Friedrich-Georg Eberhardt
Friedrich-Georg Eberhardt (Strasbourg, – Wiesbaden, ), est un Generalmajor allemand qui a servi au sein de la Heer dans la Wehrmacht pendant la Seconde Guerre mondiale.
| Friedrich-Georg Eberhardt | |
| Naissance | Strasbourg, Alsace-Lorraine | 
|---|---|
| Décès | Wiesbaden, Allemagne | 
| Allégeance | .svg.png.webp) Empire allemand .svg.png.webp) République de Weimar .svg.png.webp) Reich allemand | 
| Arme | .svg.png.webp) Reichswehr  Wehrmacht, Heer | 
| Grade | Generalmajor | 
| Années de service | 1910 – 1945 | 
| Commandement | 60e division d'infanterie | 
| Conflits | Première Guerre mondiale, Seconde Guerre mondiale | 
| Faits d'armes | Campagne de Pologne Bataille de Westerplatte Bataille de Grèce | 
| Distinctions | Croix de chevalier de la Croix de fer | 
Jeunesse
Né à Straßburg, en Alsace-Lorraine, il est le fils d'un officier du 138e régiment d'infanterie, Albert Heinrich Eberhardt et de Marie Elisabeth Henriette Koch[1]. Il s'engage dans l'armée allemande le au 6e régiment de dragons.
Carrière militaire
Eberhardt est muté à l'école de guerre à Metz en 1911. Il participe activement à la Première Guerre mondiale dans le 2e régiment de grenadiers de la Garde et est gravement blessé. Il reste hospitalisé du 7 septembre au 26 octobre 1915. En 1916, il transféré au 6e régiment de dragons. Le , il prend le commandement de la 3e compagnie de mitrailleuses du 2e régiment de grenadiers de la Garde « empereur François ».
Promu Generalmajor le , il prend le commandement de la 60e division d'infanterie. Le , il est promu Generalleutnant et, le 31 décembre 1941, reçoit la Croix de chevalier de la Croix de fer[2].
De juillet 1942 à novembre 1943, il commande la 38e division d'infanterie qui est anéantie durant la Bataille du Dniepr.
Le , il est nommé juge au tribunal militaire du Reich.
Décorations
- Croix de fer (1914)
- 2e classe (1er octobre 1914)
- 1re classe (26 juillet 1917)
 
- Insigne des blessés (1914)
- en Noir (27 juin 1918)
 
- Croix d'honneur (15 janvier 1935)
- Agrafe de la Croix de fer (1939)
- 2e classe (16 septembre 1939)
- 1re classe (16 octobre 1939)
 
- Médaille du Front de l'Est (14 août 1942)
- Croix de chevalier de la Croix de fer (31 décembre 1941)[3]
Voir aussi
Références
- Citations
- Acte de naissance n° 139/1892 de la commune de Strasbourg.
- Cette décoration est attribuée pour récompenser un acte d'une extrême bravoure sur le champ de bataille ou un commandement militaire avec succès.
- Fellgiebel 2000, p. 141.
- Source
- (en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « Friedrich-Georg Eberhardt » (voir la liste des auteurs).
- Bibliographie
- (de) Fellgiebel, Walther-Peer (2000). Die Träger des Ritterkreuzes des Eisernen Kreuzes 1939-1945. Friedburg, Allemagne: Podzun-Pallas. (ISBN 3-7909-0284-5).
- (de) Scherzer, Veit (2007). Ritterkreuzträger 1939–1945 Die Inhaber des Ritterkreuzes des Eisernen Kreuzes 1939 von Heer, Luftwaffe, Kriegsmarine, Waffen-SS, Volkssturm sowie mit Deutschland verbündeter Streitkräfte nach den Unterlagen des Bundesarchives. Jena, Allemagne: Scherzers Miltaer-Verlag. (ISBN 978-3-938845-17-2).
- Liens externes
- (en) Friedrich-Georg Eberhardt sur TracesOfWar.com
- (en) Friedrich-Georg Eberhardt sur Lexikon der Wehrmacht