Hans Wicki
Hans Wicki, né le à Lucerne (originaire de Menznau et de Horw), est une personnalité politique suisse du canton de Nidwald, membre du Parti libéral-radical (PLR).
Hans Wicki | |
Portrait officiel, 2019. | |
Fonctions | |
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Conseiller aux États | |
En fonction depuis le | |
Élection | 8 novembre 2015 |
RĂ©Ă©lection | 20 octobre 2019 |
LĂ©gislature | 50e et 51e |
Prédécesseur | Paul Niederberger |
Conseiller d'État du canton de Nidwald | |
– | |
Élection | 7 mars 2010 |
RĂ©Ă©lection | 9 mars 2014 |
Successeur | Josef Niederberger |
Biographie | |
Date de naissance | |
Lieu de naissance | Lucerne |
Nationalité | Suisse |
Parti politique | Parti libéral-radical |
Diplômé de | Université de Zurich |
Il siège au Conseil des États depuis fin 2015.
Biographie
Hans Wicki naît le à Lucerne. Il est originaire de deux autres communes lucernoises, Menznau et Horw[1].
Études et carrière professionnelle
Hans Wicki grandit à Hergiswil et Wolfenschiessen et fréquente le Collège Saint-Fidelis à Stans entre 1979 et 1986[2]. De 1992 à 1997, il étudie à l'université de Zurich et obtient une licence en économie[2].
Il est ensuite employé par deux banques puis devient gestionnaire d'une société d'ingénierie électrique présente en Suisse et en Afrique du Sud.
Parcours politique
Communal et cantonal
De 2000 à 2010, il est membre du conseil communal de Hergiswil, qu'il préside de 2006 à 2010[2]. En juillet 2010, il entre au gouvernement du canton de Nidwald et prend la direction des travaux publics[2] et sert comme adjoint du directeur financier. En 2014-2015, il assure la charge de suppléant du Landaman (Landesstatthalter) puis celle de Landaman en 2015-2016.
Conseiller aux États
Le , il est élu pour représenter son canton au Conseil des États. Le , à la suite du retrait de Johann Schneider-Ammann, il annonce sa candidature pour lui succéder au Conseil fédéral[3], mais échoue dès le premier tour de l'élection remportée par sa colistière[4].
Parmi ses liens d'intérêts, Hans Wicki est actif au sein de quatorze entreprises et organisations[5], notamment dans l'automobile et l'industrie[6]. Il est notamment président du comité de Construction suisse et président du conseil d'administration de la société des remontées mécaniques Engelberg-Trübsee-Titlis[5].
Selon la Radio télévision suisse, il n'a pas souhaiter dévoiler le total de ses revenus, mais son mandat aux remontées mécaniques Engelberg-Trübsee-Titlis lui rapporte 116 000 CHF par an[6].
Notes et références
- (de) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en allemand intitulé « Hans Wicki » (voir la liste des auteurs).
- « Biographie de Hans Wicki », sur le site de l'Assemblée fédérale suisse.
- (de) « Persönliches », sur wickihans.ch (consulté le )
- « Hans Wicki est candidat au Conseil fédéral », sur 24heures.ch, (consulté le ).
- « Journée historique à Berne avec l’élection de deux femmes au Conseil fédéral », sur rts.ch, (consulté le ).
- « Hans Wicki », sur lobbywatch.ch (consulté le ).
- Valentin Tombez, Alexandra Richard et Tybalt Félix, « Pour qui roulent les candidats au Conseil fédéral ? », sur rts.ch, (consulté le ).
Liens externes
- Site officiel
- Ressources relatives Ă la vie publique :
- Notice dans un dictionnaire ou une encyclopédie généraliste :
- Profil Smartvote 2019