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Championnat de France amateurs de football 1936-1937

Le championnat de France amateurs de football 1936-1937 est la troisième édition du championnat de France amateurs, appelé Challenge Jules-Rimet, compétition organisée par la Fédération française de football association entre le 11 avril et le 23 mai 1937.

Championnat de France amateurs 1937
Généralités
Sport Football
Organisateur(s) FFFA
Édition 3e
Lieu(x) Drapeau de la France France
Date 11 avril au 23 mai 1937
Participants 15 champions de Ligues
Épreuves Poules, demi-finales et finale
Matchs joués 25
Statut des participants Amateur
Palmarès
Vainqueur Girondins de Bordeaux FC
Finaliste Football club de Scionzier
Buts 91

Navigation

Cette compétition met aux prises les champions des Ligues régionales, dans une épreuve de fin de saison. Elle est ouverte à toutes les équipes premières des sociétés, même celles disposant d'une équipe professionnelle.

Les quinze champions de Ligues participent à cette édition, qui voit les Girondins de Bordeaux FC remporter son premier trophée dans la compétition, en battant en finale le Football club de Scionzier, par deux buts à un au stade olympique Yves-du-Manoir à Colombes.

Histoire

Un an après la création du Championnat de France professionnel, la Fédération française de football association met en place, en 1933, une commission d'étude d'une compétition fédérale amateur[1]. Au conseil d'avril 1934 à Strasbourg, le projet de règlement d'une épreuve de fin de saison, qui oppose les vainqueurs de chaque Ligue, est adopté[2] - [3]. Le championnat de France amateur débute en avril 1935. Quatorze champions de Ligues participent à cette première édition. Le président de la FFFA, Jules Rimet, offre personnellement un trophée à la compétition qui prend alors le nom de Challenge Jules-Rimet[4].

Depuis 1935, la « Commission de propagande et du Championnat de France amateurs » gère l'organisation et l'administration de l'épreuve[5]. Elle a également la charge de l'élaboration du calendrier, de la composition des poules, de l'ordre des rencontres et de l'homologation des résultats. La Commission propose également des modifications au règlement du championnat de France amateurs, statuées lors des Conseils nationaux.

Cette troisième édition du Championnat de France amateurs est toujours organisé avec le concours du journal Le Matin[6].

Dans un but de propagande, la Commission met en place pour cette saison 1936-1937, une journée réservée aux sélections amateurs des Ligues métropolitaines[7]. Cinq matchs sont au programme de cette journée nationale de propagande, le 21 mars 1937 : Nord-Est–Lorraine (3-2) à Chaumont, Lyonnais–Alsace (1-1) à Annecy, Centre–Nord (1-3) à Bourges, Auvergne–Paris (2-1) à Clermont-Ferrand, et Centre-Ouest–Normandie (1-4) à Cognac. Un sixième match, pour la constitution de l'équipe de France amateurs, en vue du France-Tchécoslovaquie du 11 avril, a lieu au Mans, ce même jour, sur le terrain de l'US du Mans[8] entre une sélection amateurs et une sélection amateurs de clubs autorisés[note 1] (2-2)[9].

La Commission est composée, pour la saison 1936-1937, de MM. Duquesne[note 2] (président), Fusier (vice-président), Cottereau[note 3] (secrétaire), Cancel, Clayeux, Lebas et Verhaeghe[10].

Participants

La compétition est ouverte à toutes les équipes premières des sociétés[note 4] - [11], même celles disposant d'une équipe professionnelle.

L'engagement pour la troisième édition de cette compétition, réservée aux clubs champions de Division d'Honneur des Ligues métropolitaines, est toujours facultatif et doit être adressé par les Ligues avant le 15 février 1937[5]. Le nom du champion doit être connu au plus tard le 30 mars, sous peine de ne pas prendre part à l'épreuve[5].

La Commission de propagande et du C.F.A. enregistre, pour la première fois, l'engagement de toutes les Ligues[8]. Quinze clubs participent donc au championnat, dont neuf pour la première fois. L'ASJ Châteaudun[note 5] est le club le plus expérimenté dans la compétition avec une troisième participation[12].

Pour le Championnat de France amateurs, comme pour toutes les compétitions organisées par la FFFA, les clubs doivent remplir aux obligations de tous les règlements en vigueur (terrain, arbitre, ballon, licences, etc.)[5].

Compétition

Formule

L'organisation des deux premières éditions du championnat de France amateurs est conservée. Les quinze champions régionaux sont divisés en quatre poules géographiques, un de trois clubs, et trois de quatre, et se rencontrent en match aller uniquement[5]. Le classement se fait par addition de points, avec trois points pour un match gagné, deux points pour un match nul, un point pour une défaite et zéro point pour un forfait[5]. En cas d'égalité au classement à la première place, des matchs de barrage sont prévus. Trois dates sont retenues, plus une quatrième pour d'éventuels matchs de barrage.

Les quatre vainqueurs s’affrontent en demi-finales, déterminées par tirage au sort et jouées sur terrain neutre. La finale oppose les deux vainqueurs des demi-finales. Elle a lieu, pour la première fois, au stade olympique Yves-du-Manoir, à Colombes.

Phase de poules

La Commission de propagande et du championnat de France amateur forme les poules dans sa séance du 22 février[8], et établit le calendrier dans celle du 5 avril 1937[13]. Les trois journées sont fixées au 11 avril, 18 avril et 25 avril 1937[8], plus le 5 mai pour d'éventuels matchs de barrage. La Commission, en composant le calendrier de l'épreuve, s'est attaché à placer dans chacune des poules, deux clubs considérés comme « têtes de séries » qui joueront entre eux, lors de la troisième journée, sur terrain neutre[12]. En raison de la sélection de joueurs des équipes de Quevilly, Cazères, Béthune et Valentigney, pour le match France-Tchécoslovaquie amateurs du 11 avril à Tours[14] (2-2), quatre matchs de la première journée sont reportés au 2 mai[13].

Poule A

Les champions des Ligues de Paris, du Nord, de Lorraine et du Nord-Est se rencontrent dans cette première poule[8]. Chaque équipe joue une fois à domicile, une fois à l'extérieur et une fois sur terrain neutre lors de la troisième journée, pour garantir l'équité. Le match Saint‑Dizier‑Béthune de la première journée est reporté le 2 mai, le joueur Luddens du Stade béthunois étant sélectionné pour la rencontre France-Tchécoslovaquie du 11 avril[13].

Les clubs nordiste et parisien sont favoris de la poule. À la surprise générale, le SO de l'Est termine dernier, avec un petit match nul à son actif, face aux Béthunois, et deux défaites, en lorraine et sur son terrain face aux champions du Nord‑Est. Hagondange, après une première victoire, subi une cuisante défaite dans le Nord et perd toute ces chances face à des champenois bien supérieur, à Nancy. Saint-Dizier, victorieux deux fois, se contentent d'un match nul pour éliminer Béthune, lors du dernier match, reporté de la première journée. Les Bragards, outsiders de la poule se qualifient pour les demi-finales[15] - [6] - [16] - [17].

Détails des matchs





Classement de la poule A[note 6] - [note 7]
Rang Équipe Pts J G N P Bp Bc GA
1 AS Saint-Dizier-Marnaval 8 3 2 1 0 6 32
2 Stade béthunois 7 3 1 2 0 6 23
3 Union Hagondange 5 3 1 0 2 5 80,625
4 SO Est 4 3 0 1 2 2 60,333

Poule B

Les champions des Ligues de Normandie, de l'Ouest, du Centre, et du Centre-Ouest se rencontrent dans cette deuxième poule[8]. Chaque équipe joue une fois à domicile, une fois à l'extérieur et une fois sur terrain neutre lors de la dernière journée, pour garantir l'équité. Le match Angoulême‑Quevilly de la première journée, reporté un premier temps le 2 mai, en raison de la sélection du joueur Arroyo, de l'US quevillaise pour la rencontre France-Tchécoslovaquie[13], est avancé au 25 avril, les deux matchs de la troisième journée étant reporté au 2 mai[18].

Cette poule est la plus disputée. Avant la dernière journée sur terrain neutre, les quatre clubs ont une victoire à la maison et une défaite à l'extérieur à leur actif, et des barrages sont déjà envisagés. Grand favori, Quevilly se fait surprendre par Morlaix lors du dernier match au Mans. Dans le même temps, Châteaudun écrase Angoulême à Châtellerault[15] - [6] - [16] - [17]. Stadistes et écoliers sont ex-æquo en tête du classement, et comme le prévoit les règlements du championnat amateurs (article 4)[5], les deux clubs jouent un match de barrage, sur terrain neutre, pour se départager.

Détails des matchs





Classement de la poule B[note 6] - [note 7]
Rang Équipe Pts J G N P Bp Bc GA
1 Stade Morlaisien 7 3 2 0 1 10 61,667
1 AAEE Saint-Jean[note 5] 7 3 2 0 1 7 61,167
3 US quevillaise 5 3 1 0 2 4 41
3 AS Charentes 5 3 1 0 2 4 90,444

À égalité de points pour la première place du classement de la poule B, Morlaix et Châteaudun dispute un match de barrage le 6 mai, à Rennes. Le champion du Centre se présente avec une équipe affaiblie par la perte de son animateur, éloigné des terrains par une blessure. L'équipe bretonne, bien supérieure et plus mordante, prend alors sa revanche sur son vainqueur du premier match par un score sans appel, et participe aux demi-finales[19].

Détails du match

Poule C

Les champions des Ligues de Bourgogne-Franche-Comté, d'Alsace, du Lyonnais et d'Auvergne se rencontrent dans cette troisième poule[8]. Chaque équipe joue une fois à domicile, une fois à l'extérieur et une fois sur terrain neutre lors de la troisième journée, pour garantir l'équité. Le match Valentigney-Scionzier de la première journée est reporté au 2 mai, à la suite de la sélection, pour la rencontre France-Tchécoslovaquie du 11 avril, du joueur Parmegianl de l'AS Valentigney[13].

À l'issue des championnats régionaux, Valentigney ou Schiltigheim sont les plus probables représentant de la poule à participer aux demi-finales. Après une première victoire acquise en toute fin de match sur Vauzelles, les alsaciens rentrent dans le rang face à Scionzier. Valentigney, Champion de France amateurs en titre, après un match nul en Auvergne, élimine définitivement le champion d'Alsace à Colmar. Le dernier match de la poule, reporté de la première journée, est capital pour les Francs-Comtois. À Valentigney, les champions sont battus par de rudes savoyards, malgré leurs dominations. Scionzier, champion interdistricts 1934-35, champion de promotion l'année suivante, et tout juste champion du Lyonnais, rejoint les demi-finales[15] - [6] - [16] - [17].

Détails des matchs





Classement de la poule C[note 6] - [note 7]
Rang Équipe Pts J G N P Bp Bc GA
1 FC Scionzier 9 3 3 0 0 12 34
2 AS Valentigney 6 3 1 1 1 5 51
3 SC Schiltigheim 5 3 1 0 2 4 70,571
4 ASA Vauzelles 4 3 0 1 2 6 120,5

Poule D

Les champions des Ligues du Sud-Ouest, du Midi et du Sud-Est, se rencontrent dans cette dernière poule, de trois équipes[8]. Chaque équipe reçoit et se déplace une fois. La rencontre Cazères‑Sainte‑Barbe de la première journée est reporté le 2 mai, le joueur Gros de l'US Cazères étant sélectionné pour le match France-Tchécoslovaquie du 11 avril[13].

Dans cette poule de trois clubs, les Girondins s'imposent facilement, dans le premier match, devant les champions du Sud-Est, qui ont péché en défense. Les Bordelais sont les premiers qualifiés pour les demi-finales, en battant Cazères par un jeu plus direct et mieux mené, face à des adversaires manquant d'allant en attaque. Le dernier match, sans enjeu, voit la victoire des champions du Midi sur la Grand-Combe, malgré une belle partie des Gardois[6] - [16] - [17].

Détails des matchs


Classement de la poule D[note 6] - [note 7]
Rang Équipe Pts J G N P Bp Bc GA
1 Girondins Bordeaux FC 6 2 2 0 0 5 0∞
2 US Cazères 4 2 1 0 1 2 30,667
3 Stade Sainte-Barbe 2 2 0 0 2 0 40

Phase finale

Le Challenge Jules-Rimet remis aux Girondins de Bordeaux FC

La Commission de propagande et du championnat de France amateurs fixe les demi-finales au 9 mai, et la finale au 23 mai[13].

Tableau

Demi-finales

Le tirage au sort des demi-finales, effectué le 23 avril 1937, en présence de délégués des Ligues régionales, donne les rencontres « vainqueur poule D contre vainqueur poule B » et « vainqueur poule A contre vainqueur poule C »[20].

À la suite du match de barrage entre Morlaix et Châteaudun, la première demi-finale est repoussée au 16 mai. Aux Sables-d'Olonne, la rencontre entre Girondins et Morlaisiens est parfaitement équilibrée. Mais les bordelais s'affirment peu à peu, et marquent avant la mi-temps. Au retour des vestiaires, Bordeaux prend l'ascendant et domine son adversaire, sans pouvoir aggraver le score. Au contraire, sur un corner, les Bretons égalisent par un tir qui touche la barre. Mais sept minutes avant la fin de la rencontre, les Girondins, sur un exploit personnel d'un avant, enlèvent la victoire[21] - [22].

Deux révélations de ce championnat s’affrontent dans la deuxième demi-finale, jouée à Vauzelles, le 9 mai. La première mi-temps est à l'avantage des savoyards, plus méthodique et plus précis, les tentatives bragardes se brisant sur une défense de haute classe. À la quarantième minutes, l'ailier droit de Scionzier, après une percée, décroche un boulet de canon que le gardien champenois ne peut stopper. En seconde période, Saint-Dizier prend le jeu à son compte et s'installe devant le but adverse, mais sans réussite. À l'inverse, les savoyards jouent des contre-attaques fulgurantes, dont deux aggravent le score de façon définitive. Le FC Scionzier, meilleur attaque de la phase de poule, et tombeur du champion en titre, est en finale[17] - [19] - [23].

Détails des matchs

Finale

La finale du championnat de France amateur se joue au stade olympique Yves-du-Manoir à Colombes, le 23 mai 1937, en lever de rideau du match international France - Irlande Libre[24]. Cette rencontre se dispute entre les Girondins de Bordeaux football club, Champion de la Ligue du Sud-Ouest, et le Football Club de Scionzier, champion de la Ligue du Lyonnais.

Habitués des grandes rencontres, les Girondins sont donnés favoris et dominent la première mi-temps, avec un jeu plus académique et plus appliqué que les champions du Lyonnais. Les bordelais procèdent par des débordements sur les ailes, avec des centres pour les avants, devant une défense maladroite. Sur un de ces centres, l'avant-centre reprend d'un tir sec et marque le premier but du match. Juste après l'engagement, Scionzier obtient l'égalisation, sur un corner mal dégagé par la défense de Bordeaux. La mi-temps est sifflée sur le score de un but partout. Au retour des vestiaires, les alpins tentent de prendre le jeu en mains, se montrent plus rapide, et très dangereux sur des tirs, sans parvenir à marquer. Plus frais, les Girondins partent à l'assaut du but savoyard et marque un second but. La fin de la partie est à l'avantage des champions du Sud-Ouest. L'arbitre siffle la fin de la partie; Bordeaux s'impose deux buts à un[21] - [25] - [26].

Une réception est donnée à l'issue du match, au journal Le Matin, qui patronne l'épreuve. M. Chevalier, vice-président de la Fédération française de football association, remet alors les récompenses aux vainqueurs, devant une délégation officielle[26].

Détails du match

Bilan

Les Girondins de Bordeaux FC sont champions de France amateurs pour la première fois. L'équipe obtiendra un deuxième sacre en 1944, sous le nom de « Girondins AS du Port », et un troisième en 1953 en tant que « Les Girondins de Bordeaux ».

Seul club présent lors des trois premières éditions du championnat de France amateurs, l'ASJ Châteaudun[note 5] échoue d'un rien pour la qualification en phase finale.

Le Stade Sainte-Barbe de La Grand-Combe est la seule équipe à avoir perdu tous ses matchs.

Notes et références

Notes

  1. Un « club autorisé » est une société admise par les instances fédérales à engager des joueurs professionnels dans une équipe, pour jouer dans une compétition indépendante appelée le « Championnat de France professionnel ». C'est une abréviation de « club autorisé à utiliser des joueurs dans une équipe professionnel ». Les clubs autorisés sont gérés par le GCA (Groupement des clubs autorisé), devenu la «Ligue Nationale de football», puis de nouveau le GCA; c'est actuellement la «Ligue de football professionnel».
  2. Maurice Duquesne fut président de la Ligue du Centre. Il est l’auteur de Vingt et un ans de compétition nationale : 1935-1956 Championnat de France amateurs (Challenge Jules-Rimet), publié en 1957, par la Fédération française de football.
  3. Robert Cottereau fut secrétaire générale puis président de la Ligue du Centre-Ouest et vice-président de la FFF. Un stade porte son nom à Angoulême.
  4. Les règlements de la Fédération, en vigueur avant 1971, précisent dans son article 96, alinéa 2 : « L’équipe première est celle qui participe à un championnat amateur dans la catégorie la plus élevée ».
  5. L'association « Amicale des anciens élèves de l'école de la rue Saint-Jean », à Châteaudun, est généralement abrégée dans les documents d'époque en « ASJ Châteaudun », pour «Amicale Saint-Jean» à Châteaudun.
  6. Malgré les règlements officiels du championnat, qui donnent quatre distributions de points différentes (G=3, N=2, P=1 et F=0), il est impossible d'ajouter une colonne «Forfait», dans ce tableau.
  7. Il faut lire, dans l'entête de la dernière colonne, «GA», «Quot.» ou «Rap.»; la division de deux nombres n'ayant jamais fait une moyenne !

Références

  1. « Le Conseil National de juillet à Paris [suite] (procès-verbal de la séance du 22 juillet) », Football, no 191,‎ , p. 7
  2. Maurice Duquesne, Vingt et un ans de compétition nationale : 1935-1956 Championnat de France amateurs (Challenge Jules-Rimet), Fédération française de football, , 42 p., p. 11
  3. H. Delaunay, « Le Conseil National de Strasbourg (procès-verbal de la séance du 28 avril) », Football, no 230,‎ , p. 9
  4. Maurice Duquesne, Vingt et un ans de compétition nationale : 1935-1956 Championnat de France amateurs (Challenge Jules-Rimet), Fédération française de football, , 42 p., p. 13
  5. Annuaire F.F.F.A. Édition 1936-1937 : Règlement du Championnat de France Amateurs, Fédération française de football association, , p. 219-228
  6. Robert Cottereau, « Le championnat de France des amateurs - Une prochaine journée qui peut être décisive », Football, vol. 9, no 379,‎ , p. 4
  7. « Commission de propagande et du C.F.A. - séance du 15 janvier », Football, vol. 9, no 367,‎ , B
  8. « Commission de propagande et du C.F.A. - séance du 22 février 1937 », Football, vol. 9, no 373,‎ , p. D
  9. G. D., « Une journée de propagande qui fut un vrai succès », Football, vol. 9, no 375,‎ , p. 6
  10. « Commission de propagande et de C.F.A. - séance du 5 octobre 1936 - Élection du Bureau », Football, vol. 8, no 355,‎ , p. 4
  11. Annuaire édition 1968-1969 : Règlement généraux - chapitre V : Organisation des épreuves, Fédération française de football, , 318 p., p. 80
  12. Robert Cottereau, « Championnat de France des amateurs - Dimanche, premiers matches », Football, no 377,‎ , p. 11
  13. « Commission de Propagande et du C.F.A. - séance du 5 avril 1937 », Football, vol. 9, no 379,‎ , p. 14
  14. « Bureau fédéral - séance du lundi 5 avril 1937 », Football, no 377,‎ , p. 14
  15. Robert Cottereau, « Le championnat de France amateur - Premiers matches, premières surprises », Football, vol. 9, no 378,‎ , p. 9
  16. Robert Cottereau, « Le Championnat de France des clubs amateurs... - Indécis et passionnant », Football, vol. 9, no 380,‎ , p. 3 & 12
  17. Robert Cottereau, « Championnat de France amateurs - Le triomphe des outsiders... », Football, vol. 9, no 381,‎ , p. 6
  18. « Commission centrale des arbitres - séance du 22 avril 1937 », Football, vol. 9, no 382,‎ , p. D
  19. Robert Cottereau, « Championnat des amateurs - Scionzier... jouera la finale, Morlaix rencontrera les Girondins », Football, vol. 9, no 382,‎ , p. 9
  20. « Commission de propagande et du C.F.A. - séance du 23 avril 1937 », Football, vol. 9, no 380,‎ , p. 10
  21. Robert Cottereau, « Les Girondins ou Scionzier ? Qui sera dimanche champion de France ? », Football, vol. 9, no 383,‎ , p. 7
  22. « Le championnat de France », Le Matin, vol. 54, no 19414,‎ , p. 4 (lire en ligne)
  23. « Scionzier, de Savoie, jouera la finale du championnat de football du «Matin» », Le Matin, vol. 54, no 19407,‎ , p. 4 (lire en ligne)
  24. « Bureau fédéral - séance du lundi 25 janvier 1937 », Football, vol. 9, no 367,‎ , p. 10
  25. Robert Cottereau, « Les Girondins de Bordeaux, le titre de champion de France amateur... », Football, vol. 9, no 384,‎ , p. 3 & 6
  26. « Le championnat de France », Le Matin, vol. 54, no 19421,‎ , p. 4 (lire en ligne)

Voir aussi

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