Guillaume Seignac

Guillaume Seignac entre à l'École des beaux-arts de Paris dans les ateliers de Gabriel Ferrier, de Tony Robert-Fleury, et de William Bouguereau qui exerce une grande influence sur lui, tant dans le choix des thèmes traités que dans la technique utilisée qui accorde une grande importance à la qualité du dessin.

Il expose régulièrement au Salon des artistes français[3], où il est récompensé en 1900 par une mention honorable et en 1903, par une médaille de troisième classe. Les femmes constituent son sujet de prédilection, qu'il peint souvent dévêtues, dans des sujets antiques ou mythologiques.

En 1902, il s'installe au 84 boulevard du Montparnasse à Paris[4].

• Mairie d'Écouen
• San Francisco De Young Museum
• Smith College Museum of Art
• Phoenix Art Museum

• Œuvres de Guillaume Seignac
• 
  L'abandon[5]
• 
  Jeune femme de Pompéi à une terrasse
• 
  Le réveil de Psyché
• 
  Nu au canapé, huile sur toile (55 × 65 cm), vente ADER. 18 mai 2016 Drouot Richelieu.
• 
  Diane, la chasseresse, huile sur toile (56 × 46 cm)

• Dictionnaire Bénézit
• Cécile Ritzenthaler, L'École des beaux-arts du XIX^e siècle : les pompiers, Paris, Mayer, 1987, 335 p. (ISBN 2-85299-002-4)
• Gérard Schurr, Les petits maîtres de la peinture, Éditions L'Amateur, 1989.

• Pierre-Antoine Laurent, Buste de Guillaume Seignac (1907), bronze , musée des Beaux-Arts de Rennes

• Grand jeu de cubes peint par Seignac

• Ressources relatives aux beaux-arts :
  • Musée d'Orsay
  • (en) Bénézit
  • (nl + en) RKDartists
  • (en) Union List of Artist Names
• Notices d'autorité :

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