DK Lacertae

DK Lacertae (ou Nova Lacertae 1950) était une nova qui survint en 1950 dans la constellation du Lézard. Elle atteignit une magnitude minimale (correspondant à une luminosité maximale) de 5,7[2]. Sa distance, estimée à l'aide de la mesure de sa parallaxe par le satellite Gaia, est très approximativement d'environ 2 500 pc (∼8 150 a.l.)[3].

DK Lacertae

Données d'observation
(époque J2000.0)
Ascension droite	22^h 49^m 46,9315^s[1]
Déclinaison	+53° 17′ 19,799″[1]
Constellation	Lézard
Magnitude apparente	5,7 ± 0,3 (mv_max) 16,8 ± 0,4 (mv_min)[2]
Localisation dans la constellation : Lézard

Caractéristiques
Variabilité	nova

Astrométrie
Mouvement propre	μ_α = −1,945 mas/a[1] μ_δ = −1,722 mas/a[1]
Parallaxe	0,402 6 ± 0,069 7 mas[1]
Distance	2 517+788 −261 pc (∼8 210 a.l.)[3]
Magnitude absolue	−6,8 (M_max) +1,1 (en temps normal)[3]

Caractéristiques physiques
Masse	0,83 ± 0,15 M_☉ (naine blanche)[2]

Autres désignations

Nova Lacertae 1950, DK Lac, 2MASS J22494690+5317192[4]

Notes et références

(en) A. G. A. Brown et al. (Gaia collaboration), « Gaia Data Release 2 : Summary of the contents and survey properties », Astronomy & Astrophysics, vol. 616,‎ août 2018, article n^o A1 (DOI 10.1051/0004-6361/201833051, Bibcode 2018A&A...616A...1G, arXiv 1804.09365). Notice Gaia DR2 pour cette source sur VizieR.
(en) Pierluigi Selvelli et Roberto Gilmozzi, « A UV and optical study of 18 old novae with Gaia DR2 distances: mass accretion rates, physical parameters, and MMRD », Astronomy & Astrophysics, vol. 622,‎ février 2019, p. 16, article n^o A186 (DOI 10.1051/0004-6361/201834238, Bibcode 2019A&A...622A.186S, arXiv 1903.05868)
(en) Bradley E. Schaefer, « The distances to Novae as seen by Gaia », Monthly Notices of the Royal Astronomical Society, vol. 481, n^o 3,‎ décembre 2018, p. 3033-3051 (DOI 10.1093/mnras/sty2388, Bibcode 2018MNRAS.481.3033S, arXiv 1809.00180)
(en) V* DK Lac -- Nova sur la base de données Simbad du Centre de données astronomiques de Strasbourg.

Lien externe

(en) DK Lacertae sur la base de données Simbad du Centre de données astronomiques de Strasbourg.

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