Chapelle Saint-Étienne-Saint-Henri de Colombes
La chapelle Saint-Étienne-Saint-Henri de Colombes dans les Hauts-de-Seine est un lieu de culte catholique[1].
Chapelle Saint-Étienne-Saint-Henri | ||||
Présentation | ||||
---|---|---|---|---|
Culte | Catholique romain | |||
DĂ©but de la construction | 1935 | |||
Architecte | Henri Vidal | |||
Style dominant | NĂ©o-roman | |||
GĂ©ographie | ||||
Pays | France | |||
RĂ©gion | ĂŽle-de-France | |||
DĂ©partement | Hauts-de-Seine | |||
Commune | Colombes | |||
Coordonnées | 48° 55′ 48″ nord, 2° 15′ 43″ est | |||
GĂ©olocalisation sur la carte : Hauts-de-Seine
GĂ©olocalisation sur la carte : ĂŽle-de-France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
| ||||
Histoire
Construite par l'Œuvre des Chantiers du Cardinal, qui en confie les plans à l'architecte Henri Vidal, elle a été inaugurée en , et ses cloches bénies en par le cardinal Verdier.
Touché par les bombardements alliés au printemps 1942[2] qui endommagent la façade et le clocher-mur[3], son campanile est reconstruit en 1955[4].
Deux bombardements lors de la dernière guerre ont endommagé la façade et le clocher-mur, sans toucher au gros œuvre. La reconstruction en a un peu modifié l’aspect.
Description
Statues : Sainte Thérèse de l'Enfant-Jésus d’Antoniucci Volti, Vierge de P. Cazaubon, Saint Antoine de Padoue de Henry Rey, Saint Joseph de J.-O. Maës, et Sacré-Cœur de Robert Coutin, sculpture en taille directe,
Les vitraux actuels qui remplacent le verre blanc d’origine ont été posés en 1945. Ils sont l'œuvre des maîtres-verriers André Pierre et Marthe Oehler.