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Brigades d'infanterie parachutiste

À la fin des années 1960, la première Brigade d'infanterie parachutiste est totalement opérationnelle. La brigade fait partie des unités de réserve générale. Elle est cantonnés à Rabat-Salé[1].

Commandement

Les bataillons sont commandée par un Colonel-major. Ils sont placés sous l'autorité directe du roi[1].

Compositions

Compositions de la brigade[1] :

  • Un bataillon de commandement et de service.
  • Trois bataillons de combat.

Équipements

Les unités para sont équipées de matériels suivants[1] :

Véhicule
Armement individuelle
Artillerie
  • Canons de 106 SR
  • Mortiers de 120 mm

Déploiement

Depuis des années un bataillon de combat est basé à Skhirat et deux autres sont dispersés en zone sud le long du mur de défense[1].

Principales opérations

  • Contre l'armée algérienne en 1963 dans la région de Tindouf
  • Dans un cadre plus pacifique, de servir de Casques Bleus au Congo Ce lien renvoie vers une page d'homonymie alors déchiré dans les affres de l'indépendance.
  • En 1967, puis en 1973, le Maroc se trouve impliqué dans les deux conflits arabo-israéliens, notamment en octobre 1973, dans les combats sur le Mont Hermon en Syrie, où les paras marocains auront à affronter les paras israéliens.
  • Deux bataillons paras sont envoyés en 1976 combattre les troupes mauritaniennes lors du partage du Sahara Espagnol.
  • En avril 1977, trois bataillons paras sont envoyés au Zaire pour aider ce pays à repousser l'invasion des Katangais à partir de l'Angola.
  • L'année suivante, après l'intervention des légionnaires-paras français au Shaba à Kolwezi au Congo, les paras Marocains retournent pour les mêmes raisons dans cette région et y stationneront plus d'un an[1].

Articles connexes

Notes et références

  1. « Le Para Marocain », sur paras.forumsactifs.net (consulté le ).
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