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Château Viale

Le Château Viale est un château situé dans la ville de Kpalimé, chef-lieu de la préfecture du Kloto, à 120 kilomètres au nord-ouest de la capitale Lomé, dans la région des plateaux au Togo.

Château Viale
Image illustrative de l’article Château Viale
Château Viale
DĂ©but construction 1940
Fin construction 1944
Propriétaire initial Raymond François Viale
Propriétaire actuel Etat togolais
CoordonnĂ©es 6° 57′ 06″ nord, 0° 34′ 56″ est
Pays Drapeau du Togo Togo
RĂ©gion historique RĂ©gion des plateaux
Localité Kpalimé
GĂ©olocalisation sur la carte : Togo
(Voir situation sur carte : Togo)
Château Viale

GĂ©ographie

Histoire

Le château Viale tire son appellation d’un français d'origine allemande du nom de Raymond François Viale qui, séduit par le paysage de la localité, entreprend la construction de l’édifice en 1940 pendant la deuxième guerre mondiale [1]. Les travaux durent jusqu’en 1944.

Il accueille plusieurs conseils des ministres et sert d’hébergement jusqu’en 1979 aux présidents tels que le sénégalais Abdou Diouf et l'ivoirien Félix Houphouët-Boigny. Edem Kodjo et Joseph Kokou Koffigoh, à l’époque ministres, membres du gouvernement de Gnassingbé Eyadéma y séjournent aussi pendant un temps[2].

Le château connaît quelques travaux de rénovation qui durent de 1979 à 1982. Depuis sa création, il change de nom une seule fois. Ainsi, entre 1940 et 1978, il porte le nom de Château Vial. A partir de 1975, il sert de résidence présidentiel et devient Château présidentiel depuis 1979[3] - [4].

Notes et références

  1. Paul Ahyi, L'architecture française et l'oeuvre de Georges Coustère au Togo, Haho, (ISBN 2-913746-03-9, 978-2-913746-03-9 et 2-84586-026-9, OCLC 45805347, lire en ligne)
  2. « Le Château Viale |Patrimoine Historique & Culturel |Culture | Togo Tourisme », sur www.togo-tourisme.com (consulté le )
  3. « Château Vial-Château présidentiel : un patrimoine à sauver », sur togocultures.com (consulté le )
  4. La redaction, « Château Viale : historique de cet édifice surprenant par son architecture », sur operon-group.com, (consulté le )
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