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Adhérents directs de l'UDF

Les adhérents directs de l'UDF regroupaient, sous le sigle UDF-AD, tous les membres de l'UDF n'adhérant pas à l'une des formations de la Confédération. En 1991, lors des élections internes, les adhérents directs recueillent 8,6% des voix[1].

Adhérents directs de l'UDF
Cadre
Sigle
UDF-AD
Type
Pays

Une tentative de fusion avec le Parti radical valoisien au sein d'un mouvement baptisé Réforme et République échoue en août 1995 lors de l'université d'été du parti[1]. Plusieurs personnalités politiques ont rejoint les adhérents directs, comme Charles Millon, Gratien Ferrari, Amédée Imbert, Hervé Mariton, Michel Meylan, Alain Moyne-Bressand, Jean Proriol, Francis Galizi, Dominique Paillé, François Loos ou Aymeri de Montesquiou[1].

Philippe Mestre fut le délégué général de cette composante dont la majorité des membres, à l'instar d'Hervé Mariton et Pierre-André Wiltzer, a par la suite rejoint l'UMP.

Le bulletin du courant, intitulé Convictions, paraît sous la direction d'Ernest Cartigny, assisté de Jean-Michel Genestier et Françoise Barquin.

En 1998, la Force Démocrate (FD), le Pôle Républicain, Indépendant et Libéral (PRIL-UDF) et les "adhérents directs" (AD) fusionnent dans la Nouvelle UDF[1].

Références

  1. « Chronologie de l'Union pour la Démocratie Française UDF », sur www.france-politique.fr (consulté le )


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