Georges Képénékian

Georges Képénékian naît le 9 août 1949 dans le 2^e arrondissement de Lyon[1] - [2]. D'origine arménienne, Georges Képénékian est fortement engagé dans la reconnaissance du génocide arménien[3] et ancien membre du conseil de la fondation Léa et Napoléon Bullukian de Lyon. Il est marié et père de trois enfants[4].

Il est chirurgien urologue de profession et directeur de stratégie au centre hospitalier Saint-Joseph Saint-Luc de Lyon depuis 2005[3] - [5].

Adjoint au maire de Lyon à partir de 2008, alors chargé de la culture, des grands événements et des droits des citoyens à partir de 2008, il devient premier adjoint en avril 2014[3]. Il est également conseiller du 3^e arrondissement de Lyon et membre permanent au conseil de la métropole de Lyon[6]. Comme le maire de Lyon, Gérard Collomb, il quitte le PS pour La République en marche[7].

Après la nomination de Gérard Collomb au ministère de l'Intérieur en mai 2017 et l'élection de David Kimelfeld à la tête de la métropole le 10 juillet 2017[8], il est fortement pressenti pour succéder à Gérard Collomb comme maire de Lyon[8] - [9] - [10] - [11] - [12]. Le 17 juillet, il est élu maire par le conseil municipal, avec 49 voix, soit 13 de plus que la majorité absolue[13] - [14].

Georges Képénékian annonce sa démission de la mairie de Lyon le 2 octobre 2018 pour permettre à Gérard Collomb, démissionnaire du gouvernement, de récupérer le fauteuil de maire[15] - [16]. Il demeure en fonction jusqu'à l'élection de son successeur, le 5 novembre 2018[17], puis redevient premier adjoint.

Il est candidat à la mairie de Lyon pour les élections municipales de 2020, à la tête d'une liste qu’il présente comme indépendante, face notamment à celle conduite par Yann Cucherat et soutenue par Gérard Collomb et LREM[18].