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Acqualagna

Acqualagna est une commune italienne d'environ 4 290 habitants, situĂ©e dans la province de Pesaro et Urbino, dans la rĂ©gion Marches, en Italie centrale. Elle est situĂ©e prĂšs des gorges du Furlo et des monts Petrano (it) et Catria. Elle est cĂ©lĂšbre pour sa longue tradition dans la recherche, la production et la vente de truffes. Acqualagna est une des capitales de la truffe.

Acqualagna
Acqualagna
Administration
Pays Drapeau de l'Italie Italie
Région Drapeau de la région des Marches Marches
Province Pesaro et Urbino
Code postal 61041
Code ISTAT 041001
Code cadastral A035
Préfixe tel. 0721
DĂ©mographie
Gentilé acqualagnesi
Population 4 292 hab. (31-12-2019[1])
DensitĂ© 86 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 43° 37â€Č 00″ nord, 12° 40â€Č 00″ est
Altitude Min. 204 m
Max. 204 m
Superficie 5 000 ha = 50 km2
Divers
Saint patron Santa Lucia
Localisation
Localisation de Acqualagna
Localisation dans la province de Pesaro et Urbino.
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Acqualagna
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Acqualagna
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Acqualagna
Liens
Site web Site officiel

    GĂ©ographie

    La ville se trouve Ă  la confluence des fleuves Burano et Candigliano, Ă  sud-ouest des gorges du Furlo.

    Le climat est chaud et tempĂ©rĂ©. Il y a des prĂ©cipitations importantes tout au long de l’annĂ©e, mĂȘme dans les mois les plus secs il y a beaucoup de prĂ©cipitations (842 mm de pluie en moyenne par an). Le mois le plus pluvieux est novembre (97mm de pluie en moyenne).

    La température moyenne enregistrée à Acqualagna est de 13,3 °C, le mois le plus chaud étant juillet avec 22,6 °C en moyenne. Le mois le plus froid est janvier avec 4,1 °C en moyenne[2].

    La ville se dĂ©veloppe aussi bien  sur la vallĂ©e du fleuve Candigliano que sur les collines environnantes. La vĂ©gĂ©tation est typique des Apennins, couverts de forĂȘts de hĂȘtres et de chĂȘnes. Dans la plaine le paysage est agricole et alterne des cultures et des pĂąturages. 

    Histoire

    L'origine du toponyme est inconnue. L'hypothÚse avancée, selon laquelle il dérive du nom de la bataille combattue dans ce territoire entre les Goths de Totila et les Byzantins de NarsÚte, a été démentie par la découverte du vrai endroit de la bataille prÚs de Gualdo Tadino.

    Une autre hypothĂšse voudrait que le nom d'Acqualagna dĂ©rive d' « acqua lama Â» c'est-Ă -dire « eau boueuse  Â» Ă  cause des marĂ©cages qui entouraient le fleuve Candigliano et le fleuve Metauro.

    La ville romaine Pitinum Mergens, détruite par Alaric, surgissait le long de la route romaine Flaminia. PrÚs d'Acqualagna, on peut voir encore les vestiges du tracé de l'ancienne route, la principale artÚre d'époque romaine entre Rome et Rimini[3].

    Du Moyen Âge au XVIIe siùcle

    L'hypothÚse la plus probable sur l'origine du village d'Acqualagna est qu'il dérive de la transformation, de la part des moines de l'abbaye de Saint-Vincent au Furlo, de la chapelle de Sainte Marie Madeleine en hÎpital.

    Le 24 septembre 1506, le pape Jules II séjourne à Acqualagna et ordonne la construction de l'église de Sainte Lucie, consacrée en 1537[4].

    Le XIXe siĂšcle

    Le 20 avril 1849, Acqualagna adhĂšre Ă  la RĂ©publique Romaine. Le 17 septembre 1860, Acqualagna entre dans le royaume des Savoie. Le 18 septembre, aprĂšs la bataille de Castelfidardo, oĂč l'armĂ©e française est battue, les Marches ne sont plus sous la domination du Pape.

    Le XXe siĂšcle

    Pendant la pĂ©riode de la premiĂšre guerre mondiale[5] le maire Brigidi a rĂ©ussi, malgrĂ© la crise Ă©conomique du pays, Ă  assurer les services essentiels pour la population, comme la construction de la route de Pietralata. Le 29 octobre a Ă©tĂ© Ă©lu le maire socialiste Pasquale Ciampiconi qui a rĂ©alisĂ© l’aqueduc du Furlo, la route pour Farneta et celle des PrĂ©s, qui relie encore de nos jours Acqualagna Ă  Urbania, terminĂ©e en 1932.

    Barrage du Furlo

    C’est Ă  cette Ă©poque que l’on commence la construction du barrage du Furlo pour la rĂ©alisation d’une centrale hydroĂ©lectrique gĂ©rĂ©e par l’ Â« Unione Esercizi Elettrici Â» de Milan. Le barrage en bĂ©ton est un exemple du modĂšle de barrage voĂ»te avec concavitĂ© tournĂ©e en aval, pour dĂ©charger tout le poids sur les murs rocheux latĂ©raux des montagnes Pietralata et Paganuccio.

    Entre 1930 et 1935 la crise Ă©conomique provoque une augmentation du taux de chĂŽmage et une chute des salaires et Ă  Acqualagna on organise des grĂšves. A l’occasion de la « journĂ©e de l’alliance Â», instituĂ©e par le rĂ©gime fasciste le 18 dĂ©cembre 1935, qui imposait aux Italiens de donner leur or pour la patrie, Ă  Acqualagna la rĂ©colte a lieu devant le monument aux morts de la premiĂšre guerre mondiale[6]. MalgrĂ© la crise Ă©conomique les habitants de la ville rĂ©sistent.

    Mussolini est passĂ© plusieurs fois Ă  Acqualagna, car la ville se trouvait sur la via Flaminia, qu’il parcourait de Rome Ă  Ravenne. Il a souvent mangĂ© et dormi au Furlo et le 24 mai 1924 la Mairie d’Acqualagna lui confĂšre le titre de citoyen honoraire. En 1936 les gardes forestiers, pour remercier Mussolini des travaux rĂ©alisĂ©s sur le mont Pietralata, sculptent son profil sur la montagne qui domine le Furlo. 

    Économie

    DonnĂ©es sur l’emploi (2011)

    Indicateur Acqualagna Marches Italie
    Taux d’emploi des hommes 60,6 % 57,4 % 54,8 %
    Taux d’emploi des femmes 39,5 % 40,6 % 30,1 %
    Taux d’emploi (moyenne) 49,8 % 48,6 % 45 %
    Taux d’emploi des 15-29 ans 46,7 % 41,3 % 36,3 %
    Taux d’emploi dans le tertiaire* 32,1 % 41,8 % 48,6 %
    Taux d’emploi dans le commerce 20,5 % 18,5 % 18,8 %

    L’activitĂ© du secteur tertiaire la plus dĂ©veloppĂ©e Ă  Acqualagna est le tourisme, surtout Ă  l’occasion de la Foire de la Truffe. Le tourisme oenogastronomique est important, un grand nombre de touristes Ă©trangers vont Ă  Acqualagna pour manger des plats Ă  base de truffe. L’écotourisme concerne la gorge du Furlo avec son parc et ses merveilleux paysages.

    FĂȘtes et manifestations

    La Foire Nationale de la truffe[7]

    C’est le rendez-vous le plus important du centre de l’Italie, consacrĂ© au Tuber Magnatum Pico. C’est un Ă©vĂšnement de relief qui reprĂ©sente la ville aussi Ă  l’étranger, durant lequel on peut dĂ©guster et acheter des truffes. Pendant l’annĂ©e il y a trois moments dĂ©diĂ©s aux truffes, mais l’évĂšnement le plus reprĂ©sentatif est celui d’octobre-novembre, oĂč l’on propose les nouveautĂ©s de l’annĂ©e, la qualitĂ© du produit et Acqualagna devient la capitale de la Truffe. Les deux autres foires ont lieu l’une en fĂ©vrier, consacrĂ©e Ă  la truffe noire prĂ©cieuse, et l’autre en aoĂ»t, consacrĂ©e Ă  la truffe noire d’étĂ©. Ces foires attirent beaucoup de touristes, mĂȘme Ă©trangers. La foire de la truffe propose aussi le « Salon du GoĂ»t Â» et le « Cooking Show Â», pendant lesquels on peut dĂ©guster des plats et assister Ă  des compĂ©titions gastronomiques entre personnages cĂ©lĂšbres. On organise aussi des sĂ©minaires, des expositions temporaires et des prĂ©sentations de produits. Le Palais du goĂ»t accueille les excellences du territoire. Les truffes produites Ă  Acqualagna sont : la truffe blanche, la truffe noire, la truffe noire d’étĂ©. Les chiens Ă  truffe sont : le braque italien et le pointer.

    Le carnaval

    Chaque annĂ©e sur la place Enrico Mattei on peut participer au “Carnaval Ă  la truffe”, unique au monde, pendant lequel on lance des truffes Ă  la place des bonbons et des sucreries. À cette fĂȘte participent des milliers de visiteurs qui arrivent sur la place, l’arĂšne du goĂ»t d’Acqualagna, et attendent l’arrivĂ©e des chars d’oĂč on lance les truffes.

    Gym colorand

    La course la plus attendue et colorĂ©e de l’étĂ© est « Gym colorand Â», organisĂ©e per Next Level EvĂšnements et « Pro loco Â», en collaboration avec AVIS Acqualagna. Le nombre des participants augmente d’une annĂ©e Ă  l’autre, attirĂ©s par l’idĂ©e de passer une journĂ©e joyeuse en plein air.

    Monuments et patrimoine

    Les gorges du Furlo

    Les gorges du Furlo ont Ă©tĂ© protagonistes d’évĂšnements historiques et lĂ©gendaires. Dans l’AntiquitĂ© leur nom Ă©tait « Sasso Rotto Â», devenu ensuite « Petra Pertusa Â». Le nom Furlo vient du latin Forulum, petit trou. La population qui a, la premiĂšre, compris l’importance des gorges a Ă©tĂ© celle des Etrusques, qui ont construit la route de Rome Ă  Rimini, appelĂ©e deux siĂšcles plus tard Flaminia, du nom du consul Flaminio.  La conquĂȘte des gorges du Furlo par les Romains en 295 av. J.-C.  a eu lieu sans difficultĂ©, aprĂšs avoir gagnĂ© la bataille du Sentino. La route Ă©tant trĂšs frĂ©quentĂ©e, l’empereur Vespasien fait construire un nouveau tunnel, dont les travaux se terminent en 76 apr. J.-C. AprĂšs la chute de l’Empire Romain ce territoire a vu s’affronter les Goths et les Byzantins, qui l’ont soumis. En 1234, avec la conquĂȘte des gorges par les Montefeltro, famille noble d’Urbino, le Furlo est restĂ© dans l’isolement. L’avĂšnement de la famille della Rovere n’a pas amĂ©liorĂ© la situation, car le territoire fourmillait de bandits. Ce n’est qu’en 1631 que le DuchĂ© d’Urbino a Ă©tĂ© incorporĂ© dans les territoires des États pontificaux, mais la prĂ©sence d’éboulements et de criminels ont portĂ© Ă  Ă©viter la circulation dans les gorges. En 1797 les Français ont portĂ© le vent de la RĂ©volution et ils ont dĂ©cidĂ© de rĂ©cupĂ©rer les gorges en y plaçant un camp militaire. Le 17 septembre 1860 il devient une propriĂ©tĂ© de la famille Savoie et en 1861 il est annexĂ© au royaume d’Italie. En 1863 les gorges sont libĂ©rĂ©es de la prĂ©sence des bandits, et sĂ©curisĂ©es. Au XXe siĂšcle, avec le dĂ©veloppement du transport routier grĂące aux automobiles, les gorges deviennent un lieu de passage pour relier Rome aux villes de la cĂŽte Adriatique.

    Pendant le rĂ©gime Fasciste Mussolini est passĂ© souvent au Furlo lors de ses voyages entre Rome et Ravenne et en 1930 on lui a rendu hommage en sculptant son profil sur la montagne. Pendant la Seconde Guerre Mondiale le Furlo a vĂ©cu des moments de tension sans ĂȘtre  le thĂ©Ăątre d’affrontements violents. La rĂ©serve naturelle, instituĂ©e en 2001, est un authentique paradis traversĂ© du fleuve Candigliano, qui s’insinue et a formĂ© Ă  travers les siĂšcles les imposantes parois des gorges[8]. Les animaux les plus reprĂ©sentatifs sont l’aigle royal, le faucon, le loup, le chevreuil, le daim. La flore est constituĂ©e en prioritĂ© par le chĂȘne vert, l’orne et la vĂ©gĂ©tation fluviale.

    La villa romaine[9] est un Ă©difice rural, construit quelques annĂ©es aprĂšs l’ouverture de la route Flaminia, qui remonte au Ier siĂšcle av. J.-C., avec une vaste cour oĂč se trouvaient les locaux qui servaient d’habitation et d'entrepĂŽts pour les travaux agricoles. Les vestiges sont conservĂ©s Ă  Acqualagna dans l’Antiquarium.

    L’édifice est constituĂ© de blocs en calcaire local (pierre rose du Furlo) bien travaillĂ©s, les colonnes du porche sont en pierre calcaire du Mont Nerone. Le toit est en tuiles. De la villa nous restent les cĂŽtĂ©s nord et est. 

    Tunnel romain

    Le tunnel du Furlo[10] a Ă©tĂ© voulu par l’Empereur Vespasien pour permettre aux personnes et aux marchandises de mieux circuler. Ce tunnel, creusĂ© dans le point le plus serrĂ© des gorges du Furlo, est appelĂ©  petra pertusa  ou  forulum , petit trou. 

    A cĂŽtĂ© du tunnel se trouve un passage d’époque Ă©trusque, long de 8 mĂštres, large de 3,30 mĂštres et haut de 4,45 mĂštres et une petite Ă©glise dite « du tonneau Â», un temps habitĂ©e par un ermite.

    Au-dessus de l’entrĂ©e Ă  nord-est est encore lisible l’inscription IMP(erator) CAESAR AUG(ustus) VESPASIANUS PONT(ifex) MAX(imus) TRIB(unicia) POT(estate) VII IMP(erator) XVII P(atriae) CO(n)SU(l) VIII CENSOR FACIUND(um) CURAVIT, qui indique que les travaux ont Ă©tĂ© achevĂ©s entre 76 et 77 apr. J.-C..

    Le tunnel est long de 38,3 mÚtres, large de 5,47 mÚtres, haut de 5,95 mÚtres, creusé dans du calcaire grùce à un ciseau, dont on voit les coupes sur les parois.

    Dans les annĂ©es â€˜80 de 1900 on a creusĂ© deux autres tunnels longs de 3,391 mĂštres sur la route nationale, cela a permis aux visiteurs de jouir de la beautĂ© du tunnel romain.

    Antiquarium municipal «Pitinum Mergens Â»[9]

    InaugurĂ© en 2002, il se trouve Ă  l’intĂ©rieur du vieux siĂšge de la mairie d’Acqualagna, un bĂątiment qui remonte probablement au XVIe siĂšcle, situĂ© rue de Rome. Son nom vient de l’ancien nom de la ville romaine. Ce musĂ©e permet de connaitre l’ancien emplacement de la ville de Pitinum Mergens, son thĂ©Ăątre, son aqueduc, les restes d’un Ă©difice thermal. Dans ses salles sont conservĂ©s beaucoup d’exemplaires d’outils agricoles en fer : des faux, des haches, des couteaux, des anneaux pour attacher les chevaux et les bƓufs et de nombreux ustensiles en pierre pour aiguiser les outils de coupe. Le visiteur peut donc connaitre dans le dĂ©tail la structure, le fonctionnement, l’organisation d’une ferme romaine.

    La cĂ©ramique en verni noir nous raconte la vie de la ville au Ier siĂšcle av. J.-C. A travers cette exposition on comprend l’importance de la route Flaminia pour la conquĂȘte de ce territoire et sa romanisation  

    Intérieur de l'Abbaye romane de Saint-Vincent

    L’Abbaye de Saint-Vincent[11]

    La façade de l'Abbaye de Saint-Vincent

    Sur la rive gauche du fleuve Candigliano, le long de la route Flaminia, surgit l’Abbaye de Saint-Vincent au Furlo, ainsi appelĂ©e parce qu’elle se trouve non loin des gorges et du tunnel du Furlo. Ici ont sĂ©journĂ© Saint Pierre Damien et Saint Romuald. Elle a Ă©tĂ© construite, en style roman, sur les restes de la ville romaine de Pitinum Mergens. Du VIe au XVIIe siĂšcle elle aurait abritĂ© les reliques de Saint-Vincent, Ă©vĂȘque de Bevagna. Le plus ancien document sur l’abbaye remonte au XIe siĂšcle et raconte que le monastĂšre de Saint-Vincent en 970 Ă©tait habitĂ© par beaucoup de moines. Au XIe siĂšcle elle entre dans l'influence directe de l'Abbaye de Fonte Avellana.

    L’église Ă©tait divisĂ©e en trois nefs et terminait par l’abside. A droite de l’église se trouvait le monastĂšre, avec le cloitre. La pierre utilisĂ©e provenait des carriĂšres locales. La façade prĂ©sente un portail avec un arc plein cintre et une lunette percĂ©e. Le presbyterium, qui conserve des fresques mĂ©diĂ©vales, est surĂ©levĂ©. A son centre il y a des escaliers Ă©troits et, aux deux cĂŽtĂ©s, deux vastes ouvertures qui mĂšnent Ă  la crypte, elle aussi Ă  trois nefs avec des chapiteaux antiques. L’abside est bien visible de l’extĂ©rieur. En 1204 la cĂ©nobie a Ă©tĂ© dĂ©truite et le monastĂšre a Ă©tĂ© griĂšvement endommagĂ©, il a Ă©tĂ© reconstruit en 1217. En 1439 commence la dĂ©cadence du monastĂšre lors de son annexion au chapitre d’Urbino, Ă  laquelle suit l’abandon de la part des moines. À partir de cette Ă©poque l’abbaye est utilisĂ©e comme ferme et entrepĂŽt, Ă  l’exception de  

    L’église Notre-Dame du Pelingo[12] 

    Elle prend le nom de la famille Pelingo qui, vers la fin du XIVe siĂšcle en a voulu la construction. CrĂ©Ă©e en l’honneur du SacrĂ©-CƓur et de Notre-Dame, l’église a d’abord Ă©tĂ© sacrĂ©e Ă  Notre-Dame, ensuite Ă  Saint-Michel. L’église actuelle a Ă©tĂ© Ă©rigĂ© entre 1820 et 1859. Le tableau anonyme de la Vierge, restaurĂ© en 1981, se trouve au-dessus de l’autel.

    Administration

    Les maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.

    Hameaux

    Furlo, Pelingo, Case nuove, Fossato, Pole, Petriccio, Naro, Farneta, Bellaria, Canfiagio, CĂ  Romano

    Petriccio :   Sur la rive droite du fleuve Candigliano, le long de la vallĂ©e, sont alignĂ©s une sĂ©rie ininterrompue de hameaux : Fossato, Petriccio, Pole et Bellaria.  A Petriccio se trouve l’église de la SS. Annunziata, qui a une origine antique comme atteste l’arc gothique ogival du portail.  L’église est en style roman avec des fresques sur les murs de la galerie d’entrĂ©e. Elle a Ă©tĂ© construite avec la pierre du Furlo.

    Communes limitrophes

    Cagli, Fermignano, Urbania, Urbino


    Notes et références

    1. (it) Popolazione residente e bilancio demografico sur le site de l'ISTAT.
    2. « Clima: Acqualagna - Grafico climatico, Grafico della temperatura, Tabella climatica - Climate-Data.org », sur it.climate-data.org (consulté le )
    3. (it) Andrea Mascellini, Acqualagna dall'etĂ  del bronzo ad oggi, aras (ISBN 9788899913090)
    4. (it) U. Marini, Acqualagna terra di tartufi, Cagli, Metauro, , p. 9-19
    5. (it) Marini Umberto, Acqualagna terra di tartufi, Cagli, Metauro, , p. 9-19
    6. (it) Marini Umberto, Acqualagna terra di tartufi, Cagli, Metauro, , p. 9-19
    7. (it) « Acqualagna »
    8. (it) « riserva naturale del Furlo »
    9. (it) « Turismo Pesaro Urbino »
    10. (it) « Turismo Pesaro Urbino »
    11. (it) « Turismo Pesaro Urbino »
    12. (it) « Turismo Pesaro Urbino »
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