de son vrai nom Harald Glöckler[1], né le [2] à Maulbronn[3], est un styliste et entrepreneur allemand, particulièrement connu pour ses créations en strass et étincelantes[4].

Harald Glööckler
Description de cette image, également commentée ci-après
Harald Glööckler en 2019
Naissance
Maulbronn, Drapeau de l'Allemagne Allemagne
Nationalité Drapeau de l'Allemagne Allemand
Profession
Autres activités

La marque de Glööckler est un motif de couronne, souvent complété par un lettrage Pompöös.

Biographie

Les parents de Glööckler étaient propriétaires d'un restaurant. Il a un frère de deux ans son cadet[5]. Selon ses informations, sa mère est décédée à l'âge de 24 ans, à la suite d'un accident domestique provoqué par son père. Officiellement, un accident a été signalé comme cause de décès. Il ne communique pas, durant les treize années suivantes jusqu'à sa mort en 1992, avec son père[6] - [7].

Carrière professionnelle

Glööckler s'intéressait déjà à la mode dans sa jeunesse et cousait des robes de soirée pour des connaissances. Il a terminé un apprentissage en tant que vendeur au détail dans le magasin de mode Sämann et a d'abord été actif en tant que vendeur dans le département des hommes d'une entreprise à Mühlacker. Le , il ouvre avec son associé et directeur, la pourvoirie masculine Dieter Schroth, l'entreprise de mode « Jeans Garden » à Stuttgart, où ils vendent principalement des jeans et des chemises conçus par Glööckler[8]. Plus tard, le nom de l'entreprise de mode est changée en « Pompöös ». En 1990, les deux associés fondent une marque de mode sous le même nom.

En 1994, ils ont organisé le premier défilé de mode dans le nouveau château de Stuttgart[9]. Pour le défilé de mode, une chanson a été produite avec le titre Pompöös est ma vie, à laquelle un clip a été filmé[10].

En 1997, Glööckler a été invité à Hong Kong pour présenter son défilé de mode à l'occasion du 10e anniversaire du salon professionnel Interstoff Asia.

En l'an 2000, Glööckler déménage de Stuttgart à Berlin. Là, en 2002, il a équipé la revue de Noël « Jingle Bells » dans le Friedrichstadt-Palast avec ses créations et conçu environ 350 costumes pour les danseurs.

En , le designer a présenté pour la première fois ses peintures et ses sculptures lors d'un grand vernissage à la galerie Mensing de Berlin. Les travaux ont coûté jusqu'à 50 000 euros[11].

Notes et références

  1. « Justizportal - Verfahren », sur www.handelsregisterbekanntmachungen.de (consulté le )
  2. « Biografie Harald Glööckler », (version du 16 décembre 2011 sur Internet Archive)
  3. « Drucken: Das Prinzip der Pompö(ö)sität - Prachtvolle Mode von Harald Gööckler in den Schmuckwelten - Nachrichten - Pforzheim - Pforzheimer Zeitung », (version du 31 mai 2010 sur Internet Archive)
  4. (de) « König des Blingbling », sueddeutsche.de, (ISSN 0174-4917, lire en ligne, consulté le )
  5. « Das dunkle Geheimnis von Modedesigner Harald Glööckler: », BZ Berlin, (lire en ligne, consulté le )
  6. (de) « Der Möödeprinz », stern.de, (lire en ligne, consulté le )
  7. (de) « Der Freund der reifen Damen », sueddeutsche.de, (ISSN 0174-4917, lire en ligne, consulté le )
  8. (en) « Mediengruppe RTL Deutschland - Kommunikation », sur kommunikation.vox.de (consulté le )
  9. « Designlabel Pompöös: Hausbesuch bei Modeschöpfer Harald Glööckler | FTD.de », (version du 15 juin 2012 sur Internet Archive)
  10. (de) « Ein Leben in Goldbrokat », Der Tagesspiegel Online, (ISSN 1865-2263, lire en ligne, consulté le )
  11. (de) « Harald Glööckler als Maler: Bis 50 000 Euro für ein Bild | TIKonline.de », sur www.tikonline.de (consulté le )

Liens externes

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