Artabotrys jollyanus

Son épithète spécifique jollyanus rend hommage à A. Jolly qui récolta un spécimen à Dabou en Côte d'Ivoire en novembre 1897[2].

Très rare, elle a été observée sur deux aires disjointes, au Cameroun (près de Goyoum, dans la Région de l'Est) et en Côte d'Ivoire[3].

• (en) Stéphane G.Gooré, Zana A.Ouattara, Acafou T.Yapi, Yves-Alain Békroa, Ange Bighelli, Mathieu Paoli Felix Tomi, « Chemical composition of the leaf oil of Artabotrys jollyanus from Côte d’Ivoire », in Revista Brasileira de Farmacognosia, Volume 27, Issue 4, July–August 2017, p. 414-418, [lire en ligne]
• Jean-Michel Onana, Synopsis des espèces végétales vasculaires endémiques et rares du Cameroun : check-liste pour la gestion durable et la conservation de la biodiversité, Yaoundé, Ministère de la Recherche scientifique et de l'Innovation, coll. « Flore du Cameroun » (n^o 40), 2013, p. 67

• (en) Référence Catalogue of Life : Artabotrys jollyanus Pierre ex Engl. & Diels (consulté le 24 décembre 2020)
• (en) Référence Kew Garden World Checklist : nv (consulté le 7 décembre 2017)
• (en) Référence The Plant List : Artabotrys jollyanus Pierre (source : KewGarden WCSP) (consulté le 7 décembre 2017)
• (en) Référence Tropicos : Artabotrys jollyanus Pierre (+ liste sous-taxons) (consulté le 7 décembre 2017)