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Club Atlético Vélez Sarsfield

Le Club Atlético Vélez Sarsfield est un club omnisports argentin particulièrement connu pour son équipe de football, fondé le et basé à Buenos Aires.

Vélez Sarsfield
Logo du Vélez Sarsfield
Généralités
Nom complet Club Atlético Vélez Sarsfield
Surnoms Le Fortin[1]
Fondation
Couleurs blanc et bleu
Stade Estadio José Amalfitani
(49 600 places)
Siège Av. Juan B. Justo 9200 Buenos Aires
Championnat actuel Primera División
Président Sergio Rapisarda
Entraîneur Sébastian Ariel Mendez
Joueur le plus capé Fabián Cubero (es) (633)
Meilleur buteur Carlos Bianchi (206)
Site web www.velezsarsfield.com.ar

Maillots

Domicile
Extérieur
Neutre

Actualités

Pour la saison en cours, voir :
Championnat d'Argentine de football 2023
0

Vélez Sarsfield est résident du stade José Amalfitani, dans le quartier Liniers, à l'ouest de la ville. Avec sept championnats d'Argentine et cinq titres internationaux (dont une coupe intercontinentale), le club est le plus titré du pays après les cinq grands du football argentin.

Le club doit son nom à une station de chemin de fer de la Buenos Aires Western Railway (renommée depuis Floresta) à proximité de laquelle il a été fondé. Cette station faisait référence à Dalmacio Vélez Sarsfield, homme politique auteur du Code civil argentin en 1869. Il intègre le championnat de l'Asociación Amateurs de Football en 1919, puis le championnat professionnel à sa création en 1931. Il n'en a été relégué qu'une fois, en 1940, avant de retrouver sa place dans l'élite en 1944. Il remporte son premier titre en 1968.

L'apogée du club s'étend de 1993 à 1998, au cours de laquelle il remporte quatre championnats d'Argentine et six titres internationaux, dont la Copa Libertadores et la coupe intercontinentale en 1994. En 2012-2013, Vélez remporte avec le tournoi 1° División, un 10e titre national.

Historique

Premières années

La 1° équipe de 1910

Le , Julio Guglielmone, Martín Portillo et Nicolás Martín Moreno, qui se trouvent alors à la station de chemin de fer Vélez Sarsfield, prennent la décision de fonder un nouveau club de football afin d'intégrer le championnat local. Le Club Atlético Argentinos de Vélez Sarsfield était né, et son premier président, Luis Barredo, engagé. Résidente d'un terrain situé entre les rues des Provincias Unidas (devenue rue Juan Bautista Alberdi), Convención (rue José Bonifacio), Ensenada et Mariano Acosta, cette équipe joue d'abord tout en blanc car ce sont les maillots les moins chers et les plus faciles à se procurer[3], avant d'opter pour des maillots bleu marine et des shorts blancs.

En 1912, les dirigeants décident de déménager dans le quartier de Mataderos, puis dans celui de Villa Luro. En 1913, le nom du club est raccourci, par suppression de Argentinos. Le , du fait de l'afflux d'immigrés italiens au club, celui-ci opte pour les couleurs rouge, verte et blanche du drapeau italien.

À cette époque, le football argentin est encore amateur. Le club s'affilie successivement à différentes fédérations, et intègre notamment la première division lancée par l'Asociación Amateurs de Football à sa création en 1919. Vélez remporte son premier match officiel contre le Club Atlético Independiente (2-1) grâce à deux buts de Salvarredi et termine sa première saison à la deuxième place derrière le Racing[4].

Équipe de 1919

Composition :

  • Acacio Caballero
  • Atilio Braneri
  • Atilio Barderacco
  • Miguel Fontana
  • José Luis Boffi
  • Julio Giachi
  • Juan Bru
  • Humberto Bassadone
  • Marcelino Martínez
  • Martín Salvarredi
  • Alberto Granara

Caballero
Giachi
Badaracco
M. Fontana
Brameri
Salvarredi
Martínez
Bru
Boffi
Granara
Bassadone

En 1920, Salvador Carreras est le premier joueur du club à remporter le titre de meilleur buteur du championnat. L'année suivante, José Luis Boffi devient le premier joueur de Vélez sélectionné en équipe nationale (pour une victoire de l'Argentine sur le Chili, 4-1).

Les années Amalfitani

Le , José Amalfitani (es) devient pour la première fois président du club : il fait acheter un terrain à Villa Luro afin de construire un stade pour le club, qui est inauguré le lors d'une rencontre face à River Plate (2-2). Le , le club joue le premier match en nocturne de l'histoire du football argentin. Cet événement sera commémoré 41 ans plus tard, quelques mois après la disparition de leur mythique président par une rencontre amicale contre le Santos FC et ce sera aussi l'occasion d'inaugurer son niveau système d'éclairage, le plus performant du continent[3]. En 1928, Vélez est le premier club argentin à engager un entraîneur, Luis Martín Castellano, qui restera en poste jusqu'en 1936. En 1930-1931, Vélez part en tournée à travers le continent américain : l'équipe dispute 25 matchs et en remporte 20[5].

La tournée américaine (1930-1931)

En 1931, Vélez intègre le tout nouveau championnat professionnel argentin. Son premier match est perdu sur le terrain de Platense (1-0). Deux ans plus tard, les dirigeants changent de nouveau les couleurs du club. L'histoire dit qu'ils profitent d'une offre de leur fournisseur et optent ainsi pour le maillot actuel du club (maillot blanc à scapulaire bleu), aux dépens des couleurs rouges, vertes et blanches utilisées jusque-là. En effet, le maillot avait été conçu au départ pour une équipe de rugby ne l'ayant jamais réclamé. D'autre part, les relations commerciales avec l'Italie n'étaient plus de mise[3].

Vélez est alors connue comme une équipe difficile à jouer sur son terrain mais qui connaît des difficultés à l'extérieur, ce qui l'empêche de se battre pour le titre. En référence à cette habilité à domicile, apparaît dans la presse dès 1932 l'expression qui va devenir le surnom du club : El Fortin[6]. Dans le stade de Villa Luro, Vélez reste notamment invaincu pendant 24 matchs entre 1934 et 1935 (le record sera battu dans le nouveau stade de Liniers, avec 28 matchs sans défaite entre 1967 et 1969).

L'équipe de 1943, championne de D2 qui permet la remontée dans l'élite

Pourtant en 1940, le club termine à la 17e place, un point derrière le Club Atletico Atlanta, vainqueur inattendu et suspect du CA Independiente (6-4)[7], ce qui le condamne à la relégation en deuxième division. Le club se trouve alors dans une crise profonde, ce qui provoque le retour du président José Amalfitani (qui avait quitté son poste en 1925). Celui-ci hypothèque même sa propre maison pour combler les dettes[8]. En 1943, Vélez remporte le championnat de deuxième division et retrouve finalement l'élite.

En 1947, le club lance la construction d'un nouveau stade dans le quartier de Liniers, inauguré en 1951. Le club, qui compte alors comme joueur emblématique le gardien de but international Miguel Angel Rugilo (es) (sélectionné notamment pour un match amical disputé par l'Argentine à Wembley face à l'Angleterre), réalise des parcours solides en championnat et s'ancre solidement en première division. En 1953, Vélez termine à la seconde place du championnat, quatre points derrière River Plate, tenant du titre.

Velez pour son premier titre en 1968

Dans les années 1960, le club grandit et l'équipe termine régulièrement dans les premières places du championnat argentin. Cinquième en 1966, troisième en 1967, Vélez décroche finalement son premier titre national en 1968. Premier du championnat Nacional à la différence de buts mais à égalité de points (22) avec River Plate et le Racing, Vélez remporte le tournoi triangulaire organisé pour désigner le champion, grâce notamment Omar Wehbe, meilleur buteur du championnat avec seize réalisations en dix-sept matchs.

Le club argentin décline pourtant pour des raisons économiques sa première partition à la Copa Libertadores 1969 (finalement remportée par les Argentins d'Estudiantes de La Plata, tenants du titre), et en profite pour organiser des tournées amicales, et notamment jouer un match amical contre le Santos de Pelé. Lors du championnat 1969, Vélez termine à la troisième place. Sur ces bons résultats, José Amalfitani quitte définitivement la présidence du club, après trente ans de responsabilité ; le stade est renommé en son honneur.

Vice-champions de 1953

Composition :

  • Nicolás Adamo
  • Oscar Antonio Huss
  • Ángel Allegri
  • Armando Ovide
  • Jorge Ruiz
  • Rafael García Fierro
  • Norberto Conde
  • Ernesto Sansone
  • Juan José Ferraro
  • Osvaldo Zubeldía (es)
  • Juan Carlos Mendiburu (es)
  • DT : Victorio Spinetto

Adamo
García
Allegri
Ovide
Huss
Zubeldía
Ferraro
Conde
Ruiz
Mendiburu
Sansone
Champions d'Argentine de 1968

Composition :

  • Miguel Marín (es)
  • Luis Gallo
  • Iselín Santos Ovejero (es)
  • Luis Atela
  • Eduardo Zóttola
  • Alberto Ríos
  • Roberto Moreyra
  • José Solórzano
  • Daniel Willington (es)
  • José Luis Luna
  • Omar Wehbe
  • Carlos Bianchi
  • Mario Nogara
  • DT: Manuel Giúdice

Marín
Zóttola
Atela
Gallo
Ovejero
Rios/Moreyra
Willington
Wehbe
Solórzano
Bianchi/Nogara
Luna

Les infructueuses années 1970 et 1980

Carlos Bianchi, meilleur buteur du club

Sur la lancée de son premier titre, Vélez Sársfield se bat en tête du championnat au début de la décennie : 3e de son groupe de championnat Nacional en 1970, le club perd inexplicablement le championnat Metropolitano 1971 alors qu'il compte trois points d'avance sur Independiente à deux journées de la fin... Carlos Bianchi est le meilleur buteur de ces deux championnats, cumulant 54 buts en 56 journées.

En 1972 et 1973, Vélez termine à la 3e place de son groupe de Nacional, ce qui ne lui permet pas de se qualifier pour les demi-finales du championnat. En 1974, le club termine à la troisième place du championnat final de Nacional... Vélez multiplie ainsi les places d'honneur, sans parvenir à remporter un nouveau titre ni à se qualifier pour la Copa Libertadores.

En 1979, Vélez perd la finale du championnat Metropolitano face à River Plate, mais remporte en fin de saison un duel qualificatif pour la Copa Libertadores face à Unión de Santa Fe, finaliste du championnat Nacional[9]. Après avoir pris le dessus sur River Plate et les Chiliens du Sporting Cristal et de l'Atlético Chalaco, el Fortin est finalement éliminé par le Sport Club Internacional et América Cali en demi-finale de la Copa Libertadores 1980.

Malgré le retour de Bianchi en 1980, meilleur buteur du championnat Nacional en 1981, les années 1980 ressemblent à la décennie précédente, avec une succession de places d'honneur, sans nouveau titre. Lors du Nacional 1985, Vélez élimine Boca Juniors, Newell's Old Boys et River Plate avant de s'incliner lors d'une première finale face à Argentinos Juniors aux tirs au but (2-0, 0-2 (4-2))... ce qui lui donne droit de disputer la finale du tournoi de repêchage, remportée face à River Plate (2-1). À ce titre, Vélez affronte de nouveau Argentinos Juniors pour une nouvelle finale du championnat. Battu cette fois aux tirs au but (1-1 (4-3)), Argentinos Juniors bénéficie à son tour d'un repêchage, qui conduit à l'organisation d'une troisième finale... remportée par Argentinos Juniors (2-1), qui gagne ainsi officiellement le championnat.

Après un certain creux dans la deuxième moitié des années 1980, le renfort de joueurs prestigieux comme Ubaldo Fillol ou encore Esteban Fernando González, meilleur buteur du championnat en 1990-1991, permet à Vélez de retrouver sa place parmi les meilleures équipes d'Argentine. Second du championnat de Clôture 1992, Vélez se qualifie pour la première édition de la Coupe CONMEBOL.

L'âge d'or

Après 25 ans sans succès, les dirigeants de Vélez font appel en décembre 1992 à Carlos Bianchi, ancien attaquant du club (et du Paris Saint-Germain) et champion d'Argentine en 1968, qui n'a pourtant que deux expériences mitigées d'entraîneur en France (à Reims, en D2, et à Nice). Sous sa direction, Vélez Sársfield va devenir l'une des meilleures équipes du monde, remportant les plus grands trophées en quelques années.

La première compétition de l'équipe de Bianchi est le Tournoi de clôture du championnat d'Argentine de football 1993. Le , Vélez remporte officiellement le titre après un match nul face à Estudiantes de La Plata (1-1), qui voit le gardien de but José Luis Chilavert marquer le premier de ses nombreux buts pour le club. À la fin du tournoi, El Fortin compte 10 victoires et 7 nuls en 19 matchs.

La Copa Libertadores 1994

À l'automne 1993, El Fortin termine à la deuxième place du tournoi d'ouverture du championnat 1993-1994, un point derrière River Plate. Qualifiés pour la Copa Libertadores 1994, Vélez prend le dessus sur Boca Juniors et les Brésiliens de Cruzeiro et Palmeiras en phase de groupe. Qualifiés pour le tournoi final de l'été 1994, les Argentins atteignent la finale en éliminant les Uruguayens de Defensor Sporting Club aux tirs au but (1-1, 0-0), les Vénézuéliens de Minervén FC (0-0, 2-0) puis les Colombiens de Junior aux tirs au but (2-1, 1-2). Opposés aux Brésiliens du São Paulo Futebol Clube, ils l'emportent 1-0 à domicile mais s'inclinent sur le même score au Brésil, ce qui obligent les deux équipes à se départager lors d'une nouvelle séance de tirs au but, au cours de laquelle le gardien de but Chilavert, spécialiste de cet exercice, arrête un tir adversaire avant de marquer le sien.

Champions d'Amérique du Sud, les joueurs de Buenos Aires, où Roberto Pompei compense le départ de Walter Pico (es), sont qualifiés pour la Coupe intercontinentale la même année. Le , ils affrontent à Tokyo les Italiens du Milan AC, vainqueurs de la Ligue des champions de l'UEFA 1993-1994. Vélez Sarsfield l'emporte 2-0, grâce à des buts de Roberto Trotta (sur pénalty) et Omar Asad[10]. Ce succès fait officiellement de Vélez le meilleur club du monde.

Équipe-type 1993-94

Composition :

Chilavert
Cardozo
Sotomayor
Almandoz/Zandona
Trotta
Bassedas
Pompei
Flores/González
Gómez
Asad
Basualdo

Troisième de chacune des deux phases du championnat 1994-1995, Vélez, renforcé par l'éclosion des jeunes Mauricio Pellegrino, Patricio Camps (en), Martín Posse, Fernando Pandolfi (en) ainsi que les frères Claudio Husaín et Darío Husaín (en), remporte les deux phases du championnat la saison suivante. En parallèle, l'équipe remporte début 1996 l'édition 1994 de la Copa Interamericana face aux Porto-ricains du CS Cartagines. Sur ces succès, Bianchi cède son poste à l'été 1996 à Osvaldo Piazza (ancien défenseur de l'AS Saint-Étienne dans les années 1970), arrivé au club un an plus tôt.

Piazza remporte rapidement deux nouveaux titres continentaux : la Supercopa Libertadores à l'automne 1996[11], qui voit le club éliminer Gremio Porto Alegre (3-3, 1-0), Club Olimpia (3-0 et 1-0), Santos (2-1 and 1-1) et en finale les Brésiliens de Cruzeiro (1-0 et 2-0) ; et la Recopa Sudamericana 1996, remportée en avril 1997 face à CA River Plate aux tirs au but (1-1). Alors que le club connaît des difficultés en championnat, Piazza est remplacé à l'été 1997 par Marcelo Bielsa. Quatrième lors du tournoi d'ouverture du championnat 1997-1998, Vélez Sársfield remporte finalement un cinquième titre de champion lors du tournoi de clôture.

Ce succès et le départ de Bielsa pendant l'été signent la fin de l'âge d'or du club, qui a remporté en quelques années tous les titres qu'il était susceptible de conquérir. Vélez est éliminé par River Plate en quart de finale de la Copa Libertadores 1999 tandis qu'il est relégué en milieu de tableau en championnat.

Un club argentin important

Match décisif entre Vélez et Huracan en 2009
Manifestation pour le centenaire de Vélez

Le passage de l'an 2000 voit Vélez Sársfield obtenir des résultats moins brillants, que ce soit en championnat ou en Copa Libertadores, pour laquelle il est qualifié en 2001 et 2002 grâce à ses bons résultats des années précédentes. Lors du tournoi de clôture du championnat 2002-2003, l'équipe se bat longtemps en tête avant de décliner et d'être dépassée par River et Boca, mais la saison suivante est décevante.

Pour autant, le club construit une nouvelle équipe rajeunie, bâtie essentiellement avec des joueurs issus de son centre de formation. Après avoir terminé deuxième du tournoi d'ouverture en 2004, Vélez remporte finalement un nouveau titre lors du tournoi de clôture 2005. Le match du titre, une victoire 3-0 sur Estudiantes de La Plata se joue devant 50 000 spectateurs[12].

Après plusieurs années décevantes, Vélez remporte un septième titre national inattendu lors du tournoi de clôture du championnat 2008-2009, qui le voit battre son dauphin Huracán (1-0), à égalité de points avant la dernière journée, devant 48 000 spectateurs[13].

Champions de 2005

Composition :

Sessa
Broggi/Bustamante
Pellegrino
Cubero
Fuentes
Bravo
Gracián
Castromán
Somoza
R.Zárate
Gutiérrez
Champions de 2009

Composition :

Montoya
Papa
Otamendi
Diaz
Dominguez
Zapata
Moralez
Cristaldo/Larrivey
Razzotti
López
Cubero

Le , le club fête son centenaire. 60 000 supporters prennent part à une marche du quartier de Floresta jusqu'à l'estadio José Amalfitani, dans le quartier de Liniers[14].

Lors de l'avant-dernière journée du tournoi de clôture 2011, Vélez profite de la défaite de son dauphin Lanús, pour décrocher un 8e titre[15]. En 2012, Vélez remporte avec le tournoi Inicial, un 9e titre national. En 2012/13, Vélez remporte avec le tournoi 1° División, un 10e titre national.

Palmarès

Compétitions internationales Compétitions nationales

Infrastructures

Stades

Estadio José Amalfitani

Personnages du club

Présidents

Liste des présidents de Vélez Sarsfield
  • 1910-1913 : Luis Barredo
  • 1913-1914 : Plácido Marín
  • 1914 : Roberto Piano
  • 1914-1917 : Eduardo Ferro
  • 1917-1919 : Antonio Marín Moreno
  • 1919 : Eduardo Ferro
  • 1920-1921 : Antonio Marín Moreno
  • 1921-1923 : Esteban Aversano
  • 1923-1925 : José Amalfitani (es)
  • 1925-1932 : Enrique D'Elías
  • 1932-1935 : Nicolás Marín Moreno
  • 1936-1937 : Juan C. Sustaita
  • 1937 : Narciso Barrio
  • 1938-1939 : Nicolás Marín Moreno
  • 1937-1938 : Inocencio Bienati
  • 1940-1941 : Roberto L. Orstein
  • 1941-1969 : José Amalfitani (es)
  • 1969 : Leonardo Pareja
  • 1969-1970 : Domingo M. Trimarco
  • 1970-1976 : José R. Feijóo
  • 1976-1979 : Osvaldo Guerrero
  • 1979-1985 : Ricardo Petracca
  • 1985-1991 : Francisco Antonio Pérez
  • 1991-1993 : Ricardo Petracca
  • 1993-1996 : Héctor Gaudio
  • 1996-1999 : Raúl Gámez
  • 1999-2002 : Carlos E. Mousseaud
  • 2002-2005 : Raúl Gámez
  • 2005-2008 : Álvaro Balestrini
  • 2008-2011 : Fernando Raffaini

Entraîneurs[16]

Les entraîneurs suivants sont emblématiques pour avoir remporté au moins un titre avec Vélez, Carlos Bianchi ayant parmi eux remporté le plus de trophées (et notamment la coupe intercontinentale en 1994).

Records

Joueurs les plus capés en championnat
# Joueur Nat. Matchs
1Pedro Larraquy (es)Drapeau de l'Argentine Argentine455
2Ángel AllegriDrapeau de l'Argentine Argentine384
3Raúl CardozoDrapeau de l'Argentine Argentine353
4Carlos BianchiDrapeau de l'Argentine Argentine324
5Luis GalloDrapeau de l'Argentine Argentine317
6Armando OvideDrapeau de l'Argentine Argentine310
7Fabián Cubero (es)Drapeau de l'Argentine Argentine298
8Juan Carlos BujedoDrapeau de l'Argentine Argentine288
9Mario LuccaDrapeau de l'Argentine Argentine281
10José Luis ChilavertDrapeau du Paraguay Paraguay270
Meilleurs buteurs en championnat
# Joueur Nat. Buts
1Carlos BianchiDrapeau de l'Argentine Argentine206
2Juan José FerraroDrapeau de l'Argentine Argentine111
3Norberto CondeDrapeau de l'Argentine Argentine108
4Agustín CossoDrapeau de l'Argentine Argentine95
5Pedro Larraquy (es)Drapeau de l'Argentine Argentine82
6Juan Carlos CaroneDrapeau de l'Argentine Argentine76
7Miguel Ángel BenitoDrapeau de l'Argentine Argentine74
8Patricio Camps (es)Drapeau de l'Argentine Argentine70
9Daniel Willington (es)Drapeau de l'Argentine Argentine65
10Omar Pedro RoldánDrapeau de l'Argentine Argentine60

Joueurs emblématiques

Les joueurs suivants sont considérés comme emblématiques dans l'histoire de Vélez Sársfield car ils remplissent au moins un des critères suivants :

  • avoir joué au moins cent matchs pour le club
  • avoir été distingué par une récompense individuelle
  • avoir été sélectionné dans leur carrière à au moins vingt reprises en équipe nationale
  • avoir disputé dans leur carrière une coupe du monde
Années 1930 - années 1980
Années 1980 - années 1990
Années 1990 - années 2000
Années 2000 - années 2010

(voir aussi Catégorie:Joueur du Vélez Sarsfield)

Effectif actuel

Au [17]

Nat. Poste Nom du joueur
1 Drapeau de l'Argentine G Matías Borgogno
2 Drapeau de l'Uruguay D Diego Godín
3 Drapeau de l'Argentine D Emanuel Insúa
5 Drapeau de l'Argentine D Francisco Ortega
6 Drapeau de l'Uruguay D Matías de los Santos
7 Drapeau du Paraguay M José Florentín
8 Drapeau de l'Argentine M Franco Díaz
9 Drapeau de l'Uruguay A Sebastián Sosa (en prêt de Boston River)
10 Drapeau de l'Argentine M Luca Orellano
11 Drapeau de l'Argentine A Lucas Janson
12 Drapeau de l'Argentine A Lucas Pratto
14 Drapeau du Brésil A Lenny Lobato
15 Drapeau de l'Argentine M Agustín Mulet
16 Drapeau de l'Argentine M Máximo Perrone
17 Drapeau de l'Argentine D Lautaro Gianetti
18 Drapeau de l'Argentine A Julián Fernández
19 Drapeau des États-Unis M Joel Soñora (en prêt de Banfield)
No. Nat. Position Nom du joueur
21 Drapeau de l'Argentine A Santi Castro
22 Drapeau de la Bolivie G Carlos Lampe (en prêt d’Always Ready)
23 Drapeau de l'Argentine A Agustín Bouzat
24 Drapeau de l'Argentine D Tomás Guidara
25 Drapeau de l'Argentine A Federico Versaci
26 Drapeau de l'Argentine A Mateo Seoane
28 Drapeau de l'Argentine D Miguel Brizuela
29 Drapeau de l'Argentine D Leonardo Jara
30 Drapeau de l'Argentine G Lucas Hoyos
31 Drapeau de l'Argentine D Valentín Gómez
32 Drapeau de l'Espagne A Mateo Pellegrino
34 Drapeau de l'Argentine D Damián Fernández
35 Drapeau de l'Argentine M Santiago Cáseres
36 Drapeau de l'Argentine M Nicolás Garayalde
39 Drapeau de l'Argentine A Abiel Osorio
Drapeau de l'Argentine A Jonathan Menéndez (en prêt du Real Salt Lake)

Culture populaire

Rivalités

Les supporters du Vélez Sarsfield connaissent d'intenses rivalités avec un grand nombre de fans d'autres clubs de la capitale argentine. Cependant, l'animosité est particulièrement forte envers Ferro Carril Oeste, autre club de l'ouest de la capitale. Au fil des années, Vélez a également construit une relation conflictuelle avec San Lorenzo et ces matchs sont parmi les plus bouillants du championnat argentin.

Article connexe

Notes et références

  1. « #143 – CA Vélez Sarsfield : el Fortín » (consulté le )
  2. Seuls les principaux titres en compétitions officielles sont indiqués ici.
  3. Gauthier de Hoÿm de Marien, 100 clubs de foot de légende, Paris, 2016, p.58
  4. (en) Football argentin des années 1910 sur rsssf.com
  5. (es) La Historia de Vélez Sarsfield : 1910-1980. Comisión de Asuntos Históricos, p. 82-93, Buenos Aires, 1980.
  6. Review Journal, 13 juillet 1932, p. 12
  7. Independiente, deuxième au classement mais battu quelques semaines plus tôt par Vélez (5-4), est mené à la mi-temps 6-0 par l'Atlanta.
  8. Gauthier de Hoÿm de Marien, 100 clubs de foot de légende, Paris, 2016, p.59
  9. (en) Argentina - Domestic Championships 1979, rsssf.com
  10. (es) Conmemoración del gol de Asad, Clarín, 2002
  11. (en) Supercopa Libertadores 1996, rsssf.com
  12. (es) Vélez Sarsfield y Atlético Nacional se tutean con la gloria, conmebol.com
  13. (es) El Vélez Sarsfield, campeón del torneo Clausura argentino, elpais.com, 2009
  14. (es) « Simplemente Gracias », sur Site officiel du club,
  15. (es) « Vélez aprovechó la ayuda de Argentinos y es campeón », sur www.clarin.com (consulté le )
  16. « Club Atlético Vélez Sarsfield - Historique du staff », sur Transfermarkt.fr (consulté le ).
  17. (en) « Velez Sarsfield squad », sur Soccerway (consulté le )

Bibliographie

Gauthier de Hoÿm de Marien, 100 clubs de foot de légende, Paris, Hachette, , 275 p. (ISBN 978 2 01 396291 9)

Liens externes

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