Caballeros de la Quema
Caballeros de la Quema est un groupe de rock argentin. Mené par Iván Noble, le groupe est actif entre 1990 et 2001.
Pays d'origine | Argentine |
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Genre musical | Rock alternatif |
Années actives | 1990–2001 |
Anciens membres |
Iván Noble Pablo Guerra MartĂn MĂ©ndez Alejandro Sorraires MartĂn « Cafusa » Staffolari Javier « Nene » Cavo MartĂn Carro Vila |
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Biographie
Le groupe est formĂ© en 1990, avec Iván Noble (chant), Pablo Guerra, et MartĂn MĂ©ndez (guitare), Alejandro Sorraires et MartĂn « Cafusa » Staffolari (saxophone), Javier « Nene » Cavo (batterie) et MartĂn Carro Vila (basse). Ils publient leur premier album studio, Primavera Negra, en 1991. Leur deuxième album, Manos vacĂas, est publiĂ© en 1993, et comprend les morceaux Carlito et Patri. Ils jouent pour JoaquĂn Sabina Ă l'estadio Arquitecto Ricardo Etcheverry, et prennent part Ă un concert avec La Renga et Los Piojos sur la place du 9 juillet[1].
Castillo quitte le groupe, et est remplacé par Carro Villa. Le groupe publie un nouvel album, Sangrando, et joue pour Aerosmith. Sorraires quitte le groupe qui lance un nouvel album, Perros, perros y perros. L'album comprend le morceau No chamuyés et fait participer León Gieco[1].
La paciencia de la araña est enregistré en 1998, et comprend le morceau Avanti morocha. L'énorme succès du moreau mène à la sortie d'un album live la même année. Bien qu'il ne contienne aucune parole politique, le morceau est utilisé pendant les élections présidentielle de 2011 pour promouvoir la réélection de la présidente Cristina Fernández de Kirchner[2]. Il comprend aussi le morceau Mothers qui parle des mères de la place de Mai[3].
Fulanos de nadie est publié en 2000, et Otro jueves cobarde en 2001. Le groupe se sépare la même année et Iván Noble continue sa carrière en solo[1].
Membres
Discographie
Notes et références
- (es) « Caballeros de la Quema », CMTV (consulté le ).
- (es) Pablo Mendelevich, El Relato Kirchnerista en 200 expresiones, Argentina, Ediciones B, , 44-45 p. (ISBN 978-987-62-7412-8)
- (es) Pablo Plotkin, « "El glamour argentino es realmente berreta" », Página 12, (consulté le ).