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Empada

Empada est une ville et un secteur du mĂȘme nom dans la rĂ©gion de Quinara en GuinĂ©e-Bissau[1]. La ville est situĂ©e sur le RĂ­o Grande de Buba, le secteur borde l'ocĂ©an Atlantique Ă  l'ouest.

Empada
une illustration sous licence libre serait bienvenue
GĂ©ographie
Pays
Province of Guinea-Bissau
RĂ©gion
Superficie
777,4 km2
Altitude
40 m
Coordonnées
11° 33â€Č N, 15° 14â€Č O
DĂ©mographie
Population
17 517 hab. ()
Densité
22,5 hab./km2 ()
Fonctionnement
Statut
Carte

Historiques

A l'origine, les habitants s'installaient sur le site de la commune en raison de la présence d'une source naturelle, appelée localement « sanjuna ». Le gouvernement portugais a carrelé le puits en 1946 et l'a nommé Fonte Frondosa (la fontaine feuillue).

Population

La ville compte 2267 habitants; le secteur compte 17 517 habitants selon le recensement de 2009[1]. Les enfants de moins de cinq ans constituaient 22 % de la population. L'analphabétisme est élevé : 11 % des hommes et 23 % des femmes ne savaient ni lire ni écrire en 2009[1]. Les habitants sont majoritairement de la population Biafadas avec d'importantes minorités de Mandinka et quelques Balanta et Fula.

Subdivision administratif

La ville d'Empada a deux parties avec une subdivision en trois quartiers ( bairros ), chacun avec un ancien du village.

Le secteur Empada comprend 85 communes, principalement des villages ruraux ( tabancas ).

Les principales localités selon le recensement de 2009[1]ː

  • Batambali (690)
  • Dar Salam (713)
  • Empada (2267)
  • Franconde Beafada (1255)
  • GĂŁ-Comba Beafada (588)
  • MĂ©dina de Cima Beafada (234)
  • MĂ©dine de Baixo (387)
  • SĂŁo Miguel Balanta (387)

Education

En plus de quelques dizaines d'écoles primaires, Empada possÚde un lycée appelé Liceu Dom Settimio A.Ferrazetti. En 2021, le lycée comptait plus de 1000 étudiants. Il y a un centre de santé appelé Rui Djassi avec une dizaine de lits et une salle d'accouchement.

Economie

Les principales activitĂ©s Ă©conomiques de la population du secteur sont la culture de la noix de cajou, la production d'huile de palme, la pĂȘche et, principalement pour leur propre usage, la culture de l'arachide, du haricot, du riz et de divers fruits.

Personnalité lie a la ville

Références

  1. « Guinea Bissau Census Data, 2009 - Guinea-Bissau Data Portal », guinebissau.opendataforafrica.org (consulté le )
  2. (pt) Godinho Gomes, « A Mulher guineense como sujeito e objecto do debate histórico contemporùneo: Excertos da história de vida de Teodora Inåcia Gomes » [PDF], Africa Development, (consulté le ), Volume XLI, No. 3, 2016, pp. 71-95
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