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Alberto De Martino

Alberto De Martino, né le à Rome et mort dans la même ville le [1], est un réalisateur et scénariste italien. Il utilise parfois le pseudonyme de Martin Herbert.

Alberto De Martino

Biographie

Alberto De Martino est né le à Rome[2]. Fils d'un maquilleur de cinéma[3], il commence sa carrière comme enfant acteur dans Scipion l'Africain (1937)[3].

Après avoir Ă©tudiĂ© le droit Ă  l'universitĂ©[2], il reprend une carrière dans le cinĂ©ma en travaillant comme monteur, scĂ©nariste et assistant rĂ©alisateur[2]. Il dĂ©clare avoir Ă©tĂ© encouragĂ© Ă  devenir rĂ©alisateur par Federico Fellini, dont il a supervisĂ© le doublage en italien de La dolce vita (1960)[2]. De Martino a Ă©galement Ă©tĂ© très actif dans le domaine du doublage, dont il a assurĂ© la direction pour plus de 1 500 films[3].

De Martino a été l'un des réalisateurs les plus actifs du cinéma de genre italien entre les années 1960 et le milieu des années 1980 ; ses films couvraient différents genres, notamment le western spaghetti, les poliziotteschi, les péplums et les films d'épouvante[3] - [4]. Ami de Sergio Leone dans la vraie vie, il a été réalisateur de la seconde équipe dans Il était une fois la révolution[4]. Il était souvent crédité eu générique sous le nom de Martin Herbert[4].

En 1980, De Martino a failli perdre sa maison lorsque son film L'Homme puma a été un fiasco en salles[2]. L'Homme puma a été suivi de quelques autres films, concluant sa carrière avec Miami Golem[2].

Il meurt à Rome le à l'âge de 85 ans[2] - [5] - [3].

Filmographie

Comme réalisateur

Comme scénariste

Notes et références

  1. (it) Addio ad Alberto De Martino. Suoi "Django spara per primo" e "Holocaust 2000", La Repubblica, 3 juin 2015
  2. (en) « Alberto De Martino, film director - obituary », sur telegraph.co.uk,
  3. (it) Stefania Ulivi, « Addio a De Martino, regista di culto amato da Tarantino », sur Corriere della Sera,
  4. (it) Marco Giusti, Dizionario del western all'italiana, Mondadori, (ISBN 978-8804572770)
  5. (it) « Addio a Alberto De Martino, regista culto tra peplum e horror », sur roma.corriere.it

Liens externes

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