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Auguste-Aristide-Fernand Constantin

Auguste-Aristide-Fernand Constantin, né à Paris (ancien 2e arrondissement) le et mort à Paris 18e le , est un artiste peintre et graveur français.

Auguste-Aristide-Fernand Constantin
Naissance
Décès
Nationalité
Activités
Maître
Lieu de travail
Père
Auguste Constantin (d)

Biographie

Moulins près de Domremy-la-Pucelle, Vosges, eau-forte (1869).

Auguste-Aristide-Fernand Constantin est né le à Paris[1], fils de l'architecte Auguste Constantin (1790-1842).

Sous l'influence de son père, il apprend très jeune l'art de peindre et les techniques de la gravure[2] puis reçoit un enseignement classique dans les ateliers de François-Édouard Picot et Thomas Couture.

Il commence d'exposer au Salon de 1848 où il présente six paysages dessinés[3].

En 1859, il se révèle comme aquafortiste. Au Salon de 1863, il expose Six vues diverses à l'eau-forte : Fantaisies, éditées par Alfred Cadart, accompagnées de natures mortes peintes[4]. Il est sans doute membre de la jeune Société des aquafortistes. Ses travaux montrent des vues de villes françaises sous l'Ancien Régime. Il produit également des aquarelles qui imitent à la perfection l'art des peintres de scènes de genre du XVIIIe siècle, et dont le goût était à la mode[2]. Toujours pour Cadart, il propose une série d'eaux-fortes à L'Illustration nouvelle dès 1868. On connaît aussi de lui des portraits de personnalités tirés sur pierre lithographique.

En 1882, il réalise une dernière suite d'eaux-fortes, douze en tout, pour une édition d'Isoline et la fleur serpent, le roman de Judith Gautier, comprenant un frontispice de Frédéric Régamey[5].

Il meurt Ă  Paris le [6].

Notes et références

Annexes

Bibliographie

Liens externes

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