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CĂ©cile Monnier

Cécile Monnier (née Thuret le et morte le ), mÚre de Pierre Monnier, est un médium français qui affirme avoir reçu de l'au-delà, du 5 août 1918 au 19 janvier 1937, par psychographie directe, des messages de son fils mort au combat en 1915.

CĂ©cile Monnier
Biographie
Naissance
DĂ©cĂšs
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Biographie

Pierre Monnier, né en 1891, arriÚre-arriÚre-petit-fils du maréchal Gabriel Jean Joseph Molitor et arriÚre-arriÚre-petit-neveu du maréchal Ney, terminait sa seconde année de service militaire à la déclaration de la guerre. Sur sa demande, il partit pour le front le 6 août, comme sous-lieutenant de réserve du 46e régiment d'infanterie. Il prit part à divers engagements en Belgique, à Stenay.

A FossĂ©, dans la Meuse, une balle lui traversa l’épaule ; malgrĂ© sa blessure, il demeura Ă  la tĂȘte de ses hommes jusqu’à la fin du combat, ne consentant Ă  ĂȘtre Ă©vacuĂ© qu’aprĂšs la prise des tranchĂ©es allemandes. A peine guĂ©ri, nous le retrouvons en Argonne oĂč il est nommĂ© lieutenant.[1]

Il mourut sur le front d'Argonne, au ravin des Meurissons, le 8 janvier 1915, Ă  l'Ăąge de 23 ans, "en se lançant au-devant d’ennemis qui avaient forcĂ© la premiĂšre ligne de tranchĂ©es, il fut atteint d’une balle au cƓur".

Le lundi 5 août 1918, Madame Monnier perçoit intérieurement un ordre que son fils lui donne :

Ne pense Ă  rien ! Ecris !

Elle cherche un crayon, prend un petit carnet de comptes et note :

Oui, c’est moi qui t’ai demandĂ© d’écrire. Je crois que par ce moyen nous arriverons Ă  communiquer bien plus facilement. Je suis si heureux de pouvoir te parler comme autrefois


L'originalitĂ© des messages retranscrits, par rapport Ă  d'autres messages de fils disparus Ă  leur mĂšre (Jeanne Morrannier, Marcelle de Jouvenel) ou leur pĂšre (Paul Gourvennec), est de provenir d'un milieu protestant oĂč les idĂ©es de survie aprĂšs la mort Ă©taient regardĂ©es avec toute la mĂ©fiance que peuvent projeter sur elles des textes bibliques pris Ă  la lettre, comme la communication de SaĂŒl avec l'Ăąme du prophĂšte Samuel (dans I Sm. 28).

Contenu de ses messages

Dans ses messages supposés venir de l'au-delà, Pierre Monnier développe de nombreuses idées théologiques.

Véracité des textes bibliques

  • Il affirme que saint Jean est bien l’auteur principal et le tĂ©moin direct et mĂȘme privilĂ©giĂ© de la vie de JĂ©sus [2]. Pierre Monnier parle dans ses messages de la complexitĂ© de la rĂ©daction de l'Évangile puisqu’il Ă©voque Ă©galement le rĂŽle jouĂ© dans sa rĂ©daction par les fils spirituels de ce Jean.
  • Il attribue l’ÉpĂźtre aux HĂ©breux Ă  Silas[3].
  • Il dĂ©fend l'idĂ©e selon laquelle si les Ă©vangiles ne rapportent pas toujours la phrase textuelle prononcĂ©e par JĂ©sus, c’est bien « Sa pensĂ©e et Sa volontĂ© qui se sont manifestĂ©es par l’intermĂ©diaire des apĂŽtres », dans les synoptiques comme chez Jean[4].
  • Il pense que l'Ancien Testament peut contenir des erreurs matĂ©rielles mais qui ne sont pas gĂȘnantes pour la foi car il ne contient pas d'erreurs spirituelles[4].

Le Christ

  • Il confirme la conception virginale du Christ et insiste sur le rĂŽle de Marie[3]. JĂ©sus est nĂ© d’une femme, fille de David, pour accomplir la promesse de Dieu ; mais JĂ©sus n’eut point de pĂšre selon la chair[5].
  • Il affirme que l’étoile de BethlĂ©em fut un ange dĂ©lĂ©guĂ© par Dieu[3].
  • Il Ă©voque la descente de JĂ©sus aprĂšs sa propre mort au sĂ©jour de ceux qui Ă©taient morts avant lui qui n'est pas un mythe mais correspond Ă  la rĂ©alitĂ© dĂ©crite par saint Pierre[6] de la prĂ©dication du Christ dans l'au-delĂ  et explique que certains dĂ©cĂ©dĂ©s sont missionnĂ©s par Dieu pour prĂȘcher l'Évangile Ă  ceux qui ne l'ont pas connu sur la Terre[7] - [Note 1].

Sacrements

Les messages attribuĂ©s Ă  Pierre Monnier dĂ©fendent la confession qui est « l'un des rites les plus nĂ©cessaires Ă  l'efficacitĂ© spirituelle du baptĂȘme purificateur[8]. Â» Il affirme aussi qu'il y a une grande lacune dans le culte protestant : la raretĂ© de la communion. Selon Pierre, celle-ci n’est pas un symbole[9]. Selon les messages, le rameau protestant du christianisme dont pourtant est issu Pierre Monnier nĂ©glige ce devoir primordial et indispensable[10].

MatiĂšre et esprit

Selon les messages attribués à Pierre :

  • il n'y a pas de sĂ©paration entre le monde matĂ©riel et le monde spirituel, entre le monde visible et le monde invisible, l'esprit et la matiĂšre Ă©tant la mĂȘme chose mais Ă  un degrĂ© diffĂ©rent de condensation[11] ;
  • l'homme est en esprit composĂ© de la mĂȘme substance que Dieu et en ce sens Dieu est pleinement notre PĂšre, cette consubstantialitĂ© n'Ă©tant entre homme et Dieu conservĂ©e sans altĂ©ration que dans le Christ[12] - [Note 2] ;
  • les Ăąmes sont des vibrations de la substance divine, qui comme toute vibration est produite par le prolongement d'une impulsion, donnĂ©e par un « centre d'attractions et de rĂ©pulsions simultanĂ©es et alternatives, qui font que cette vibration partie du centre initial et moteur, tend Ă  revenir vers son point de dĂ©part. L'Ăąme, nĂ©e de Dieu, consubstantielle Ă  la nature de Dieu, souffre de l'Ă©loignement et vient reprendre sa force actionnante dans son Ă©lĂ©ment naturel : Dieu lui-mĂȘme[13]. »

RĂ©demption sur Terre

Le Christ peut demander Ă  certains de partager cette souffrance dans la perspective de leur salut et il ne faut accepter la souffrance ou mĂȘme ne la chercher que si Dieu la demande et selon sa volontĂ©[14]. La souffrance acceptĂ©e par amour n'est pas toujours envoyĂ©e par Dieu mais il la permet pour le salut des pĂ©cheurs[15]. Pierre Ă©voque les Ăąmes atteintes par le « Doigt de Dieu : Christ. [...] ce Doigt pĂ©nĂštre au plus profond de l'organisme spirituel des crĂ©atures, les blesse comme un bistouri, maniĂ© par un guĂ©risseur, insouciant de la souffrance causĂ©e, si cette souffrance doit ramener la vie qui menace de s'Ă©teindre. Dans la blessure salvatrice, il est possible de discerner le mal cachĂ© jusqu'alors... une gangrĂšne sournoise, qui ronge et dĂ©truit mortellement ; mais aussitĂŽt les soins tendres et constants s'exercent - j'ai bien dit tendres, bien qu'ils soient sans pitiĂ© semble-t-il ! Le souffrant se dĂ©bat, le souffrant pleure... et la blessure est dĂ©licatement dĂ©bridĂ©e, car rien ne compte plus que le salut qui rend nĂ©cessaire cette cruautĂ© misĂ©ricordieuse[16]. Â»

RĂ©demption dans l'au-delĂ 

Les messages affirment que le Christ est descendu dans les rĂ©gions des « tĂ©nĂšbres du dehors » avant mĂȘme de consoler les apĂŽtres dĂ©solĂ©s afin d'« apporter aux Ăąmes en dĂ©tresse la certitude glorieuse qu’il y avait pour elle une lumiĂšre sur le chemin de la sombre vallĂ©e des regrets et des larmes[17]. Â» Selon les messages, le repentir est possible dans la patrie spirituelle oĂč les anges de l’Éternel s’emploient aux rachats des condamnĂ©s qui ne sont pas sans espĂ©rance[17]. La descente de JĂ©sus aprĂšs sa propre mort au sĂ©jour de ceux qui Ă©taient morts avant lui qui n'est pas un mythe mais correspondrait bien Ă  la rĂ©alitĂ© dĂ©crite par saint Pierre dans le Nouveau Testament[6].

Origine de l'homme

Selon les messages, il y eut des hommes antĂ©rieurs Ă  celui que la Bible appelle Adam ; l'humanitĂ© Ă©voluait lentement au-dessus de l'animalitĂ© mais lorsque l'homme appelĂ© Adam reçut le souffle spirituel de Dieu, il fut rĂ©ellement le Premier Homme : « une ascendance avait existĂ© et cet ĂȘtre primaire qui prĂ©cĂ©dait Adam, avait peu Ă  peu pris connaissance d'une Force toute-puissante qui le dominait : Dieu. La certitude de l'existence de Dieu fut cependant la naissance spirituelle de l'homme en Adam. [...] Adam serait le nom de l'humanitĂ©, arrivĂ©e, selon l'ordre de Dieu, Ă  un sommet de l'Ă©volution physique de son corps animal, et devenue par lĂ  capable de recevoir le souffle spirituel. Dieu avait prĂ©parĂ© pour l'homme-esprit qui s'Ă©tait rĂ©voltĂ© aux sphĂšres cĂ©lestes, le corps qui devait le recevoir et qui se dĂ©veloppait lentement et graduellement, comme se formait le monde terrestre lui-mĂȘme[18]. »

Tout homme aurait une Ăąme renfermant en elle le souffle de Dieu ; Ă©tant Dieu en l'homme, elle lui permet de dire comme Dieu : Je suis. Cette parcelle de l'homme, issue du souffle de Dieu est la personnalitĂ© qui demeure et est appelĂ©e Ă  l'Ă©ternitĂ©[19]. Les Ăąmes seraient dans cette optique des substances spirituelles formĂ©es par Dieu, des "possibilitĂ©s d'Ăąmes", issues directement de la pensĂ©e crĂ©atrice de Dieu et que l'action conjugale appelle Ă  la naissance dĂ©finitive. Dieu ne rend indĂ©pendante cette parcelle de lui-mĂȘme que pour lui permettre de s'anoblir car il aime la lutte qui glorifie toute victoire et sanctifie les combats[19].

Péché originel

Selon les messages, l'homme prĂ©existait Ă  son apparition sur la terre comme esprit auprĂšs de Dieu. C'est sa rĂ©volte qui l'a conduit Ă  un exil volontaire sur la Terre, celle-ci Ă©tant un lieu de relĂšvement et d'expiation et non de chĂątiment, un champ d'Ă©preuves. Sur terre, les Ăąmes travaillent au relĂšvement de leur famille. Les souffrances qui semblent injustifiĂ©es correspondent Ă  un avertissement ou Ă  un chĂątiment non pas personnel mais solidaire et si les pĂ©chĂ©s des pĂšres peuvent rĂ©agir sur les fils, il en est de mĂȘme pour les efforts vers le bien[20]. Le corps de chair est le rĂ©sultat de l'orgueil et de la rĂ©volte de l'humanitĂ©[21]. Il est injuste dans cette perspective de dire que la thĂ©orie du pĂ©chĂ© originel implique que Dieu a crĂ©Ă© une humanitĂ© qui ne peut Ă©chapper au pĂ©chĂ© car ce pĂ©chĂ© originel a bien Ă©tĂ© commis par l'humanitĂ© avant la chair[22].

Au-delĂ 

Les messages affirment que les Ăąmes peuvent avoir Ă  effectuer un passage dans un plan d’amĂ©lioration et d’épreuve qui peut se comparer au Purgatoire de la thĂ©ologie catholique : « Il n’y a pas Ă  proprement parler d’autres chĂątiments que les remords, la honte d’avoir tant reçu et si peu fait fructifier les largesses de Dieu. Mais la charitĂ© divine reprend avec autant de douceur que de sĂ©vĂ©ritĂ© les coupables repentants quand ils recherchent avidement la perfection nĂ©gligĂ©e sur la terre[23] Â».

Les messages Ă©voquent une seconde mort qui conduit Ă  la fin de l'Ăąme rebelle Ă  la volontĂ© de Dieu : « L’ñme qui se dĂ©truit elle-mĂȘme se dispersera, perdant continuellement des parcelles de son tout ; Dieu est toujours prĂȘt Ă  la faire revivre par son amour incomparable si elle le veut mais sans ce dĂ©sir elle retourne au nĂ©ant[24]. [...] rien ne meurt sinon l’ñme qui a refusĂ© de s’alimenter d’amour, le Pain de vie. Encore, cette Ăąme meurt-elle en tant que personnalitĂ©, mais non pas comme force immanente : celle-ci retourne Ă  la disposition de Dieu[25]. [...] Les Ăąmes qui refusent de soumettre leur volontĂ© Ă  celle de Dieu, par amour et dans l'amour, retournent au nĂ©ant. La patience de Dieu a une limite il est dangereux de ne pas s’en souvenir[26]. [...] Si notre obstination nous conduit Ă  la seconde mort en dĂ©truisant notre ĂȘtre individuel, la matiĂšre spirituelle dont notre esprit est composĂ© fait retour Ă  la masse Ă©volutive qui est Ă  la disposition des Ă©nergies, concrĂštes ou diffuses, appelĂ©es par Dieu Ă  des services multiples et variĂ©s[27]. »

Pierre Monnier affirme que l'inconscience ne suffit pas pour conduire l'ùme à la seconde mort, c'est-à-dire à l'Enfer, mais la décision raisonnée de se refuser à l'amour[28]. Pierre Monnier affirme néanmoins que la patience de Dieu va jusqu'à attendre la conversion de Satan[29] - [Note 3].

Selon les messages, aprĂšs la mort, les ĂȘtres humains perdent leur corps matĂ©riel mais conservent un corps spirituel ayant la mĂȘme apparence que le corps physiques, les infirmitĂ©s en moins, avant mĂȘme leur union Ă  Dieu qui est le stade final de l'Ă©volution spirituelle dans l'au-delĂ , union et non fusion qui laisse Ă©ternellement aux Ăąmes leur identitĂ© propre[21].

Ouvrages

  • CĂ©cile Monnier, Je suis vivant. Lettres de Pierre, soldat de France, soldat du Christ, t. 2, P. Leymarie, , 455 p..
  • CĂ©cile Monnier, Lettres de Pierre, BussiĂšre, , 926 p..
  • CĂ©cile Monnier, Lettres de Pierre. I, 5 aoĂ»t 1918 - 31 juillet 1919, Fischbacher, , 4 + 454 + 50.
  • CĂ©cile Monnier, Lettres de Pierre. II, 1er aoĂ»t 1919 - 30 juin 1920, Fischbacher, , 465 + 62.
  • CĂ©cile Monnier, Lettres de Pierre. III, 14 juin 1920 - 20 aoĂ»t 1921, Fischbacher, , 472 + 60.
  • CĂ©cile Monnier, Lettres de Pierre. IV, 21 aoĂ»t 1921 - 15 juillet 1923, Fischbacher, , 456 + 68.
  • CĂ©cile Monnier, Lettres de Pierre. V, 27 juillet 1923 - 26 juillet 1927, Fischbacher, , 484 + 43.
  • CĂ©cile Monnier, Lettres de Pierre. VI, 9 aoĂ»t 1927 - 7 juin 1931, Fischbacher, , 429 + 44.
  • CĂ©cile Monnier, Lettres de Pierre. VII, 28 aoĂ»t 1931 - 9 janvier 1937, Fischbacher, , 119 p..
  • M. Stuart-Roussel, Introduction aux "Lettres de Pierre, Fischbacher, .
  • CĂ©cile Monnier, Le chemin. Extraits des "Lettres de Pierre", Fischbacher, , 209 p..
  • CĂ©cile Monnier, au-delĂ  de la mort : messages extraits des "Lettres de Pierre", vol. 2, Fischbacher, .
  • CĂ©cile Monnier, La souffrance : messages extraits des "Lettres de Pierre", Fischbacher, , 230 p..
  • CĂ©cile Monnier (prĂ©f. Jean Prieur), Lettres de Pierre, t. 1, F. Lanore, .
  • CĂ©cile Monnier (prĂ©f. Jean Prieur), Lettres de Pierre, t. 2, F. Lanore, (rĂ©impr. 1993), 532 pages (lire en ligne).
  • CĂ©cile Monnier, Lettres de Pierre, t. 3, F. Lanore.
  • CĂ©cile Monnier, Lettres de Pierre, t. 4, F. Lanore, (rĂ©impr. 1993), 532 p. (lire en ligne).
  • CĂ©cile Monnier, Lettres de Pierre, t. 5, F. Lanore, (rĂ©impr. 1993), 532 p. (lire en ligne).
  • CĂ©cile Monnier, Lettres de Pierre, t. 6, F. Lanore, , 532 p. (lire en ligne).
  • CĂ©cile Monnier, Lettres de Pierre, t. 7, F. Lanore, , 127 p. (lire en ligne).

Notes et références

Notes

  1. Cette idĂ©e sera reprise dans un ouvrage du IIe siĂšcle, le Pasteur d’Hermas qui explique qu’à leur mort les apĂŽtres vont Ă  leur tour proclamer la Bonne Nouvelle Ă  ceux qui sont morts. Dans les Églises orthodoxes, c’est le thĂšme de la descente du Christ aux Enfers : le Christ saisit la main d’Adam d’un cĂŽtĂ© et celle d’Ève de l’autre et les arrache au tombeau, tandis que les saints de l’Ancien Testament se pressent en attendant leur tour.
  2. Pour le pĂšre François Brune, il ne s'agit pas de panthĂ©isme : ce n'est pas une matiĂšre Ă©ternelle qui est Dieu, c'est bien Dieu qui est le crĂ©ateur du monde visible et invisible, mais c'est bien son propre souffle qu'il communique Ă  sa crĂ©ature : MaĂźtre Eckhart disait au XIIIe siĂšcle : « L’Amour n'est rien d'autre que Dieu. Dieu s'aime Lui-mĂȘme, Il aime aussi toutes les crĂ©atures, on en tant que crĂ©atures, mais en tant qu'elles sont Dieu. Dans l'amour dont Dieu s'aime Lui-mĂȘme, Il aime le monde entier. »
  3. Saint Isaac de Ninive, l'un des plus grands auteurs spirituels des chrétiens d'Orient, priait pour la conversion de Satan.

Références

  1. « Lettres du Lieutenant Pierre Monnier – 46Ăšme R.I. (1Ăšre Partie) », sur Les combats de l'Argonne en 14-18, (consultĂ© le ).
  2. PÚre François Brune, Mes entretiens avec les morts, 2012, éd. Le Temps présent, p. 117.
  3. PÚre François Brune, Mes entretiens avec les morts, 2012, éd. Le Temps présent, p. 121.
  4. PÚre François Brune, Mes entretiens avec les morts, 2012, éd. Le Temps présent, p. 127.
  5. PÚre François Brune, Mes entretiens avec les morts, 2012, éd. Le Temps présent, p. 167.
  6. I Pierre, III, 18-21.
  7. PÚre François Brune, Mes entretiens avec les morts, 2012, éd. Le Temps présent, p. 124.
  8. PÚre François Brune, Mes entretiens avec les morts, 2012, éd. Le Temps présent, p. 130.
  9. PÚre François Brune, Mes entretiens avec les morts, 2012, éd. Le Temps présent, p. 191-192.
  10. PÚre François Brune, Mes entretiens avec les morts, 2012, éd. Le Temps présent, p. 192-193.
  11. PÚre François Brune, Mes entretiens avec les morts, 2012, éd. Le Temps présent, p. 139.
  12. PÚre François Brune, Mes entretiens avec les morts, 2012, éd. Le Temps présent, p. 139-140.
  13. PÚre François Brune, Mes entretiens avec les morts, 2012, éd. Le Temps présent, p. 141.
  14. PÚre François Brune, Mes entretiens avec les morts, 2012, éd. Le Temps présent, p. 253.
  15. PÚre François Brune, Pour que l'homme devienne Dieu, éd.Presse de la Renaissance, p. 256.
  16. PÚre François Brune, Pour que l'homme devienne Dieu, éd.Presse de la Renaissance, p. 257.
  17. PÚre François Brune, Mes entretiens avec les morts, 2012, éd. Le Temps présent, p. 198.
  18. PÚre François Brune, Mes entretiens avec les morts, 2012, éd. Le Temps présent, p. 142.
  19. PÚre François Brune, Mes entretiens avec les morts, 2012, éd. Le Temps présent, p. 145.
  20. PÚre François Brune, Mes entretiens avec les morts, 2012, éd. Le Temps présent, p. 236.
  21. PÚre François Brune, Mes entretiens avec les morts, 2012, éd. Le Temps présent, p. 237-238.
  22. PÚre François Brune, Mes entretiens avec les morts, 2012, éd. Le Temps présent, p. 238.
  23. PÚre François Brune, Mes entretiens avec les morts, 2012, éd. Le Temps présent, p. 208.
  24. PÚre François Brune, Mes entretiens avec les morts, 2012, éd. Le Temps présent, p. 219.
  25. PÚre François Brune, Mes entretiens avec les morts, 2012, éd. Le Temps présent, p. 219.
  26. PÚre François Brune, Mes entretiens avec les morts, 2012, éd. Le Temps présent, p. 219-220.
  27. PÚre François Brune, Mes entretiens avec les morts, 2012, éd. Le Temps présent, p. 220.
  28. PÚre François Brune, Mes entretiens avec les morts, 2012, éd. Le Temps présent, p. 221.
  29. PÚre François Brune, Mes entretiens avec les morts, 2012, éd. Le Temps présent, p. 222.
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