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DXC Technology

DXC Technology est une société de service américaine issue de la fusion de Computer Sciences Corporation et de la division « Enterprise Services » de Hewlett-Packard Enterprise[3]. CSC gère les métiers du conseil, tandis qu’HPE s'occupe de l’infogérance et de l’infrastructure.

DXC Technology
logo de DXC Technology

Création 1959
Dates clés Avril 1959 : création de CSC par Roy Nutt et Fletcher Jones

Avril 2017 : introduction en bourse de DXC technology juin 2018 : scission de sa filiale Perspecta

Forme juridique Société anonyme avec appel public à l'épargne
Action New York Stock Exchange (DXC)[1] - [2]
Siège social Drapeau des États-Unis États-Unis
Direction Mike Salvino (CEO)
Activité Technologie de l'information
Effectif 137 000
Site web https://www.dxc.com/us/en

Chiffre d'affaires 24,5 milliards $ (2017)

DXC se positionne dans le domaine de la transformation numĂ©rique auprès des entreprises et des gouvernements. L'entreprise compte 137 000 salariĂ©s et 6 000 clients, rĂ©partis dans plus de soixante-dix pays[4].

Historique

CSC a été fondée en 1959 par Roy Nutt et Fletcher Jones.

En 1962, l'entreprise enregistre un chiffre d'affaires annuel de plus d'un million de dollars. Six ans plus tard, en 1968, elle devient la première compagnie de logiciels informatiques cotée en bourse.

En mai 2016, les activités de CSC sont fusionnées à celles de Hewlett Packard Enterprise, dans une transaction d'une valeur estimée à 8,5 milliards de dollars. Cette association représente 37 % des activités de HP Enterprise, pour un chiffre d'affaires de 4,7 milliards de dollars[5].

Le 3 avril 2017 le groupe DXC Technology ouvre à la bourse de New York sous l'acronyme “DXC” et intègre l'indice S&P 500[6].

Le 5 juillet 2017, DXC Technology annonce le rachat de Tribridge, intégrateur de Microsoft Dynamics 365 comptant 740 salariés aux États-Unis et en Europe pour un montant de 152 millions de dollars[7].

Le , l'entreprise annonce le rachat de M-Power Solutions, partenaire Oracle opérant en Australie et Nouvelle-Zélande[8].

Le , DXC se sĂ©pare de ses activitĂ©s dĂ©diĂ©es au secteur public amĂ©ricain, qui prennent le nom de Perspecta. Cette nouvelle sociĂ©tĂ© entre en bourse après une fusion avec Vencore et KGS Holding; elle compte 14 000 salariĂ©s et 4,2 milliards de dollars pro forma[9].

En mars 2020, DXC annonce la vente de ses activités liées à la santé pour cinq milliards de dollars à Veritas Capital[10].

DXC Technology en France

En France, DXC compte plus de trois mille salariés en 2018. Ses bureaux sont implantés à La Défense (siège national), Toulouse, Grenoble, Lyon, Lille et Strasbourg. La région comprend la France, la Belgique, l'Espagne, l'Italie, le Luxembourg, Malte, et le Portugal.

Benjamin Revcolevschi est Head of France, Belgium, Netherlands & Luxemburg Portfolio.

Notes et références

  1. « http://www.businesswire.com/news/home/20170215005815/en/DXC-Technology-Revealed-Combined-CSC-HPE-Enterprise », sous le nom DXC Technology Revealed as Name for Combined CSC and HPE Enterprise Services (consulté le )
  2. Polygon.io, (firme), consulté le
  3. (en) « DXC Technology Revealed as Name for Combined CSC and HPE Enterprise Services Business Following Merger Completion », sur csc.com (consulté le ).
  4. « DXC Technology sera le nom de la nouvelle société après la finalisation de la fusion entre CSC et HPE Enterprise Services » (consulté le ).
  5. « HPE se scinde en deux à nouveau - Les Echos », sur www.lesechos.fr (consulté le )
  6. (en) Michael Novinson, « A Channel Force Arrives: DXC Technology Born From Close Of CSC-HPE Enterprise Services Merger », CRN,‎ (lire en ligne, consulté le )
  7. (en) « Large Tampa tech firm, IT service provider sells to Fortune 500 firm », sur www.bizjournals.com
  8. (en) « DXC Technology acquires Australia’s M-Power Solutions », ARN,‎ (lire en ligne, consulté le )
  9. (en) Perspecta Inc., « Perspecta Completes Separation from DXC Technology, Begins Trading Today on the NYSE », sur prnewswire.com (consulté le )
  10. « DXC Technology to sell healthcare unit for $5 billion to Veritas Capital », sur Reuters,

Liens externes

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