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François Chapon

François Charles Marie Chapon, né le à Paris 14e, est bibliothécaire et essayiste, conservateur général de bibliothèque, directeur honoraire de la Bibliothèque littéraire Jacques Doucet.

François Chapon
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Biographie

Son père, Albert Chapon (1865-1952)[1] fut secrétaire de rédaction de la revue L’Occident (1901-1914) fondée par Adrien Mithouard. Il consacra une grande part de son activité au bureau d’édition de la maison (Bibliothèque de L’Occident). Il effectua notamment les éditions originales de Partage de midi et des Cinq grandes odes de Claudel, du Retour de l’enfant prodigue[2] et de Bethsabé, de Gide, de Voici l’homme, de Bouclier du zodiaque et de Lais et sônes, de Suarès, des Éléments de Milosz, de Théories de Maurice Denis et de la Préface de Renoir pour le traité de Cennino Cennini.

Au contact de la famille d’Adrien Mithouard et du cercle de Louis Rouart, le jeune François Chapon reçoit une « véritable imprégnation visuelle »[3] de la peinture. Il grandit dans une ambiance intime où peintres et écrivains se côtoient. Il est appelé à entretenir des liens avec des hommes d’anciennes générations tels qu’André Suarès ou Auguste Perret. L’un et l’autre avaient été très proches de Marie Dormoy, alors responsable de la Bibliothèque littéraire Jacques Doucet. D’où, sans doute, la caution que ces souvenirs offrirent à Marie Dormoy lors de la présentation au recteur Jean Sarrailh de celui qu’elle aura pour successeur. Malgré son jeune âge, François Chapon allait bientôt participer activement à la gestion de ces archives. L’amitié qui, vers la même époque, se forma entre le débutant et son aîné le poète Pierre Reverdy[4] joua aussi un rôle décisif dans cette orientation.

François Chapon entre à la Bibliothèque littéraire Jacques Doucet le 12 novembre 1956[5] comme sous-bibliothécaire, en attendant de passer le diplôme supérieur de bibliothécaire (Prix Pol Neveux) exigé par Julien Cain qui lui confiera la direction du Bulletin du bibliophile (1970-1988) ; François Chapon y publiera, outre des articles professionnels et ses premières études sur les livres illustrés, une série d’inédits d’écrivains (Claudel, Éluard, Gide, Jouhandeau, Lautréamont, Reverdy, Suarès, Valéry, etc.), le plus souvent accompagnés de tirés à part.

Au service de la Bibliothèque durant près de quarante ans, et comme directeur entre 1989 et 1994, François Chapon s’est toujours efforcé de maintenir dans ses choix, nonobstant des moyens financiers fort restreints et une relative étroitesse des lieux, l’exigence de qualité du couturier fondateur. Il révèle au public — tant à travers ses expositions de livres et de manuscrits comme de dessins de gens de lettres[6], que dans la reconstitution de cabinets d’écrivains[7] — l’aspect inventif des collections, tout en préservant le caractère de la Bibliothèque, où une place majeure est faite à la poésie, de Baudelaire au Surréalisme. Ainsi, en contribuant à compléter ou à faire entrer le plus largement possible dans les collections manuscrits et archives[8] d’écrivains pressentis à leurs débuts par le mécène, François Chapon est-il resté dans la ligne de Jacques Doucet, restituant aux œuvres leurs dimensions dans le siècle.

Pour autant, il ne s’agissait pas pour lui de se cantonner à la seule littérature mais, profitant de l’amorce d’un ensemble de livres illustrés déjà constitué, d’en développer l’esprit, les passions, les contradictions tels que la mentalité moderne en créait une partition où Poésie et Peinture s’affirmeraient — du moins François Chapon a-t-il cherché à le montrer dans son ouvrage Le Peintre et le Livre (1987)[9] — comme une voix jamais entendue.

Si les arts plastiques ont trouvé leur place (avec Braque, Derain, Picasso, Matisse ou Rouault) en ce lieu consacré à la convergence qu’avait initiée la notion des Correspondances chez Baudelaire, François Chapon, tout en ne disposant pas des latitudes qui ont permis à Jacques Doucet d’être l’un des initiateurs de la reliure contemporaine, a essayé à travers un certain nombre de commandes, notamment à Monique Mathieu, de prouver qu’un troisième art devait aussi être respecté « dans cette émulation du visible et de l’invisible que préconise le livre idéal[3] ». La reliure trouve elle aussi « une ouverture révolutionnaire, toujours renouvelable, dans sa façon d’interpréter les expressions qu’elle réunit et qu’elle protège comme le font les instruments ou les orchestres lorsque les exécutants y confèrent à la musique une tonalité inouïe. La reliure doit garder son autonomie non seulement grâce à l’inspiration de ses créateurs et au talent de ses praticiens, mais ses matériaux propres lui assurent toutes les possibilités qui s’accordent à la liberté d’une vraie création[3]. »

Le travail de François Chapon s'inscrit dans l'exigence de Jacques Doucet, selon laquelle toute bibliothèque doit offrir les meilleures conditions possibles à la recherche. En ce sens, certains de ses travaux, entre autres sur la gravure de Rouault[10] ou sur la bibliographie de Paul Valéry[11], répondent pour lui à la mission culturelle du bibliothécaire.

En 1984 a paru la première biographie consacrée à Jacques Doucet (suivie de deux nouvelles éditions)[12].

En 1990, François Chapon a été l'un des fondateurs de l'Iliazd-Club, qu'il a présidé jusqu'en 1993.

Bien que s’étant toujours refusé à publier ses mémoires, François Chapon consent, fin 2016, à révéler les pages sauvées de l’autodafé d’un journal tenu entre 1953 et 1989, pages confiées aux soins du galeriste Claude Bernard et de l'éditeur Marc Kopylov : « Les notations ici réunies, plus ou moins appuyées, peuvent être comparées aux traces que laisse sur un buvard le jet de la plume[13]. »

Publications

  • « La femme dans l’œuvre de Milosz » et « Bibliographie des Ă©ditions originales », dans : O.V. de L. Milosz. Paris, Éditions AndrĂ© Silvaire, coll. « Les Lettres », 7e annĂ©e, nos 25-28, fĂ©vrier 1959.
  • « Les accroissements de la Bibliothèque littĂ©raire Jacques Doucet de 1958 Ă  1968 », dans : Bibliophilie, no 5, mars 1968.
  • « Claudel, collaborateur de L’Occident Â», documents prĂ©sentĂ©s par François Chapon, Bulletin de la SociĂ©tĂ© Paul Claudel, no 36, Paris, novembre 1969 – janvier 1970. Nouvelle version entièrement remaniĂ©e, publiĂ©e sous le titre : « Claudel et la revue L’Occident », dans : Bulletin de la SociĂ©tĂ© Paul Claudel, no 165, Paris, 4e trimestre 1998.
  • Bibliographie des Ĺ“uvres de Paul ValĂ©ry publiĂ©es de 1889 Ă  1965, par Georges KaraĂŻskakis et François Chapon, Paris, Librairie Auguste Blaizot, juin 1976.
  • « Note sur le livre illustrĂ©, Ă  propos de Cinq sapates », dans : Francis Ponge, Paris, Centre Georges Pompidou, Bibliothèque publique d’information, fĂ©vrier 1977. Repris sous le titre : « Notes sur Cinq sapates », dans : Francis Ponge (Paris, Éditions de l’Herne, coll. « Les Cahiers de l’Herne », no 51, juin 1986).
  • Rouault, Ĺ’uvre gravĂ©, deux volumes. Texte de François Chapon, catalogue Ă©tabli par Isabelle Rouault, avec la collaboration d’Olivier Nouaille Rouault, Monte-Carlo, Éditions AndrĂ© Sauret, fĂ©vrier et juillet 1978.
  • « ItinĂ©raire d’Ilia Zdanevitch de Tiflis Ă  la rue Mazarine » et « Bibliographie des livres imprimĂ©s Ă©ditĂ©s par Iliazd », dans : Iliazd, Paris, Centre Georges Pompidou, MusĂ©e national d’art moderne, mai 1978.
  • « Cheminement d’AndrĂ© du Bouchet et de Pierre Tal-Coat », dans : AndrĂ© du Bouchet / Pierre Tal-Coat, Treigny, Château de Ratilly, juin 1979.
  • Mystère et Splendeurs de Jacques Doucet, 1853-1929, Paris, Éditions Jean-Claude Lattès, janvier 1984.
Prix Roberge de l’Académie française
  • « La lettre et l’esprit », dans : Haut de gamme. L’art de vivre Ă  la française, d’Isabelle, Comtesse de Paris, Paris, Éditions Flammarion, novembre 1985.
  • Le Peintre et le Livre. L’âge d’or du livre illustrĂ© en France, 1870-1970, 200 illustrations en noir et blanc et 60 en couleurs, Paris, Flammarion, septembre 1987.
  • François Chapon Ă  Brigitte Simon, avec deux gravures Ă  la pointe sèche de Brigitte Simon, Sauveterre-du-Gard, La Balance, juillet 1988.
  • « Jouhandeau Ă  la Bibliothèque Doucet », dans : Carnets Marcel Jouhandeau. 1, Paris, Éditions Tallandier, juillet 1988.
  • « Ce qui pourrait ĂŞtre le bonheur », dans : Miklos Bokor. Peintures et dessins, Vevey, Arts et Lettres, aoĂ»t 1993.
  • Le Condottiere et le Magicien, AndrĂ© Suarès et Jacques Doucet, Correspondance choisie et Ă©tablie par François Chapon, Paris, Éditions Julliard, mars 1994.
  • Postface Ă  : Le Printemps de Paul Claudel, Genève, Jacques T. Quentin, mai 1994.
  • « Du visible comme accès Ă  l’invisible », dans : Charles Marq, peintures 1958-1994, Paris, RĂ©union des MusĂ©es nationaux ; Caen, MusĂ©e des Beaux-arts, dĂ©cembre 1994.
  • « RĂ©unir ces deux peintres... », dans : Joseph Sima – Brigitte Simon. Double variation sur champs de rĂŞve, Paris, Galerie Thessa HĂ©rold, automne [octobre] 1995.
  • « Adrien Mithouard », dans : Musiques et musiciens au faubourg Saint-Germain, Paris, DĂ©lĂ©gation Ă  l’Action artistique de la Ville de Paris, coll. « Paris et son patrimoine », janvier 1996.
  • Jacques Doucet ou l’art du mĂ©cĂ©nat, Paris, Librairie AcadĂ©mique Perrin, octobre 1996. Nouvelle Ă©dition.
  • « Invention, subversion ou diversion ? », dans : Estève. Collages, Bourges, MusĂ©e Estève, mars 1999.
  • « Inoubliablement vĂ´tre », prĂ©face Ă  : Éparpillements, par Natalie Clifford Barney, Paris, Éditions Geneviève Pastre, coll. « Les Octaviennes », avril 1999.
  • PrĂ©face Ă  : Main d’œuvre, 1913-1949, de Pierre Reverdy, Paris, Éditions Gallimard, coll. « PoĂ©sie », no 342, janvier 2000.
  • « Les salons littĂ©raires », dans : Ce qui va disparaĂ®tre, Actes du colloque, Paris, Les Éditions de la Bouteille Ă  la Mer, mai 2001.
  • « Monique Mathieu ou la libertĂ© du relieur », dans : Monique Mathieu, la libertĂ© du relieur, Paris, Bibliothèque Nationale de France, mai 2002.
  • « Louis Rouart », dans : Au cĹ“ur de l’Impressionnisme. La famille Rouart, Paris, Paris-MusĂ©es, Éditions des musĂ©es de la Ville de Paris, janvier 2004.
  • « Jacques Doucet », dans : Doucet de fonds en combles. TrĂ©sors d’une bibliothèque d’art, Paris, Institut national d’histoire de l’art ; Paris, Éditions Herscher, coll. « La galerie », janvier 2004.
  • C’était Jacques Doucet, Paris, Librairie Arthème Fayard, septembre 2006. Édition dĂ©finitive.
  • Souvenir de Rose Adler, Paris, Éditions des Cendres, octobre 2014.
  • Un vendredi, rue Jacob..., Paris, Éditions des Cendres, dĂ©cembre 2015.
  • PrĂ©face Ă  : Le Chant des morts de Pierre Reverdy et de Pablo Picasso, Paris, Éditions Gallimard, coll. « PoĂ©sie », no 519, octobre 2016.
  • Empreintes sur un buvard, pages de journal (1953-1989), Paris, Éditions des Cendres & Galerie Claude Bernard, dĂ©cembre 2016.
  • Le Peintre et le Livre. L’âge d’or du livre illustrĂ© en France, 1870-1970, suivi de « Chagall entre Vollard et TĂ©riade », Paris, Éditions des Cendres, avril 2018. Nouvelle Ă©dition augmentĂ©e, sans le catalogue descriptif et les illustrations de l'Ă©dition originale (Flammarion, 1987).
  • Passerelles, dessins de GĂ©rard Titus-Carmel, Fontfroide-le-Haut, Éditions Fata Morgana, octobre 2018.

Notes et références

  1. Voir l’article de Francis de Miomandre dans : Les Nouvelles littéraires du 13 mars 1952, page 6.
  2. La vĂ©ritable Ă©dition originale du Retour de l’enfant prodigue est constituĂ©e par le tirage Ă  part, Ă  un tout petit nombre d’exemplaires, du texte paru dans la revue Vers et Prose (tome IX, mars-mai 1907). 
  3. Entretien inédit avec Pierre Monteil, jeudi 12 mars 2009 (archives privées).
  4. Depuis 1977, François Chapon est, à la Fondation Maeght, président du Comité Reverdy dont les attributions sont celles d’un exécuteur testamentaire et d’un gestionnaire.
  5. Archives de la Bibliothèque littĂ©raire Jacques Doucet. 
  6. François Chapon a organisĂ© une vingtaine d’expositions sur la littĂ©rature et l’art contemporain tant Ă  Doucet (Jules Supervielle, 1958 ; Pierre Jean Jouve, 1959 ; Francis Ponge, 1960 ; Georges Braque et RenĂ© Char, 1963 ; Paul Claudel, 1965 ; Paul ValĂ©ry, 1966 ; François Mauriac, 1968) qu’au Centre Pompidou, Ă  la Fondation Estève, Ă  Ratilly (Charles Marq ; AndrĂ© du Bouchet et Pierre Tal-Coat), au musĂ©e Bourdelle (AndrĂ© Suarès) et dans diverses galeries (Le Bateau lavoir, Jacques Rouland, Fondation Maeght, Claude Bernard). 
  7. Bergson, Mondor (Mallarmé), Valéry, Leiris, Natalie Clifford Barney (le Barney’s Corner).
  8. Correspondances, coupures de presse, iconographie.
  9. Le Peintre et le Livre, L’âge d’or du livre illustrĂ© en France, 1870-1970, Paris, Flammarion, 1987 ; Grand Prix Vasari de l’édition d’art 1988. Nouvelle Ă©dition, Paris, Les Éditions des Cendres, 2018. Ă€ l'occasion de cette rĂ©Ă©dition, Philippe Blanc et Marc Kopylov soulignent la valeur de ce travail inĂ©dit, « un livre prĂ©curseur Â», « souvent pillĂ©, rarement citĂ© Â», « le premier sans doute Ă  dĂ©crire, fort d’une large perspective historique, une telle rencontre, propre Ă  la modernitĂ©. Â» [« RĂ©Ă©dition du livre de François Chapon, Le Peintre et le Livre Â», Doucet littĂ©rature, juin 2018 http://www.doucet-litterature.org/spip.php?article152]
  10. Rouault. Ĺ’uvre gravĂ©. Texte de François Chapon. Catalogue Ă©tabli par Isabelle Rouault, avec la collaboration d’Olivier Nouaille Rouault. Monte-Carlo, Éditions AndrĂ© Sauret, fĂ©vrier et juillet 1978. Deux volumes. 
  11. Bibliographie des Ĺ“uvres de Paul ValĂ©ry (en collaboration avec Georges KaraĂŻskakis, Éditions Blaizot, 1976). Ă€ ce type d’informations Ă©rudites, on pourrait ajouter les dix copieux catalogues d’exposition ou de donation de la bibliothèque, enrichis de quantitĂ© d’inĂ©dits. Citons aussi l’édition en fac-similĂ© par la firme G.K. Hall & Co. de Boston des catalogues des fonds Gide, Jouhandeau, Mauriac, du ValĂ©ryanum et de la collection gĂ©nĂ©rale des manuscrits Ă  la date de publication (1972). 
  12. Mystère et Splendeurs de Jacques Doucet, 1853-1929, Paris, Éditions Jean-Claude Lattès, 1984, Prix Roberge de l’Académie française ; prix Femina-Vacaresco, 1984. Jacques Doucet ou l’art du mécénat, Librairie Perrin, 1996. C’était Jacques Doucet, édition définitive, Paris, Librairie Arthème Fayard, 2006.
  13. Empreintes sur un buvard, Pages de journal (1953-1989), Paris, Éditions des Cendres et Galerie Claude Bernard, 2016. Médaille de vermeil de l’Académie française, 2017.

Bibliographie

  • « Le livre illustrĂ© français au 20e siècle, 1870-1970. Entretien avec Éveline Schlumberger », dans : Connaissance des arts, no 341, Paris, juillet 1980.
  • « Jacques Doucet : couturier, collectionneur et mĂ©cène », par JĂ©rĂ´me Garcin, dans : Les Nouvelles, 12-18 janvier 1984.
  • « Le plus mĂ©connu des mĂ©cènes », par Patrick ThĂ©venon, dans : L’Express, no 1700, 3-9 fĂ©vrier 1984.
  • « Doucet, le magicien », par Jean Chalon, dans : Le Figaro, no 12262, vendredi 3 fĂ©vrier 1984.
  • « Doucet : le bon gĂ©nie du mĂ©cĂ©nat », par Jean-François Revel, dans : Le Point, no 595, 13-19 fĂ©vrier 1984.
  • « Une journĂ©e dans les mystères du fonds Doucet », par Olivier Rolin, dans : LibĂ©ration, nouvelle sĂ©rie, no 853, jeudi 16 fĂ©vrier 1984.
  • « Un couturier musagète », par Guy Dumur, dans : Le Nouvel Observateur, no 1006, 17-23 fĂ©vrier 1984.
  • « Au royaume d’Acribie », par AndrĂ© Fermigier, dans : Le Monde, no 12190, jeudi 5 avril 1984.
  • « Mystère et splendeurs de Jacques Doucet », par Adrienne Fontainas, dans : Le Livre & l’Estampe, volume xxx, no 117-118, 1984.
  • « Mystère et splendeurs de Jacques Doucet », par L.J. Austin, dans : French Studies, XXXIX, 1, janvier 1985.
  • « Des chiffons en or. L’histoire du livre illustrĂ©, du XIXe Ă  nos jours ». Propos recueillis par France Huser, dans : Le Nouvel Observateur, no 1204, 4-10 dĂ©cembre 1987.
  • « Les noces des poètes et des peintres », par Gilbert Lascault, dans : Le Monde des livres, supplĂ©ment au no 13332, jeudi 10 dĂ©cembre 1987.
  • « Peintres et Ă©crivains : les noces d’or », par JĂ©rĂ´me Garcin, dans : L’ÉvĂ©nement du jeudi, 10-16 dĂ©cembre 1987.
  • « Le peintre et le livre ». Propos recueillis par Jean-Luc Pinard-Legry, dans : Paris tĂŞte d’affiche, no 9, Paris, Office d’information culturelle, 15 janvier – 15 mars 1988.
  • « François Chapon : mots et merveilles », par Marcel Schneider, dans : Le Figaro littĂ©raire, no 13494, lundi 18 janvier 1988.
  • « François Chapon, Le Peintre et le Livre », par Adrienne Fontainas, dans : Le Livre et l’Estampe, tome XXXIV, no 129, 1988.
  • « Jacques Doucet, la passion d’un mĂ©cène. De l’importance du mĂ©cĂ©nat pour les Ĺ“uvres de l’esprit », entretien avec François Chapon, propos recueillis par Richard Figuier, dans : La Bibliothèque, miroir de l’âme, mĂ©moire du monde, Paris, Autrement, sĂ©rie « Mutations », no 121, avril 1991.
  • « AndrĂ© Suarès et son mĂ©cène », par Mario Maurin, dans : La Quinzaine littĂ©raire, no 651, 16-31 juillet 1994.
  • « L’essayiste maudit », par Claire Paulhan, dans : Le Monde des livres, vendredi 5 aoĂ»t 1994.
  • « François Chapon gardien de mĂ©moire », propos rapportĂ©s par Jean-Claude Lamy, dans : Le Figaro littĂ©raire, vendredi 11 novembre 1994.
  • « La bibliothèque littĂ©raire Jacques Doucet ». Entretien avec Jacques Neefs, dans : Genesis, no 7, ITEM, Paris, Jean-Michel Place, [juin] 1995.
  • « Entretien avec François Chapon », par Jean-Paul Goujon, dans : Histoires littĂ©raires, no 13, Tusson, Du LĂ©rot Ă©diteur, janvier-mars 2003. Repris dans : Aventures littĂ©raires (Buchet-Chastel, 2012).
  • « François Chapon », par Claude Schvalberg, dans : Dictionnaire de la critique d’art Ă  Paris, 1890-1969. Rennes, Presses Universitaires de Rennes, collection « Critique d’art », octobre 2014.
  • « Chapon au poivre », compte rendu de Empreintes sur un buvard, par JĂ©rĂ´me Garcin, dans : L’Obs, no 2749, 13-17 juillet 2017.

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