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Critiques du socialisme

Les critiques du socialisme se réfèrent aux critiques des modèles socialistes d'organisation économique, de leurs efficacités et de leurs faisabilités, ainsi que des implications politiques et sociales de tels systèmes. Certaines critiques ne sont pas dirigées vers le socialisme en tant que système, mais sont dirigés vers des mouvements socialistes, des partis politiques socialistes ou des états socialistes existants.

Certaines critiques considèrent le socialisme comme un concept purement théorique qui doit être critiqué pour des raisons théoriques, d'autres soutiennent que les expériences socialistes peuvent être critiquées sur les faits. Certains encore veulent englober plusieurs exemples historiques d'États communistes dans une forme de socialisme. Le socialisme est donc une notion large, certaines critiques présentées dans cet article ne s'appliqueront qu'a un modèle spécifique du socialisme qui peuvent différer considérablement des autres types de socialisme.

Les libéraux économiques, libertariens, pro-capitalistes et quelques libéraux classiques considèrent l'entreprise privée, la propriété privée des moyens de production et l'échange sur le marché comme des phénomènes naturels ou moraux, au centre de leurs conceptions de la liberté. Et par opposition, les membres de ces trois groupes peuvent percevoir la propriété publique des moyens de production, des coopératives et de la planification économique parrainé par l'État comme des attentes à la liberté, causant la soumission, la servitude et la contrainte des individus envers une administration autoritaire peu respectueuse de la vie privée.

Les membres de l'école néoclassique d'économie critiquent les théories socialistes qui favorisent la participation de l'État ou de la centralisation du capital sur les motifs du manque de motivation au sein des institutions de l'État d'agir sur l'information aussi efficacement que les gestionnaires dans les entreprises capitalistes parce qu'ils n'ont pas de forte contrainte (profit et mécanisme de perte), ce qui réduit le bien-être économique global pour la société. Les membres de l'école autrichienne d'économie soutiennent que les systèmes socialistes basé sur la planification économique sont impossibles parce qu'ils n'ont pas l'information pour effectuer le calcul économique en premier lieu en raison d'un manque de prix libre, qu'ils croient nécessaires pour rationnelle calcul économique. Les membres du mouvement politique socialiste critiquent souvent les conflits internes du mouvement socialiste en créant une sorte de « vide de responsabilité ».

Critiques de la définition du socialisme

Un plus grand dénominateur commun de ce terme peut donner les définitions suivantes :

« Le socialisme désigne un large éventail de théories économiques de l'organisation sociale qui ont la propriété collective et de l'administration relatives à l'objectif politique de création d'une société égalitaire. »

« Il peut être définie comme la modification du modèle alternatif au capitalisme développé la théorie politique, les relations sociales existantes avec l'objectif de l'égalité sociale et la justice, et selon ces principes, la société organisée et un mouvement politique qui cherche l'ordre social. »

« Il est basé sur une théorie d'un affrontement permanent entre des groupes artificiellement définies : "Les classes sociales". »

L'acception étroite du terme, surtout depuis la fin des années 1960 et l'avènement de la Nouvelle Gauche, n'a plus guère de sens, comme l'indique clairement la définition suivante:

« Le terme est maintenant un peu plus clairement étendu sans limites. Le socialisme est sans cesse redéfini les objectifs de politique et un contenu différents et adaptés. »

L'importance de la diversité est également renforcée par le fait que le terme socialisme décrit à la fois les méthodes et les buts, les mouvements sociaux et politiques aussi bien que des phases socio-historique et des systèmes de la société existante; en particulier :

  • sur l'interprĂ©tation, l'analyse, la critique, l'idĂ©al et / ou la conception pratique de certaines conditions sociales sur des thĂ©matiques socio-Ă©conomique, de thĂ©orie politique, philosophique, Ă©thique ou Ă©ducatif;
  • un mouvement politique, qui a tentĂ© de mettre en Ĺ“uvre des pratiques justifiĂ©es par les demandes du socialisme et ses objectifs;
  • l'Ă©tat de la sociĂ©tĂ© ou l'ordre social qui incarne des formes de vie du socialisme dans la production Ă©conomique;
  • dans le cadre du marxisme-lĂ©ninisme, un dĂ©veloppement historique mondial dans la transition de communistes Ă  la formation sociale capitaliste.
  • le terme «État socialiste/socialisme rĂ©el» dĂ©signe les États qui ont Ă©tĂ© Ă©cartĂ©s depuis 1917 par un parti communiste, habituellement dans un système de parti unique.

Critiques de la gestion des principaux courants

Critiques de la social-démocratie européenne

Pour une critique plus détaillée, voir Critiques du socialisme social-démocrate en Europe

Le socialisme social-démocrate tel qu'il existe en Europe à la fin du XXe siècle est critiqué sur sa gestion passée et ses valeurs, lors des campagnes électorales, à la fois par son aile gauche comme par son aile droite.

Sur son aile-gauche, le socialisme est critiqué pour avoir mené une politique capitaliste de droite trahissant les idéaux socialistes. Ainsi en Europe, le(s) parti(s) socialiste(s) est critiqué pour avoir accepté la privatisation et l'ouverture à la concurrence sous forme de marchés des services d'intérêt généraux tels que le gaz, l'électricité, et les services postaux, téléphoniques, autoroutiers, ferroviaires et aériens. Il est également critiqué pour avoir privé l'État des moyens de mener une politique monétaire propre, au travers de l'indépendance de la banque centrales, et du pacte de stabilité. Au Royaume-Uni, il a également été critiqué pour les frais universitaires. Il est également critiqué pour les effets de dumping fiscal créés par la libéralisation de la circulation des biens et des personnes à l'intérieur de l'Union européenne alors que l'harmonisation fiscale n'est pas aboutie.

Le socialisme est critiqué par la droite, pour sa position sur le droit du travail, pour le niveau des dépenses de l'État et le niveau et la répartition des impôts, ainsi que pour le cout plus élevé de travail en Europe par rapport à la Chine populaire. Il est également critiqué pour ses politiques sociales considérées comme de l'assistanat.

Le socialisme est enfin critiqué par l'extrême droite, sous les motifs du chômage, de l'insécurité, et de la présence de personnes d'origines étrangères sur le territoire national. Il est également critiqué pour avoir libéralisé la circulation des biens et des personnes à l'intérieur de l'Union européenne.

Critiques théoriques

Un certain nombre de penseurs, d'économistes et d'historiens soulèvent certains problèmes découlant des théories socialistes. On peut citer entre autres Frédéric Bastiat, Milton Friedman, Ayn Rand, Ludwig von Mises, Friedrich Hayek.

Comptabilité, marché et centralisation

Les systèmes d'économie de marché (et aussi le système capitaliste) induisent des éléments de comptabilité économique tels que le profit, les prix et les salaires variables qui par des mécanismes de comparaison peuvent jouer un certain rôle d'autorégulation. Un socialisme qui supprime ou réduit tout ou partie de ces éléments d'information peut conduire à les remplacer par une décision (planification?) centrale pour déterminer le fonctionnement de l'économie. Ce type de décision centrale se trouve classiquement dans de nombreux systèmes politiques, par exemple pour fixer le salaires des fonctionnaires, les taux de taxes (dans la TIPP) ou les tarifs médicaux, mais il se retrouve également dans de grand conglomérats qui décident de manière centrale du taux de profitabilité, ou de l'évolution de l'enveloppe de la masse salariale.

Avant 1991, le débat était féroce sur la possibilité (ou non) d'une planification efficace. Ce débat est maintenant plus apaisé avec la chute du mur.

Les éléments du débats sont :

  • l'existence de groupes qui reprĂ©sentent une fraction significative de l'Ă©conomie de leur pays d'origine, et qui par ailleurs reprĂ©sentent une force Ă©conomique (en chiffre d'affaires, en nombre de salariĂ©s, etc.) supĂ©rieure Ă  des petits pays. Pourtant, ces groupes rĂ©ussissent suffisamment bien Ă  gĂ©rer leurs affaires.
  • la disponibilitĂ© de moyens de calcul colossaux, tout Ă  fait Ă  mĂŞme de gĂ©rer l'optimisation de plusieurs milliers de paramètres, ce qui est suffisant pour les grandes masses de l'Ă©conomie.
  • l'Ă©chec des Ă©conomies planifiĂ©es des rĂ©gimes d'inspiration marxiste-lĂ©niniste, qui n'est pas l'unique idĂ©e du socialisme.

La conclusion de ces débats est que le problème de la planification ne réside pas dans le manque de moyens de calcul, et ne réside que peu dans la faible qualité de l'information. C'est essentiellement un problème de motivation tant des chefs que des subordonnés.

Motivation de l'individu

Le socialisme collectiviste ou communiste entendrait, selon ses critiques, soumettre les individus à la volonté du groupe pour tendre vers ce qui serait supposé être l'intérêt général. En économie, les moyens de productions seraient communs et seul le groupe ou ses représentants, les conseils ouvriers, auraient un pouvoir décisionnel. Cela pourrait avoir de nombreuses conséquences néfastes :

  • Alors que dans une Ă©conomie Ă  base individuelle chaque acteur peut tester concrètement ses propres idĂ©es, ce qui conduit Ă  de nombreuses variantes, au contraire le groupe socialiste ne teste, le plus souvent, qu'une seule option Ă  la fois.
  • la prise de dĂ©cision par un groupe est toujours plus lente et plus difficile que la prise de dĂ©cision par un individu seul. Inversement, il est difficile pour le groupe de faire marche arrière et de revenir sur une dĂ©cision antĂ©rieure : une telle proposition constitue toujours une critique implicite de celui qui a pris la dĂ©cision, beaucoup plus difficile dans un cadre public et alors qu'il n'y a pas d'alternative Ă  la lĂ©gitimitĂ© du groupe.
  • le traitement des dĂ©saccords profonds au sein du groupe (ceux qui menacent jusqu'Ă  son existence) pose une grave difficultĂ©.
  • l'expression d'une opinion dissidente peut mener Ă  l'exclusion sociale de l'individu qui doit se soumettre Ă  la pensĂ©e du groupe qui seul peut dĂ©tenir la vĂ©ritĂ©.
  • l'individu peut ĂŞtre rĂ©compensĂ© ou puni par le groupe ; cependant, les dĂ©terminants des dĂ©cisions en la matière relèvent entre autres des affinitĂ©s qu'il peut nouer au sein du groupe. Il peut ĂŞtre plus rentable de travailler directement son image au sein du groupe, que de travailler tout court (puisque cela ne constitue qu'un des Ă©lĂ©ments de son image au sein du groupe).
  • Dans ce contexte, les efforts d'un individu ne lui profitent que peu.

Les socialistes insistent beaucoup, pour résoudre ces problèmes en partie, sur l'importance de l'éducation et de la morale civique, or :

  • Il est douteux que l'Ă©ducation permette de dĂ©barrasser l'Homme de tout son Ă©goĂŻsme, ou d'amener toutes les personnes Ă  tendre systĂ©matiquement vers les mĂŞmes choix ou prĂ©fĂ©rences.
  • Il apparait immĂ©diatement la question de la mesure du succès dans cette entreprise d'Ă©ducation, et des consĂ©quences d'un Ă©chec : que faut-il faire des Ă©goĂŻstes incorrigibles ou des individus en dĂ©saccord ? Doivent-ils se soumettre Ă  la loi commune de socialisation ou dĂ©velopper un autre système en parallèle ?

Place des groupes intermédiaires

Comme il est difficile d'imaginer consulter la population globale pour toutes les questions, et que cela n'apparait même pas souhaitable sur le plan de la justice sociale, il faut nécessairement des groupes intermédiaires. Cela pose alors le problème de leur place et de leur importance au sein de la collectivité socialiste (nous parlons ici d'un système autogéré).

Au XXe siècle

Igor Chafarevitch dresse une critique du socialisme dans son livre le PhĂ©nomène socialiste, Ă©crivant que « le dĂ©pĂ©rissement, et Ă  la limite, la mort de l'humanitĂ© ne sont pas la consĂ©quence fortuite, extĂ©rieure, de l'incarnation de l'idĂ©al socialiste, mais en constituent au contraire l'Ă©lĂ©ment organique essentiel. Cet Ă©lĂ©ment inspire les propagandistes de l'idĂ©ologie socialiste qui le perçoivent d'ailleurs plus ou moins consciemment. La mort de l'humanitĂ© n'est pas seulement le rĂ©sultat du triomphe du socialisme, elle constitue le but du socialisme Â»[1]. Dans son livre il analyse de nombreuses formes de socialisme, depuis les temps anciens en passant par les hĂ©rĂ©sies mĂ©diĂ©vales et jusqu'aux penseurs modernes et aux Ă©tats socialistes, il en rĂ©sulte selon lui que l'idĂ©ologie socialiste dĂ©coule d'une volontĂ© de supprimer l'individualitĂ© humaine[2]. Il identifie trois thèmes persistants d'abolition dans le socialisme : l'abolition de la propriĂ©tĂ© privĂ©e, l'abolition de la famille et l'abolition de la religion, principalement mais pas seulement le christianisme[3].

Critiques pragmatiques

Ces critiques se fondent sur les résultats concrets réellement observés des systèmes socialistes : famines soviétiques, Grand Bond en avant, effondrement de l'Union soviétique, crise économique vénézuélienne, etc.

L'emprise de l'État

Dans Économie et société et dans sa conférence sur le socialisme, le sociologue Max Weber prophétise que le socialisme engendre une pénétration de l'État dans l'économie, anticipant Mises et Hayek, qui aura pour effet de créer une sorte de fonctionnaires, échappant à tout contre-pouvoirs, en unifiant les agents de la fonction publique et le personnel de bureau et d’encadrement des entreprises privées. Max Weber en tire la conclusion que « c’est la dictature du bureaucrate, et non pas celle de l’ouvrier, qui est en marche, du moins pour le moment »[4].

Dans la pratique historique, le socialisme s'est traduit généralement par une plus ou moins forte emprise de l'État sur l'individu, laissant peu d'espace pour la libre solidarité et coopération entre les hommes que prône l'idée socialiste. On peut parler à ce sujet de « socialisme d'État », de « capitalisme d'État » (en parlant du modèle chinois) plus ou moins autoritaire et bureaucratique, ou d'État-providence visant un certain nivellement des situations économiques individuelles et dont les résultats trouvent vite leurs limites (ex. : affaiblissement de la croissance en Suède alors que l'État a pris de plus en plus d'importance[5]), voire effets pervers (ex. : politiques d'égalité appauvrissant les femmes ne suivant pas le modèle masculin[6]).

L'incitation pour l'entreprise

Selon les partisans du libéralisme économique, le profit est le mécanisme qui permet d'évaluer le niveau de performance économique d'une entreprise : les entreprises les plus profitables sont celles qui sont les plus efficaces et qui répondent le mieux à la demande de leurs clients[7].

Dans un système planifié, il n'y a pas de mécanisme de pertes et profits qui permette de mesurer précisément l'efficacité des programmes. Sans le profit, affirment les critiques, il n'y a aucune façon de discipliner les entreprises qui ne servent pas l'intérêt public, ni de récompenser les autres[7]. C'est le profit qui motive l'entrepreneur à produire des biens qui sont insuffisamment produit, et qui lui permet de produire les biens les plus nécessaires[8].

L'absence de prix, source d'information

Certaines formes de socialisme proposent d'abolir complètement l'argent (ex. : Léninisme[9] - [10]), ou d'autres de fixer les prix par voie gouvernementale (ex. : National-Socialisme[11]).

Selon les partisans du libre marché, la planification centrale est condamnée à l'inefficacité et est vouée à l'écroulement car le calcul économique est impossible. En effet, le système des prix permet la coordination des agents, en jouant le rôle de signal : si les prix d'un bien augmentent, les producteurs sont incités à produire davantage de ce bien, les acheteurs à chercher des substituts, si le prix d'un bien baisse, les producteurs sont dés-incités à produire et les consommateurs sont incités à acheter davantage. La planification centrale doit être en mesure de connaître toutes les préférences de tous les agents, sans quoi, elle produit certains biens en quantité excessive et d'autres biens en quantité insuffisante. Ludwig von Mises explique qu'« il n'y a que le tâtonnement dans le noir » (« There is only groping in the dark. »)[12].

Lien avec le national-socialisme

La question des relations, voire d'une parenté existant entre nazisme et socialisme a provoqué des polémiques depuis l'origine du national-socialisme. Au-delà de celles-ci, cette question relève de la science politique et de l’histoire. La question a ainsi été sérieusement soulevée depuis les années 1940 par un penseur comme Friedrich Hayek[13]. Elle a rebondi dans des travaux contemporains controversés[14], comme ceux de Ernst Nolte ou Jean-François Revel[15].

Hitler lui-même se réclamait du socialisme :

« Unser Sozialismus, der wahre Sozialismus, stellt gerade die Nation, die Not- und Brotgemeinschaft in den Mittelpunkt; er lehnt die liberale Doktrin von der individuellen Freiheit, auf der Kapitalismus und als sein Pendant Marxismus ruhen, restlos ab und setzt an deren Stelle die Gebundenheit des Blutes und den Zusammenhang des Volkes. Gerade aber daraus resultiert, daß Sozialist sein muß,… wer sein Volk wahrhaft liebt! »

— Adolf Hitler[16]

« Notre socialisme, le vrai socialisme, pose la nation, la communauté affamée et en détresse au centre ; il rejette sans relâche la doctrine libérale de la liberté individuelle, sur laquelle repose le capitalisme et son pendant le marxisme et pose à la place les liens du sang et la solidarité du peuple. C'est bien pour cela qu'est socialiste,… celui qui aime véritablement son peuple ! »

Notes et références

  1. Igor Chafarevitch, cité par Claude Polin, Le Totalitarisme, Paris, PUF, coll. « Que sais-je ? », 1982, p. 104.
  2. The Socialist Phenomenon, by Igor Shafarevich. (1980) Translated by William Tjalsma. Foreword by Aleksandr I. Solzhenitsyn. 319 pp. New York: Harper & Row.
  3. The Socialist Phenomenon, by Igor Shafarevich. (1980) pp.132-192
  4. François Chazel « Les Écrits politiques de Max Weber : un éclairage sociologique sur des problèmes contemporains », Revue française de sociologie 4/2005 (Volume 46), p. 841-870. URL : www.cairn.info/revue-francaise-de-sociologie-2005-4-page-841.htm.
  5. Yves Bourdet, « La Suède et les limites de l'État-providence », Observations et diagnostics économiques : revue de l'OFCE, no 25,‎ , p. 75-100 (DOI https://doi.org/10.3406/ofce.1988.1153, lire en ligne)
  6. Caroline Henchoz, « Des effets pervers des politiques d’égalité. L’exemple de la Suisse et du Québec », SociologieS,‎ (lire en ligne)
  7. (en) Ludwig von Mises, Profit and Loss, (lire en ligne)
  8. (en) Murray N. Rothbard, Man, Economy and State, with Power and Market, (lire en ligne)
  9. Richard Pipes (dir.) (trad. de l'anglais), La révolution russe [« The Russian Revolution »], Presses universitaires de France, coll. « Connaissance de l'est », (1re éd. 1991), 880 p.
  10. Pascal Avot, « Ce jour où l’argent disparut », sur contrepoint.org, (consulté le )
  11. (en) GĂĽnter Reimann, The Vampire Economy, (lire en ligne)
  12. (en) Ludwig von Mises, Economic Calculation in the Socialist Commonwealth, (lire en ligne)
  13. Notamment dans son ouvrage La Route de la servitude
  14. Ernst Nolte, I presupposti storici del nazionalsocialismo e la «Presa del potere» del gennaio 1933, (œuvre littéraire), Marinotti,
  15. Christoph BrĂĽll, « NOLTE ERNST - (1923-2016) », sur universalis.fr (consultĂ© le ) : « Ernst Nolte est violemment critiquĂ© pour son concept de « nĹ“ud causal », qui interprète le national-socialisme comme une rĂ©ponse Ă  la violence communiste, et surtout pour avoir Ă©tabli un lien entre le Goulag et les camps d’extermination. »
  16. (de) Albrecht Tyrell, FĂĽhrer befiehl.... Selbstzeugnisse aus der "Kampfzeit" der NSDAP, Gondrom Verlag, (ISBN 381120694X)

Voir aussi

Article connexe

Ouvrages

Articles

    • Louis Reybaud, « Études sur les rĂ©formateurs contemporains ou socialistes modernes. Saint-Simon, Charles Fourier, Robert Owen », dans Revue des deux Mondes, 1842.
    • Louis Reybaud, « Études sur les rĂ©formateurs ou socialistes modernes. La sociĂ©tĂ© et le socialisme, les communistes, les chartistes, les utilitaires, les humanitaires », dans Revue des deux Mondes.

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