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Gare d'Aubel

La gare d'Aubel est une gare ferroviaire belge, fermée, de la ligne 38 de Chênée à Plombières. Elle est située à Aubel dans la province de Liège.

Aubel
Image illustrative de l’article Gare d'Aubel
La gare avant 1919.
Localisation
Pays Belgique
Commune Aubel
Coordonnées géographiques 50° 42′ 10″ nord, 5° 51′ 46″ est
Gestion et exploitation
Services fermée
Caractéristiques
Ligne(s) 38, Chênée à Plombières
Altitude 239 m
Historique
Mise en service
Fermeture voyageurs
marchandises

Aubel est mise en service en 1881 et fermée a tout trafic en 1962. Son bâtiment principal est détruit en 1975.

Situation ferroviaire

Établie à 239 mètres d'altitude[alpha 1], la gare d'Aubel est située au point kilométrique (PK) 32.9 de la ligne 38 de Chênée à Plombières[alpha 2], entre les gares de Froidthier et de Hombourg, s'intercale la halte de Merckhof[2].

Histoire

Le village et la gare avant 1920.

La gare d'Aubel, est ouverte, le , lors de la mise en service de la section de 10,7 km venant de la gare de Battice[3], elle est alors la gare terminus de la ligne[4], a l'extrême limite de la région francophone[5]. Elle devient une gare de passage le , lors de l'ouverture des 10,5 km de la section suivante d'Aubel à Plombières[4].

Au début de la Seconde Guerre mondiale, elle devient en 1940 une gare frontière terminus de la ligne belge[4].

La ligne et donc la gare sont fermées au service des voyageurs le et à celui des marchandises le [2]. Le bâtiment principal est détruit en 1975[1] et les voies sont déposées en 1992[2].

Patrimoine ferroviaire

Sur l'ancienne place de la gare d'Aubel un panneau indicateur d'information marque l'emplacement de la gare en bordure du RAVeL, qui utilise la plateforme ferroviaire. Un coupon de voie avec un locotracteur sont présentés sur ce même site.

  • Locotracteur présenté à l'emplacement de la gare
  • Ets Desbrugères Noyon.
    Ets Desbrugères Noyon.

Notes et références

Notes

  1. Cette altitude provient du site Google Earth.
  2. Avant 1919, Plombières portait le nom germanique de Bleyberg[1].

Références

  1. Camus, CH. et 2013 p.2.
  2. Pandora, « 38 Chênée-Battice-Plombières 38 », sur users.pandora.be, (version du 16 mai 2008 sur Internet Archive).
  3. (nl) Paul Kevers, « Lijn 38 », sur Belgische Spoorlijnen (consulté le ).
  4. Camus, CH. et 2013 p.3.
  5. Camus, CH. et 2013 p.1.

Voir aussi

Bibliographie

  • Philippe Camus (dir.) et Q. CH., « Ligne 38 (suite) », Entre-Voies, no 185,‎ novembre - décembre 2013, p. 4 (lire en ligne, consulté le ).

Articles connexes

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