Dolmen de la Mouise-Martin
Le dolmen de la Mouise-Martin est situé à Tripleville dans le département de Loir-et-Cher.
| Dolmen de la Mouise-Martin | ||||
|   Vue générale de l'édifice | ||||
| Présentation | ||||
|---|---|---|---|---|
| Type | Dolmen | |||
| Période | Néolithique | |||
| Protection |  Inscrit MH (1979) | |||
| Caractéristiques | ||||
| Matériaux | calcaire de Beauce | |||
| Géographie | ||||
| Coordonnées | 47° 57′ 01″ nord, 1° 30′ 13″ est | |||
| Pays | France | |||
| Région | Centre | |||
| Département | Loir-et-Cher | |||
| Commune | Tripleville | |||
| Géolocalisation sur la carte : Loir-et-Cher 
 Géolocalisation sur la carte : Centre-Val de Loire 
 Géolocalisation sur la carte : France 
 | ||||
Protection
L'édifice a fait l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques par arrêté du [1].
Description
L'édifice est un dolmen à portique orienté est-ouest. La chambre rectangulaire mesure 4,20 m de long sur 2 m de large. Elle était à l'origine recouverte par deux tables de couverture, dont une sub-trapézoïdale (3,30 m par 3 m) est demeurée en place. La seconde table mesure 2,05 m sur 1,60 m. Elle a été remise en place par le génie militaire en . La chambre est délimitée par une dalle de chevet à l'ouest, trois orthostates au sud et deux au nord. L'entrée, à l'ouest, est en partie fermée par une petite dalle (1 m par 0,30 m et 0,90 m). Elle était précédée d'un portique, désormais effondré, qui était surmonté d'une table de couverture (2 m sur 1,70 m)[2].
| Dalle | Longueur | Épaisseur | Largeur | 
|---|---|---|---|
| Chevet | 1,90 m | 0,35 m | 0,90 m | 
| Orthostate sud | 1,50 m | 0,85 m | 0,95 m | 
| Orthostate sud | 1,45 m | 0,30 m | 0,90 m | 
| Orthostate sud | 1,50 m | 0,50 m | 0,90 m | 
| Orthostate nord | 1,55 m | 0,40 m | 0,80 m | 
| Orthostate nord | 2,35 m | 0,60 m | 0,85 m | 
| pilier sud du portique | 1 m | 0,30 m | 0,90 m | 
| Données : Inventaire des mégalithes de France, 3-Loir-et-Cher[2] | |||
Le tumulus est encore en partie visible. Il mesure 11 m de long sur 8 m de large pour 1 m de hauteur. Toutes les dalles sont en calcaire de Beauce prélevé sur place[2].
Notes et références
Annexes
    Bibliographie
 : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.
 : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.
- Jackie DespriĂ©e et Claude Leymarios, Inventaire des mĂ©galithes de France, 3-Loir-et-Cher, Paris, Éditions du CNRS, coll. « 1er supplĂ©ment Ă  Gallia PrĂ©histoire », , 246 p. (ISBN 978-2-222-01569-7), p. 142.  



