Auguste Lestourgie
Marie Casimir Auguste Lestourgie (né le à Argentat en Corrèze - mort le dans la même ville) est un homme politique français.
| Auguste Lestourgie | |
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| Fonctions | |
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| Maire d'Argentat | |
| Député français | |
| – (5 ans et 28 jours) |
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| Élection | 8 février 1871 |
| Circonscription | Corrèze |
| Groupe politique | Union des Droites |
| Prédécesseur | nouvelle législature |
| Successeur | première législature |
| conseiller général de la Corrèze | |
| – (31 ans) |
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| Circonscription | Canton d'Argentat |
| Prédécesseur | Martial Vachal |
| Successeur | Joseph Vachal |
| Biographie | |
| Date de naissance | |
| Lieu de naissance | Argentat |
| Date de décès | (à 51 ans) |
| Lieu de décès | Argentat |
| Nationalité |  française
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| Parti politique | Droite |
| Père | Clair Lestourgie |
| Mère | Anne de Gersin |
| Conjoint | Marie Lestourgie |
| Profession | homme politique |
Biographie
Fils d'un médecin et maire d'Argentat depuis 1858, il est élu député de la Corrèze en février 1871 ; il sera battu aux élections législatives de 1876 et de 1877. Il se range à droite de l'Assemblée. Il a été nommé chevalier de l'ordre de Saint Grégoire le Grand par Pie IX en 1869.
C'est sous son mandat de maire, que le quai maçonné sur les bords de la Dordogne a été construit et porte aujourd'hui son nom[1].
En outre, il est aussi poète et littérateur. Il est l'auteur de : "Près du clocher", de "Rimes limousines" éditées en 1864 à Paris par Vivès.
Le recueil, dédié à M. de Laprade et intitulé Les Rimes limousines, dans lequel éclate à chaque page l'amour du sol natal, a été publié au profit de la reconstruction de l'église de Saint-Pierre d'Argentat[2].
Sources
- « Auguste Lestourgie », dans Adolphe Robert et Gaston Cougny, Dictionnaire des parlementaires français, Edgar Bourloton, 1889-1891 [détail de l’édition]
Références
- Le quai Lestourgie Ă Argentat
- Ferdinand Nathanaël Staaff, La Littérature française, depuis la formation de la langue jusqu'à nos jours, vol. 3e, Paris, 5e éd., (lire en ligne), p. 840