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HĂ´tel de Lunas

L’hôtel de Lunas ou hôtel d'Hébrard est un hôtel particulier situé, dans le centre-ville de l'Écusson, à Montpellier (Hérault).

HĂ´tel de Lunas
HĂ´tel d'HĂ©brard
Présentation
Type
Architecte
Construction
XVIe siècle
Propriétaire
Établissement public de l'État.
Patrimonialité
Localisation
Pays
RĂ©gion
Subdivision administrative
Commune
Adresse
10, rue de la Valfère, 16, rue Poitevine et 3, boulevard Ledru-Rollin
Coordonnées
43° 36′ 37″ N, 3° 52′ 22″ E
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Il a connu, depuis le XVIe siècle, différents propriétaires qui ont chacun modifié et agrandi la grande maison d'origine pour en faire un hôtel aux attraits particuliers. La moitié de ces illustres acquéreurs ont laissé leurs noms dans les rues de la ville. Pierre Sabatier (1892-1989), de la famille Sabatier d'Espeyran, a fait don de l’historique hôtel de Lunas.

Propriété de l'État depuis 1974, il est géré et animé par le centre des monuments nationaux du Ministère de la Culture.

Situation

L'entrée principale de l'hôtel de Lunas est située au no 10 de la rue de la Valfère. La porte cochère à l'arrière de l'hôtel est visible depuis le boulevard Ledru-Rollin, qui fut jadis, en 1825, nommé boulevard Saint Guilhem[1] et le jardin est partiellement visible sur l'angle avec la rue Poitevine, qui a porté le nom de rue Saintonge en 1803[2].

Accès

Ligne de tramway (M)   4 

L'HĂ´tel de Lunas est accessible, aux arrĂŞts : Peyrou - Arc de Triomphe, par la ligne de tramway (M)   4  et par les lignes de bus (M)  6  7. Deux stations de VĂ©lomagg' (M) sont disponibles. L'une au no 7 de la rue Foch, l'autre au bas de l'avenue Ledru-Rollin. Étant sur la partie haute de Montpellier, deux ascenseurs[3] (43° 36′ 40,75″ N, 3° 52′ 20,64″ E) ont Ă©tĂ© amĂ©nagĂ©s pour offrir l'accès Ă  l'Arc de Triomphe pour les personnes Ă  mobilitĂ© rĂ©duite[4] (M). Les documents en consultation, tel que celui de l'office de tourisme[5], n'indiquent pas une contre-indication de visite du rez-de-chaussĂ©e et du jardin de l’hĂ´tel de Lunas. Des espaces Modulauto[6] (M) sont accessibles au parking de l'Arc de triomphe.

Description du quartier

L'Ă©glise Sainte-Anne

L’hôtel de Lunas se situe dans le quartier de la Valfère[7], ce nom trouve son origine dans une ancienne famille noble de Provence « de Valbelle ».

En suivant les notes topographiques des anciens Ă©crits de rĂ©pĂ©rages[8] du XIIe siècle, l'HĂ´tel de Lunas appartient aux sixains de Sainte-Anne et Ă  l'isle du « 1° - 12 Pans ». Cette dernière indication fournie le numĂ©ro du pilier ou « pilars »[9] de maintien du mur de la « clĂ´ture-commune » ou rempart auquel il est adossĂ©, en partant de l'actuel Arc de Triomphe et en allant vers la Tour de la Babotte, d'une largeur de 12 Pans. Le pan est une ancienne unitĂ© de mesure utilisĂ©e dans le sud de la France, valant environ 22 cm. Le chemin de 12 Pans appelĂ©, aussi rue militaire, d'une largeur de 2,60 m Ă©tait le parcours de ronde des troupes Ă  l’intĂ©rieur des remparts.

Les remparts sĂ©parant le bâti des habitations, des servitudes Ă©taient imposĂ©es, notamment l’interdiction de pratiquer des ouvertures sur le chemin. La hauteur des courtines qui composaient les remparts Ă©tait comprise entre 7 et 11 m, celle des piliers Ă©tait d’environ 15 m. L'essentiel des pierres, composĂ©es de calcaire coquillier, provenaient des carrières du village de Pignan (HĂ©rault). Vers l’extĂ©rieur des remparts qui entourent la ville, des douves d'une largeur de près de 25 m Ă©taient prĂ©sentes. Elles reprĂ©sentent l'actuel Boulevard Ledru-Rollin. Au-delĂ  de ces douves, un chemin nommĂ© aussi « dougue »[10] cernait le pĂ©rimètre.

Histoire

Entrée rue de la Valfère.
Vue intérieure sur le jardin.
Vue du balcon du jardin.
Vue de l'aile Sabatier.

Située entre l'ancien chemin des remparts et l’étroite rue de la Valfère, l'histoire de l'hôtel de Lunas commence en 1550 par la construction d’une « grande maison » et d’une petite maison[11] par Denis ou Denys Fontanon[12] († 1547), médecin et docteur en médecine à la faculté de Montpellier[13]. Puis son fils, François Fontanon[14] († 1588), botaniste, professeur, chancelier et régent à la faculté de médecine lui succède[15]. La famille Fontanon a gardé la « grande maison » durant 89 années et blasonnait : « D'or au lion de sable tenant dans sa patte sénestre un cœur de gueules enflammé »[16].

En 1639, Guillaume d’Hébrard[17] (Sieur de Miravaux) et Marguerite d'Hébrard, veuve de Bocaud, se portent acquéreurs des lieux. Les remparts sont encore inféodés, en 1641, à la famille Hébrard en échange de leurs entretiens. Ils demeurent la propriété du roi et le chemin ne peut être obstrué. Des travaux sont réalisés à partir de 1671. La transformation du bâtiment est constitué de trois corps en forme de « U ». La bâtisse centrale se trouve au fond d’une cour d’honneur, qui donne à l’est sur l’actuelle rue de la Valfère. À l'intérieur du bâtiment, la cour ouvre sur un escalier d’honneur qui conduit aux salles de réception du 1er étage. La façade du côté des remparts, à l’ouest, est aveugle pour des raisons militaires. Le corps latéral, au sud, est séparé de la rue Poitevine par des maisonnettes et des jardins. Au nord, le corps latéral est mitoyen avec un autre bâtiment. L'ensemble de ces travaux sont réalisés par Antoine Giral et Antoine Laurens[18].

Soixante huit années plus tard, en 1707, Henry de Bosc (1684-1753), conseiller à la cour des comptes, aides et finances de Montpellier achète l'hôtel de la Valfère qui est renommé hôtel de Bosc. L'expansion des travaux[18] prend de l'essor[19] l'année suivante, à la suite des achats des maisons adjacentes. Celles de : Jean Poujol, Moïse Couve, François Diette, Jean Restouble, Pierre André, Louise Sabatié (sa femme) à l’exception de celle située à l’angle des rues de la Valfère et Poitevine. Il fait alors construire une aile d’un étage adossée à la rue de la Valfère, des aménagements au rez-de-chaussée sont réservés aux espaces de service. Au 1er étage, c’est l’espace de réception par excellence, il est entièrement occupé par une grande galerie de bal au décor somptueux. Sept fenêtres à plein cintre ouvrent sur le jardin à la française, sept miroirs leur font face. Entre les fenêtres et les miroirs sont encastrés douze panneaux de laque représentant les douze mois de l’année. La servitude relative à l'utilisation du chemin des douze pans et aux remparts ayant disparu pour l'élévation. Henry de Bosc empiète sur le chemin de ronde et fait adosser le bâti au rempart, dans lequel il fait creuser certaines niches qui feront office de placard. Dans les sous-sols, le chemin de ronde est cependant conservé et sa trace est encore visible.

En 1737, Antoine Jean Viel[20] (1696-1742), seigneur de Lunas[21], fait l'acquisition de l'hôtel particulier[22]. Lié en second mariage à Thérèse de Montcalm-Gozon, la somptueuse maison est nommée « Hôtel de Lunas ». Un parement de façade est apposé dans la cour d’honneur représentant le blason familial[23].

Sans travaux particuliers réalisés durant trente deux années, c'est en 1769 que Guillaume Granier[24] (1732-1817), marchand de laine et fournisseur des armées[25], achète l'hôtel de Lunas. En 1780, le marquis de Cambis[26], sous-commandant de la province à la mort de M. de Moncan[27], trouva l'hôtel à sa convenance et le loua. Il obtint l'autorisation du maréchal de Ségur d'ouvrir une porte dans le rempart qui devrait être fermée lors de son départ. À la suite du complet démantèlement des remparts en 1791[28] qui ont commencé, la famille Granier achète, en 1796, le fossé situé à proximité. Les travaux d'extension permettent de percer les remparts sur la façade occidentale de l’hôtel, de combler les dénivelés dans le jardin, de créer un escalier de communication avec la cour des communs ou arrière et d'aménager une petite chambre au fond de la salle de bal.

Les affaires de la famille Granier périclitent. Pour alléger ses dépenses, durant les années 1843-46, le petit-fils de Guillaume Granier, Zoé Granier, offre à son gendre Félix Sabatier (1816-1894), qui a épousé Marie Sabatier-Granier (1818-1898), la gratuité de la location pendant dix années en échange de travaux. En 1842, Félix Sabatier achète la maison « Doumergue », située à l’angle des rues de la Valfère et Poitevine. Il fait intégrer ce nouvel achat à l’aile construite dans la rue de la Valfère par Henry de Bosc, à laquelle, il fait ajouter un second étage réservé à la domesticité.

Avec l’aide de l’architecte Omer Lazard et de l’ébéniste Monbro, il fait modifier l'agencement des pièces. Une entrée indépendante est ouverte dans la rue Poitevine. A l’entresol sont aménagées deux petites chambres réservées au valet et à la femme de chambre. Le rez-de-chaussée est réaménagé dans le goût parisien et devient l’espace de réception avec deux salons et une salle à manger. La galerie de bal du 1er étage est transformée en deux appartements symétriques pour Marie et Félix Sabatier. En 1855, il devient propriétaire des lieux. Il fait réaliser de grands travaux qui vont donner l'aspect définitif à l’hôtel de Lunas. Ces derniers permettent la construction d'un second commun, puis l'aménagement d’une cour de service et l'installation d’un portail monumental ouvrant sur le boulevard Vialleton.

En 1894, le neveu de Félix Sabatier, Guillaume devient le nouveau propriétaire des lieux. Peu de travaux sont réalisés, si ce n'est en 1907, où le jardin est transformé en détruisant les rocailles mises en place vers 1859.

Pour compléter la saga des frères Sabatier, qui a duré 132 ans (1842-1974) au sein de l'hôtel de Lunas, des informations complémentaires sont à mentionner[29]. Au décès de leur père, ils sont élevés dans la rigueur par l'abbé Roques. les trois frères portant les mêmes initiales, ils vont se distinguer par des compléments à leurs noms. Le cadet, François Sabatier (1818-1891), marié à Caroline Ungher (1803-1877), s'est fait désigner « Sabatier de la Tour » en référence au château de la Tour de Farges, situé sur la commune de Lunel-Viel. Félix Sabatier (1816-1894) est resté un simple Sabatier. L'ainé, Frédéric Sabatier (1813-1864) s'est fait appeler « Sabatier d’Espeyran », en rapport avec la propriété du château d'Espeyran, qui est situé en Camargue, sur la commune de Saint-Gilles-du-Gard.

Hommages aux propriétaires

L'administration de la ville et l'Académie des sciences et lettres de Montpellier ont décidé de créer un prix intitulé « Prix Sabatier d'Espeyran[30] ». Ce prix annuel concerne des travaux ou des réalisations ayant un lien avec Montpellier ou sa proche région, y avoir été effectués ou mis en place ou la concerner et se rattacher à l’un des trois domaines suivants : sciences fondamentales et leurs applications, santé, sciences humaines prises au sens large (littérature, droit, économie, arts…). Chacun de ces domaines étant concerné à tour de rôle tous les trois ans.

Le conseil municipal a nommé plusieurs voies dans la ville de Montpellier :

  • Rue Fontanon. (43° 36′ 45,93″ N, 3° 52′ 32,04″ E)
  • Rue Granier. (43° 35′ 53,36″ N, 3° 51′ 59,27″ E)
  • Avenue FrĂ©dĂ©ric Sabatier d'Espeyran. (43° 37′ 30,66″ N, 3° 51′ 50,64″ E)

Deux autres voies aux noms de « Granier » n'ont pas de liens directs avec la demeure historique :

  • Place Ernest Granier[31]. (43° 36′ 07,31″ N, 3° 54′ 03,38″ E)
  • Rue du Professeur Jean Granier (43° 35′ 52,65″ N, 3° 52′ 02,74″ E)

Description

Ce bâtiment fait l’objet de plusieurs protections au titre des monuments historiques: une inscription pour son grand escalier d'honneur par arrêté du et d'un classement des façades et des toitures, ainsi que divers salons par arrêté du [32].

Administration

L'édifice est géré, depuis 1974, par le Centre des monuments nationaux, sous l'égide de son administratrice : Marie-Laure Fromont[33], assisté de Gilles Yanetti. Un professeur certifié hors classe est responsable du service éducatif auprès de l'hôtel de Lunas[34].

Des structures ou sociétés sont domiciliés[35] à l'hôtel de Lunas. Afin d'amoindrir les frais d'entretien, l'aile nord est en location, depuis l'an 2000, à une SCP d'Avocats[36] inscrits au barreau de Montpellier, depuis 1992, à une structure d'architecture[37] et des sociétés de conseils de gestion et activités des sièges sociaux[38].

Publications

Liste non exhaustive. (Classement réalisé par années d'éditions)

  • Louis Grasset-Morel, Montpellier, ses sixains, ses Ă®les, ses rues, ses faubourgs, Montpellier, Louis Vallat, (rĂ©impr. 1989), 523 p., 21 Ă— 15 cm (ISBN 2-86971-089-5, prĂ©sentation en ligne, lire en ligne), p. 68
  • Albert Leenhardt, Vieux hĂ´tels montpelliĂ©rains, Bellegarde (Ain), Impr. Sadag, (rĂ©impr. 1984), 332 p., In. 4° (OCLC 66688979, prĂ©sentation en ligne), p. 177 Ă  183
  • Pierre Sabatier, « HĂ´tel de Lunas », Vieilles maisons françaises,‎ , p. 13-16 (EAN 2000099403988, OCLC 473752719, prĂ©sentation en ligne)
  • Jean-Denis Bergasse (rassemblĂ©s par), Hommage Ă  Jacques Fabre de Morlhon (1913-1976), mĂ©langes historiques et gĂ©nĂ©alogiques, Rouergue, Bas-Languedoc : Le conseiller Henri de Bosc (1684-1753) et son hĂ´tel de la Valfère, Albi, Ateliers professionnels de l'O.S.J., , ill., 478, 24 cm (prĂ©sentation en ligne), p. 193
  • HĂ©lène PalouziĂ©-Gouedar, Inventaire gĂ©nĂ©ral des monuments et richesses artistiques de la France (photogr. Michel Descossy, Jean-Michel PĂ©rin), Gignac : un canton de la moyenne vallĂ©e de l'HĂ©rault : Le patrimoine mobilier : de l'objet aux ensembles, Montpellier, Association pour la connaissance du patrimoine en Languedoc-Roussillon, coll. « Images du patrimoine », , 96 p., 30 cm (ISBN 2-907276-00-X, SUDOC 002666766, prĂ©sentation en ligne), p. 82-86
  • Bernard Sournia et Jean-Louis Vayssettes (ill. Michel AntonpiĂ©tri, VĂ©ronique Marill, photogr. Michel Descossy, Jean-Michel PĂ©rin), Montpellier : la demeure classique, Paris, Imprimerie nationale, coll. « Cahiers du patrimoine n°38 », , ill. 257, 336, 28 Ă— 21 cm (ISBN 2-11-081368-7, SUDOC 003449025, prĂ©sentation en ligne, lire en ligne), p. 251 et 281
  • Jean-Pierre Dufoix, L'hĂ´tel de Lunas : huit siècles d'histoire : 1. Les hommes, t. 30, Montpellier, Imp. Quick Print, coll. « Bulletin de l'AcadĂ©mie des Sciences et Lettres de Montpellier », , 448 p., 16 Ă— 24 cm (ISSN 1146-7282, prĂ©sentation en ligne), p. 195-208
  • Bruno Saunier, Bulletin de la SociĂ©tĂ© d'Histoire de l'Art Français : L'hĂ´tel de Lunas Ă  Montpellier : ameublement et dĂ©cor sous la Monarchie de Juillet, Paris, Éditions de Boccard, coll. « SHAF », , 406 p., 22 Ă— 27 cm (ISSN 0301-4126, prĂ©sentation en ligne), p. 221-239
  • Dominique Larpin et P. Durand, Etude rĂ©alisĂ©e pour la DRAC Languedoc Roussillon et le Centre des monuments nationaux, HĂ´tel de Lunas : Étude prĂ©alable Ă  l'ouverture au public de l'aile Sabatier, Montpellier, s.n., coll. « Bulletin de l'AcadĂ©mie des Sciences et Lettres de Montpellier », , 23 p. ill. en coul. 16, 30 cm
  • RenĂ© Koering et Adrien Goetz (dir.), 100 monuments, 100 Ă©crivains : HĂ´tel de Lunas, Paris, Éditions du patrimoine, , 488 p., 23,5 Ă— 29,5 cm (ISBN 978-2-7577-0057-0, prĂ©sentation en ligne, lire en ligne [PDF]), p. 400
  • Alexandre Melissinos, Vivek Pandhi, Gilles SĂ©raphin et Christine Ancey, Ministère de la culture et de la communication, Approches de Topographie historique : Les services de l'État dans l'HĂ©rault (Plan de sauvegarde et de mise en valeur), Montpellier, , 445 p., 21 Ă— 29,7 cm (lire en ligne [PDF]) Document utilisĂ© pour la rĂ©daction de l’article
  • HĂ©lène PalouziĂ© et al., Ministère de la Culture et de la Communication (photogr. Jean-Michel PĂ©rin), Regards sur l'objet Monument historique en Languedoc : Ĺ’uvres d'art, dĂ©cors et ensembles historiques, Montpellier, Direction rĂ©gionale des affaires culturelles, , 84 p., 30 cm (ISBN 978-2-11-138377-7, lire en ligne [PDF])

Notes et références

  1. « Plan du centre de Montpellier, 1825 », sur le site montpellier.fr (consulté le 5 décembre 2016)
  2. Note de l'ouvrage : Montpellier, ses sixains, ses îles, ses rues, ses faubourgs., p. 69.
  3. « La nouvelle avant-place du Peyrou se dévoile », publié par Nicolas Bonzom, le 29 juin 2016, sur le site 20minutes.fr (consulté le 5 décembre 2016)
  4. « Carte d'aide à l'accessibilité », sur le site handimap.org (consulté le 5 décembre 2016)
  5. [PDF] « Automne 2016, visites guidées de Montpellier », sur le site montpellier3m.fr (consulté le 5 décembre 2016)
  6. « Stations et voitures », sur le site modulauto.net (consulté le 5 décembre 2016)
  7. Jean-Noël Paquot, Mémoires pour servir à l'histoire littéraire des dix-sept provinces des Pays-Bas, de la Principauté de Liege et de quelques contrées voisines, Louvain, Imprimerie Académique, , XII-668 p., In-4° (OCLC 163839081, lire en ligne) (consulté le 30 novembre 2016)
  8. Note de l'ouvrage : Approches de Topographie historique., p. 95.
  9. Note de l'ouvrage : Approches de Topographie historique., p. 58.
  10. Note de l'ouvrage : Approches de Topographie historique., p. 60.
  11. [PDF] Dossier de production (page 12), publié le 3 juillet 2015, sur le site du Lycée Jean-Monnet (consulté le 12 décembre 2016)
  12. Note de l'ouvrage : Montpellier, ses sixains, ses îles, ses rues, ses faubourgs., p. 68.
  13. Louis Dulieu (1917-2003) (Extrait de : « Scalpel », 1966, no 49), Le Professeur Denis Fontanon, Bruxelles, s.n., , 7 p., 26 cm (SUDOC 126592853) (consultĂ© le 12 dĂ©cembre 2016)
  14. J. Belin-Milleron, « Les naturalistes et l'essor de l'humanisme expérimental : de Rondelet au conseiller Peiresc », Revue d'histoire des sciences et de leurs applications, Paris, Presses universitaires de France, vol. 5, no 3,‎ , p. 226 (DOI 10.3406/rhs.1952.2944, lire en ligne, consulté le ) (consulté le 12 décembre 2016)
  15. Marcel Gouron, Matricule de l'UniversitĂ© de mĂ©decine de Montpellier, 1503-1599, Genève, Lib. E. Droz, coll. « Travaux d'Humanisme et Renaissance », , VI-274 p., 17,5 Ă— 25 cm (ISBN 978-2-600-02983-4, ISSN 0082-6081, prĂ©sentation en ligne, lire en ligne [PDF]), p. 122 (consultĂ© le 12 dĂ©cembre 2016)
  16. Famille Fontanon, par Pierre Burlats-Brun, sur le site de la Société de l’histoire du protestantisme français (consulté le 12 décembre 2016)
  17. Henry de Caux, Catalogue général des gentilshommes de la province de Languedoc, vol. 2 parties en 1 vol., Pézénas, Imp. Jean Martel, , [8]-68-92, in-fol. (OCLC 921505011, BNF 30208467, présentation en ligne, lire en ligne), p. 4 (86/181) (consulté le 12 décembre 2016)
  18. Notes d'inventaire du patrimoine, publié sur le site Inventaire Patrimoine culturel (consulté le 12 décembre 2016)
  19. Note de l'ouvrage : Hommage à Jacques Fabre de Morlhon, Le conseiller Henri de Bosc et son hôtel de la Valfère., p. 193.
  20. Antoine Jean Viel de Lunas, sur le site des amisdelunas.fr (consulté le 15 décembre 2016)
  21. Jeannine Osouf (Éditeur scientifique les Amis de Lunas), Lunas au grĂ© de l'alphabet : notes et anecdotes des derniers seigneurs Ă  1950, Sète, FLAM, , 200 p., ill. en noir et en coul., couv. ill. ; 28 cm (ISBN 978-2-917252-99-4, BNF 42768324, SUDOC 165220201, prĂ©sentation en ligne) (consultĂ© le 15 dĂ©cembre 2016)
  22. L'hôtel de Lunas, sur le site des amisdelunas.fr (consulté le 15 décembre 2016)
  23. Les armoiries de Lunas, sur le site des amisdelunas.fr (consulté le 15 décembre 2016)
  24. Pierre Salles (1934-2013), Le passĂ© industriel du Bousquet-d'Orb, S.l., Ass. de sauvegarde du patrimoine du Bousquet-d'Orb, , 194 p., ill., couv. ill. ; 30 cm (ISBN 979-10-91704-33-5, BNF 43632212, SUDOC 17157947X, prĂ©sentation en ligne) (consultĂ© le 15 dĂ©cembre 2016)
  25. Matthieu de Oliveira (1968-...), Lille 3 (Directeur de recherche : Mr Hirsch et Mr Plessis), Argent privĂ© et argent public sur les routes du Nord : rĂ©seaux et flux financiers en Europe du Nord-Ouest de la RĂ©volution Ă  l'Empire, vol. 4 (Thèse de doctorat : Histoire contemporaine), Villeneuve-d'Ascq, Dactylogramme, , 543 p., ill., cartes, plans ; 30 cm (SUDOC 086637819, lire en ligne) (consultĂ© le 15 dĂ©cembre 2016)
  26. Louis Joseph Nicolas, marquis de Cambis a fait partie du « Régiment de Bourbon dragons »
  27. Jean-Baptiste de Marin, comte de Moncan a fait partie du « régiment de Lorraine »
  28. Note du livre : Approches de Topographie historique., p. 58.
  29. [PDF] Conférence de l'Académie des Sciences et Lettres, publié sur le site ac-sciences-lettres-montpellier.fr (consulté le 21 décembre 2016)
  30. [PDF] « Prix Sabatier d'Espeyran », publié sur le site ac-sciences-lettres-montpellier.fr (consulté le 21 décembre 2016)
  31. Ernest Granier a fait partie de l’équipe de Georges Frêche, publié le 22 octobre 2014. (consulté le 21 décembre 2016)
  32. Notice no PA00103573, base Mérimée, ministère français de la Culture
  33. Administratice CMN : Marie-Laure Fromont, sur le site des monuments-nationaux.fr (consulté le 21 décembre 2016)
  34. [PDF] Ministère de l'Éducation nationale : Christine Binvignat, sur le site education.gouv.fr (consulté le 21 décembre 2016)
  35. Domiciliation : 10 rue de la Valfère, sur le site de la laposte.fr (consulté le 21 décembre 2016)
  36. Activités juridiques : SCP Lafont, Carillo, Chaigneau, Bernard et Breuker, sur les sites avocats-montpellier.com et societe.com (consulté le 21 décembre 2016)
  37. Architecte : Jeanne Lollini, sur le site societe.com (consulté le 21 décembre 2016)
  38. Division 70 : Transcanaux (2016), Bmct promotion (2012) et YG Monte Cristo (2004). (consulté le 21 décembre 2016)

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes


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