Accueil🇫🇷Chercher

Balé-Loko

Balé-Loko est une des treize communes de la préfecture de Lobaye. Elle est traversée par la rivière Lobaye, et limitée au sud par la frontière avec la République du Congo. Le principal village de la commune est Loko.

Balé Loko
Administration
Pays Drapeau de la République centrafricaine République centrafricaine
Préfecture Lobaye
Sous-préfecture Mbaïki
Maire Alain Mockpalognade
Démographie
Population 26 821 hab. (2012[1])
Densité 37 hab./km2
Géographie
Coordonnées 3° 39′ 05″ nord, 18° 01′ 29″ est
Superficie 71 616 ha = 716,16 km2
Localisation
Géolocalisation sur la carte : République centrafricaine
Voir sur la carte administrative de République centrafricaine
Balé Loko

    Villages

    La commune rurale de Balé-Loko compte une trentaine villages, dont 4 groupements de villages: Bac Loko, Békakombo, Berna-Beng, Bokopi, Bomolé, Bossindo, Carrière-Ibola, Débarcadaire, Ibengué, Kaka, Kokombé, Kpéténé, Loko, Lokombé, Lotémo, Ligouza, Mbangoma, Mété, Mongoussa, Paris Congo, Petit Loko, Pont Scad, Safa, Sakombo, Scad, Wanza, Wélé-Wélé, Zoméa.

    Société

    La paroisse catholique du Sacré Cœur de la Safa est établie depuis , elle dépend du diocèse de Mbaïki.

    Économie

    La commune de Balé-Loko, située en zone de forêt équatoriale, est riche d’importantes ressources en bois précieux. Après plusieurs décennies d’exploitation intensive de la forêt, une méthode plus sélective dans le cadre d'un plan d’aménagement est en cours depuis 2004[2].

    Plusieurs villages sont établis à proximité des entreprises de l'exploitation forestière, Scad : Société Centre Africaine de Déroulage, (SCAD), Safa : Société Africaine Forestière et Agricole (SAFA). La Safa est une importante concession forestière (20 000 ha) et agricole (5 000 ha) en caféiers et hévéas, située en bordure de la Lobaye. Elle appartient à la Société des Terres Rouges[3].

    Notes et références

    1. Estimation de la population en 2012, basée sur les données du recensement de 2003, avec une augmentation de 18% entre 2003 et 2012 selon la définition du FNUAP
    2. Peggy Prisca Ouoko Yangounza, Université de Rennes 2, Mémoire de Master 2, 2010
    3. Jean-Bernard Suchel, Revue de géographie de Lyon (vol. 42), Les cultures d'exportation de la République Centrafricaine, 1967
    Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplémentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimédias.