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Fort d'Illange

Le fort d’Illange (en allemand Feste Illingen) situé sur la commune du même nom dans le département français de la Moselle, est un groupe fortifié moderne qui a été aménagé entre 1905 et 1910 par les autorités militaires impériales allemandes lors de la période d’annexion des territoires mosellans et alsaciens à l'Empire (1871-1918).

Fort d'Illange
Feste Illingen
Fort d'Illange
Fort d'Illange
Description
Ceinture fortifiée ceinture fortifiée de Thionville
Type d’ouvrage Feste (Groupe fortifié)
Dates de construction 1904-1910
Dates de modernisation
Garnison 1 180 hommes
Armement 4 pièces d'artillerie
(4 Ă— 100 mm)
Usage actuel Entrainement ponctuel des sapeurs-pompiers de la Moselle
Protection néant
CoordonnĂ©es 49° 20′ 02″ nord, 6° 10′ 36″ est
GĂ©olocalisation sur la carte : France
(Voir situation sur carte : France)
Fort d'Illange
GĂ©olocalisation sur la carte : Lorraine
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Fort d'Illange
GĂ©olocalisation sur la carte : Moselle
(Voir situation sur carte : Moselle)
Fort d'Illange

Contexte historique

Construit au début du XXe siècle, le groupe fortifié faisait partie d’un programme de fortifications plus vaste, appelé Moselstellung et englobant des forteresses positionnées entre Thionville et Metz, dans la vallée de la Moselle. L’objectif des autorités allemandes était de se protéger contre une attaque française visant à reprendre l'Alsace-Lorraine, soit l’Alsace et la Moselle, à l’Empire allemand. À partir de 1899, le plan Schlieffen de l’état-major allemand conçut les fortifications de la Moselstellung, entre Metz et Thionville, comme un verrou destiné à bloquer l’avance éventuelle des troupes françaises en cas de conflit[1]. Ce concept de ligne fortifiée sur la Moselle constituait, par sa modernité, une innovation militaire et technique significative par rapport au système Séré de Rivières développé par les Français. Il inspira plus tard les ingénieurs de la ligne Maginot[2].

Construction et aménagements

Comme le fort de KĹ“nigsmacker, la "Feste" Illingen devait interdire le passage de la Moselle, de part et d’autre de Thionville, et couvrir, depuis la rive droite de la Moselle, le fort de Guentrange qui protĂ©geait la ville de Thionville. Il devait Ă©galement assurer le barrage vers le sud et la vallĂ©e de l'Orne en croisant son tir avec celui de la "Feste Lothringen", positionnĂ©e au nord de Metz, Ă  cĂ´tĂ© de Saulny. Le fort a Ă©tĂ© amĂ©nagĂ© en position haute, au sommet de la colline du Grosser Berg (219 m), offrant un point de vue dĂ©gagĂ© Ă  presque 360°, et qui domine la vallĂ©e de la rivière Moselle Ă  l'endroit oĂą son cours bifurque vers le nord-est et le village d'Illange au sud. Le fort occupe une surface de 44 hectares sur des terrains qui ont Ă©tĂ© rĂ©quisitionnĂ©s majoritairement par la voie de l'expropriation forcĂ©e[3]. Les travaux dĂ©butent en 1905. L'ouvrage est amĂ©nagĂ© comme un fort de type "montagne" sans fossĂ© de contre-escarpe. Il est constituĂ© de 5 positions principales dissĂ©minĂ©es sur une vaste superficie pour limiter les effets d'une concentration d'artillerie. Ces positions sont reliĂ©es entre elles par des galeries souterraines d'une longueur totale de 800 m[3]. Le pĂ©rimètre est entièrement cernĂ© par un double rĂ©seau de fils de fer barbelĂ©s et partiellement Ă©quipĂ© de structures de dĂ©fense rapprochĂ©e avec des abris pour la troupe en cas de bombardement et des parapets bĂ©tonnĂ©s. La route d'accès est orientĂ©e d'Ouest en Est et rejoint la route principale Metz-Thionville. Elle est flanquĂ©e de merlons sur son tracĂ© intĂ©rieur et gardĂ©e par un blockhaus Ă  son entrĂ©e. L'entrĂ©e est fermĂ©e par des grilles hautes Ă  pointes retournĂ©es.

Angles de tir vers le nord figurés sur le mur de la casemate de flanquement du fort d'Illange ( avec la pente du terrain, le canal des mines de fer, le pont ferroviaire de Thionville et une maison significative dans le panorama)

L'armement principal du fort consiste en une batterie cuirassĂ©e de 4 affĂ»ts cuirassĂ©s tournants non-Ă©clipsables pour canons longs Ă  tir tendu de calibre de 10 cm. Cette batterie est Ă©galement protĂ©gĂ©e par un rĂ©seau de barbelĂ©s. Autour de la batterie, les quatre autres Ă©lĂ©ments principaux sont des casernements abritĂ©s partiellement souterrains (Nord, Sud, Est, Ouest) qui donnent la capacitĂ© d'affecter au fort trois compagnies d’infanterie. Pour leur protection, ils sont Ă©quipĂ©s d'un flanquement de gorge (caponnière) muni d'embrasures pour mitrailleuses. Le front de gorge est barrĂ© par une grille haute bardĂ©e de pointes acĂ©rĂ©es, retournĂ©es vers le bas. Chacun de ces casernements est reliĂ© Ă  une ou deux sorties appelĂ©s "abris de piquet" qui permettent un accès protĂ©gĂ© et dissimulĂ© aux systèmes de dĂ©fense pĂ©rimĂ©trique par l'utilisation de parapets gazonnĂ©s. L'ouvrage est Ă©galement muni de deux observatoires d'artillerie sous cuirasse.

Le casernement Ouest est doté d'une casemate de flanquement orientée vers le nord pour battre la pente de la colline du côté le plus exposé.

D'un point de vue technique, on emploie pour la première fois le béton de manière massive pour les éléments extérieurs exposés et la pierre de taille est reléguée aux infrastructures. L'ouvrage est également équipé d'une centrale de production d'électricité pour l'éclairage et la ventilation, constituée de moteurs diesel. Un réseau téléphonique interne est installé et l'ouvrage est connecté au réseau extérieur. Ces technologies sont ultra-modernes au début du 20e siècle[3].

Il y a un four à pain et les cuisines collectives sont munies de cuiseurs sous pression et de hottes aspirantes. Le système de sanitaires est équipé de l'eau courante, y compris de l'eau chaude et les toilettes connectées à un système d'eaux usées. Le chauffage est au charbon,soit par poêle, soit, dans les grandes structures par centrale où un tour de service est prévu pour entretenir le foyer[1].

Première Guerre mondiale et entre deux guerres

À partir de 1890, la relève dans les forts est assurée par les troupes du XVIe Corps d'Armée stationnées à Metz et à Thionville.

Faisant suite à la déclaration de guerre, à partir d', le général Von Lochow qui prend le commandement de la garnison de guerre de la place de Thionville, dont le poste de commandement s'installe à dans la Feste Illingen[4].

Éloigné de la ligne de front, le fort ne participe pas aux opérations de guerre et ne subit aucun dégât. Des soldats de la garnison sont logés dans les casernements du fort ou dans les abris d'intervalle. En général, un soldat se voit attribuer un emplacement dans un dortoir dans lequel, pour les moments de repos, il utilise les crochets prévus pour suspendre son hamac. Les officiers dorment sur des couchettes dans des chambrées moins nombreuses[1]. Pour les repas, les soldats font la queue pour recevoir leur ration, tandis que les officiers sont servis à table dans un mess dédié. Les emplacements éloignés des cuisines sont desservis par norvégiennes.

En 1919, le fort est de nouveau occupé par l’armée française. Comme les autres installations militaires allemandes de premier plan, il fera l'objet d'une étude approfondie par les autorités et les ingénieurs de l'armée française qui puiseront des idées importantes dans l'élaboration des structures de la future ligne Maginot.

Poste de communication dans le fort d'Illange, avec inscriptions en français

Durant cette pĂ©riode, le fort est maintenu en activitĂ© et est progressivement inclus dans le projet de dĂ©fense fortifiĂ© qui s'Ă©labore. L'armement d'artillerie des "Festen" est initialement rĂ©utilisĂ© et amĂ©liorĂ© pour complĂ©ter le dispositif de la Ligne Maginot et les ouvrages font l'objet d'une rĂ©organisation. Ainsi dans le fort d'Illange, les pièces de 10 cm de la batterie cuirassĂ©e sont maintenues en service, dans la perspective d'un remplacement envisagĂ© mais qui n'interviendra pas, faute de temps et de moyens[5].

Seconde Guerre mondiale

1940

Dans le cadre de l'activation de la ligne Maginot, le fort d’Illange abrite le poste de commandement du secteur fortifié de Thionville, composé d'une centaine d'hommes. On y trouve le commandement de l'artillerie divisionnaire et le commandement du génie.

1944

Entre le et le , une opération de franchissement de la Moselle est effectuée dans le secteur de Thionville par les Alliés. La division engagée est la 95e division d'infanterie (DI) américaine appartenant au XXe corps de la 3e armée US du général Patton. Un premier franchissement a lieu à Uckange le au matin. Il s'agit en fait d'une diversion[6] visant à masquer l'attaque principale menée par la 90e DI dans le secteur de Cattenom et Kœnigsmacker. Toutefois, en raison d'une crue importante de la Moselle modifiant singulièrement les conditions de la bataille et afin de pouvoir accélérer l'engagement décisif de la 10e division blindée sur la rive droite de la Moselle, il est décidé de créer une tête de pont à Thionville et, dans la foulée, de s'emparer des forts du couronné de Yutz et du fort d'Illange. Cette mission est dévolue au 2e bataillon du 378e régiment d'infanterie de la 95e DI, commandé par le lieutenant-colonel Autrey J. Maroun,. L'opération débute le .

Après la traversée de la Moselle, le couronné de Yutz est pris dès le . L'attaque sur le fort d'Illange est prévue le lendemain. Durant la nuit, la compagnie Golf (G) s'empare d'Haute-Yutz, faiblement défendu.

Au matin, vers 08H30, et après avoir dĂ©passĂ© Haute-Yutz et la compagnie G, les compagnies Easy (E), commandĂ©e par le lieutenant James R. PENDERGRAST et Fox (F) commandĂ©e par le Capitaine Robert E. ADAIR se dirigent vers le sud-est en direction de Stuckange puis obliquent rapidement vers le sud-ouest Ă  travers la forĂŞt, dans une zone piĂ©gĂ©e et sous le feu de l'artillerie et des mortiers du fort d'Illange. A 10H15, sur la droite du dispositif, et couvertes par des unitĂ©s de mitrailleuses et de mortiers de 60 mm, deux sections de la compagnie F s'empare de l'objectif intermĂ©diaire, la colline boisĂ©e du lieu-dit Selvert (Schwerberg).

Il s'ensuit un épisode où les sources divergent. Selon la première, en contrebas du fort, les hommes du 2e bataillon capturent un soldat allemand[6]. Selon une deuxième version des faits[7], le soldat s'est spontanément présenté en arborant un drapeau blanc pour informer A. J. Maroun, de la présence dans le fort de la 3e compagnie du 74e VolkGrenadier-Regiment de la 19e VolksGrenadier-Division. Dans cette version, Maroun dépêche le lieutenant James Billings, en tant que S2 du bataillon (officier de renseignement qui parle l'allemand). Une troisième source indique par ailleurs que c'est Billings, de lui-même, qui s'est approché du fort avec le drapeau blanc et qu'il est un officier de la compagnie E [8].Quoi qu'il en soit, Billings entreprend de négocier une reddition des défenseurs. Malgré une certaine cordialité entre le plénipotentiaire et le commandant de la garnison, les pourparlers n'aboutissent pas. Tout en admettant qu'il est encerclé, le capitaine allemand refuse d’être fait prisonnier sans combattre. Il sollicite toutefois la possibilité d'évacuer sa compagnie pour rejoindre son régiment. L'officier américain refuse cette option[6]. Il va falloir se battre pour le fort.

En dĂ©but d'après- midi, une concentration d'artillerie est dĂ©clenchĂ©e contre l'ouvrage pendant 45 minutes par trois unitĂ©s d'obusiers de 105 mm[8]. Le 2e bataillon se met en ordre de combat. Dans un premier temps, la compagnie E[9] mène l'assaut. DĂ©gageant le bois d'Haute-Yutz pour constituer sa base de dĂ©part, la compagnie F envoie ses deux premières sections en deux vagues d'assaut au travers de la zone dĂ©couverte. Parvenus Ă  la base de la colline du fort, les maroun's marauders[3] s'abritent dans le rideau d'arbres qui ceinture le pĂ©rimètre de l'ouvrage. A ce stade, l'attaque est rĂ©organisĂ©e. La compagnie E, bloquĂ©e dans sa progression Ă  gauche par un important rĂ©seau de dĂ©fenses allemandes, passe en flanquement de la compagnie F qui mène l'assaut Ă  droite avec la compagnie G en soutien. Les mortiers de 81 mm sont positionnĂ©s Ă  la lisière du bois, tandis que la section de mortiers d'appui de 60 mm et les mitrailleuses sont disposĂ©es plus en avant sur des positions dĂ©filĂ©es au tir adverse[8].

A 15 h 0, sur cette base de feu solide et après 30 minutes de tirs d'artillerie de rupture dirigĂ©s en plein contre le fort combinant l'emploi d'obusiers de 155 et 240 mm et des chars M10 Tank Destroyer, la phase finale de l'assaut est menĂ©e d'un cĂ´tĂ© par la première section, au travers des multiples rĂ©seaux de barbelĂ©s et des pièges et de l'autre cĂ´tĂ©, par la deuxième section qui emprunte un fossĂ© de drainage Ă  l'ouest du fort pour y entrer par l'arrière. La garnison a repris ses positions malgrĂ© la prĂ©paration d'artillerie et se bat avec acharnement. La troisième section de la compagnie F, en retrait pour appui, progresse en formation de tirailleurs et atteint le fort vers 16H14. Une section de mortiers allemande, dĂ©ployĂ©e Ă  l'arrière Ă  l'est de l'ouvrage est dĂ©logĂ©e par la première section poursuivant l'encerclement de la structure[8]. La compagnie G vient s'appuyer sur la base de la colline pour bloquer une Ă©ventuelle contre-attaque. Il est 16 h 30. Ă€ la tombĂ©e de la nuit, un tiers de l'ouvrage est capturĂ©[10].

Trace des combats , fort d'Illange, assaut Ă  la grenade sur les embrasures
Trace des combats - destructions internes par emploi des charges Satchel

Ă€ partir de 02h00 du matin commence la destruction systĂ©matique des structures de l'ouvrage par l'emploi de charges SATCHEL (en) (charges de kg de TNT en sac Ă  bandoulière) qui sont dĂ©versĂ©es dans les gaines d'aĂ©rations des casernes. Ces charges puissantes provoquent d'Ă©normes dĂ©gâts internes et la suffocation des dĂ©fenseurs. Pour les casemates, la porte blindĂ©e est forcĂ©e par l'emploi d'une charge creuse. Les embrasures des postes de tir pour mitrailleuses sont attaquĂ©es Ă  la grenade Ă  main. Une seconde charge de type cordeau dĂ©tonant est ensuite lancĂ©e Ă  l'intĂ©rieur pour assommer les dĂ©fenseurs . Cette technique d'assaut a Ă©tĂ© mis en Ĺ“uvre trois jours plus tĂ´t pour neutraliser la « Feste » de Koenigsmacker et rĂ©sulte de l'expĂ©rience acquise lors de la bataille meurtrière du fort Driant au sud de Metz en octobre. Au petit matin, la moitiĂ© de l'ouvrage est prise et les derniers dĂ©fenseurs sont presque tous repliĂ©s Ă  l'intĂ©rieur des casernes, Ă  l'exception de tireurs isolĂ©s et de mitrailleuses postĂ©s sur le reste des blocs de l'ouvrage. Ils seront bientĂ´t rĂ©duit au silence par une concentration d'obus de mortiers de 81 mm tirĂ©s depuis la lisière du bois d'Haute-Yutz.

À 10 h 40, le , les derniers survivants se rendent et le fort d'Illange est définitivement mis hors combat. Les pertes allemandes s'élèvent à 74 hommes, blessés ou tués et 67 prisonniers[8]. C'est maintenant au tour du village d'être repris.

Au cours de ces combats, le lieutenant-colonel Maroun fut blessé deux fois[10] et le sergent Robert G Brussard, de la compagnie F, neutralisa quatre défenseurs et fit douze prisonniers. Ils recevront tous les deux la Distinguished Service Cross[3] - [6], le bataillon recevant quant à lui la Distinguished Unit Citation[11]. 200 hommes du bataillon auront été mis hors combat durant ces journées[3].

La 95e DI aura quelques jours plus tard l'honneur d'être la première à entrer dans Metz et ses hommes auront mérité leur nouveau surnom « The Ironmen of Metz ».

A l'issue de la guerre, compte tenu de son état de délabrement, le fort a été désarmé et dépouillé dans une large mesure, entraînant la disparition d'une grande partie de son équipement.

Depuis les années 2000

Dans les années 2000, à la cession du terrain militaire, la forêt a été réaménagée et sécurisée. Les réseaux de barbelés extérieurs ont été retirés, les ouvertures des ouvrages condamnées pour laisser place à un circuit de promenade.

Le fort a été partiellement rénové à l'intérieur par les sapeurs-pompiers d'Illange-Bertrange, notamment dans le casernement Sud. Ce dernier dispose d'éclairages sur une bonne partie de sa surface et cette même surface a été sécurisée via des barrières soudées ou encore diverses plaques de protection au sol. Avec l'aide d'un simple groupe électrogène branché à l'entrée du fort en extérieur, la partie ré-aménagée du site peut donc être correctement éclairée à l'intérieur.

Le site sert désormais aux soldats du feu du secteur pour leur entrainement sous appareil respiratoire (le fort est alors rempli de fumée à l'aide d'un appareil), ou encore lors de manœuvres de sauvetage en excavation ou en milieu particulier.

Galerie de photos

  • DĂ©fenses extĂ©rieures avec tranchĂ©es bĂ©tonnĂ©es et abris en cas de bombardement
    Défenses extérieures avec tranchées bétonnées et abris en cas de bombardement
  • Batterie cuirassĂ©e du fort d'Illange
    Batterie cuirassée du fort d'Illange
  • Caserne Sud du Fort d'Illange
    Caserne Sud du Fort d'Illange
  • Batterie CuirassĂ©e - tourelles
    Batterie Cuirassée - tourelles
  • Caserne Nord du Fort d'Illange
    Caserne Nord du Fort d'Illange
  • Casernement ouest du fort d'Illange
    Casernement ouest du fort d'Illange
  • Galerie d'accès Ă  la casemate de flanquement
    Galerie d'accès à la casemate de flanquement

Notes et références

Notes

    Références

    1. (en) Donnell Clayton, The German Fortress of Metz : 1870-1944, Oxford, Osprey, , p. 38.
    2. (en) Donnell Clayton, The German Fortress of Metz : 1870-1944, Oxford, Osprey, , p. 10-13.
    3. Patrick Grasser, Illange au passé simple, Fensch Vallée, 2004 (ISBN 2-908196-80-8)
    4. Philippe Burtscher et François Hoff, Les fortifications allemandes d'Alsace Lorraine, Paris, histoire et collection, , 66 p. (ISBN 978-2-35250-142-8), page 43
    5. MARY, HOHNADEL, SICARD, Hommes et ouvrages de la Ligne Maginot, tome 2, Paris, Histoire et collections, , 222 p. (ISBN 2-908182-97-1), p. 181
    6. René Caboz, la Bataille de Thionville, 1991 (ISBN 2708500910), pp. 241-242
    7. (en) Clayton Donnel, The German Fortress of Metz 1870-1944, 2008, (ISBN 978-1-84603-302-5), p. 53
    8. (en) XX CORPS, The reduction of fortress Metz : 1 September - 6 December 1944, United States Army, (lire en ligne)
    9. (en) Bravest of the Brave, Stars and Stripes, 1945
    10. (en) Hugh M. Cole The Lorraine Campaign, Center of Military History, Washington, 1950
    11. Distinguished Unit Citation ; devenue « Presidential Unit Citation » à partir du 10 janvier 1957.

    Annexes

    Articles connexes

    Liens externes

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