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Fondation Cavallini Sgarbi

La Fondation Cavallini Sgarbi (italien : Fondazione Cavallini Sgarbi) est née en 2008, par la volonté des époux Catherine « Rina » et de Giuseppe « Nino » Sgarbi et de leurs fils Elisabetta et Vittorio. Cette Fondation a son siège à Ro ferrarese, dans la maison-musée de la famille Sgarbi et est reliée à la Fondation Elisabetta Sgarbi.

Fondation Cavallini Sgarbi
Histoire
Fondation
Heinrich Meyring, sculpture, 1680-1690 ca

Description

Una collection d'oeuvres dart appartenant à cette Fondation, née de la recherche de Vittorio Sgarbi avec sa mère Rina Cavallini qui achetait les œuvres dans les enchères. Le critique de l'art a ainsi rappelé l'œuvre de sa mère : « Ma pensée et ma vie se sont prolongées. J'indiquais le nom d'un artiste, le lieu, la maison des enchères. Et elle ponctuelle visait et frappait » (« Si fece prolungamento del mio pensiero e della mia vita. Io indicavo il nome di un artista, il luogo, la casa d'aste. E lei puntuale prendeva la mira e colpiva »).

Benvenuto Tisi, Ascension de Christ, 1540 ca.

La Fondation Cavallini Sgarbi organise des expositions de ses œuvres d'art.

La collection d'œuvres d'art

Parmi les sculptures qui appartiennent à cette Collection, la statue en terre cuite de Saint Dominique du sculpteur Niccolò dell'Arca (1474). Parmi les peintures : une Sainte Famille de Niccolò Pisano, une Vierge à l'Enfant de Liberale da Verona, une Sainte Famille d'Antonio Leonelli da Crevalcore, un Christ bénissant de Jacopo da Valenza, un Portrait de jeune de Lorenzo Lotto, une Sainte Madeleine de Pier Francesco Mazzucchelli dit « le Morazzone », une Sainte Madeleine de Matteo Loves, un Saint Jérôme de Jusepe de Ribera, le Portrait de Francesco Righetti de Guercino, le Portrait du cardinal Giovan Francesco Ginetti de Baciccio, un Trionphe de Vénus d'Ignaz Stern, le portrait de Giuseppe Chierici de Francesco Hayez (1875)[1].

Expositions

  • 2016 - Lotto, Artemisia, Guercino. Le stanze segrete di Vittorio Sgarbi, Osimo (AN)[2]
  • 2018 - La collezione Cavallini Sgarbi. Da Niccolò dell'Arca a Gaetano Previati. Tesori d'arte per Ferrara, Château d'Este, Ferrare[3]
  • 2019-2020 - 80 capolavori, da Niccolò dell'Arca a Francesco Hayez, rivelano la storia di una infinita e appassionante caccia amorosa, Château de Cades, Cades (TN)[4]
Josse le Court, Allégorie de l'hiver, 1660-70 ca.

Notes

  1. (it) Carlo Vulpio, « Cavallini-Sgarbi, 80 capolavori in mostra al castello di Caldes », sur corriere.it, 19 maggio 2019 (consulté le ).
  2. 120 sculptures et peintures, du XVe siècle au XXe siècle. (it) « Le stanze segrete di Vittorio Sgarbi », sur goodmarche.com (consulté le ).
  3. (it) « Collezione Cavallini-Sgarbi, un successo che fa discutere », sur estense.com (consulté le ) - (it) « Collezione Cavallini-Sgarbi al Castello Estense », sur itinerando.it (consulté le ) - (it) « La collezione Cavallini Sgarbi Da Niccolò dell'Arca a Gaetano Previati. Tesori d'arte per Ferrara », sur beniculturali.it (consulté le ).
  4. (it) « Mostra al castello del Buon Consiglio », sur buonconsiglio.it (consulté le ).

Annexes

Bibliographie

  • (it) Pietro Di Natale, Lotto Artemisia Guercino : le stanze segrete di Vittorio Sgarbi, Cinisello Balsamo, Silvana, .
  • (it) Pietro Di Natale, Dal Rinascimento al Neoclassico : le stanze segrete di Vittorio Sgarbi, Santarcangelo di Romagna, Maggioli musei, .
  • (it) Pietro Di Natale, La collezione Cavallini Sgarbi : da Niccolò dell'Arca a Gaetano Previati : tesori d'arte per Ferrara, Milan, La nave di Teseo, .

Liens externes

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