ĂŽle aux Vaches (Loire)
L'île aux Vaches est une île sur la Loire, en France, appartement administrativement à Tours.
| ĂŽle aux Vaches | |||
| |||
| GĂ©ographie | |||
|---|---|---|---|
| Pays |  France
|
||
| Archipel | Aucun | ||
| Localisation | Loire | ||
| Coordonnées | 47° 24′ 03″ N, 0° 43′ 33″ E | ||
| Superficie | 0,8 km2 | ||
| GĂ©ologie | ĂŽle fluviale | ||
| Administration | |||
| RĂ©gion | Centre-Val de Loire | ||
| DĂ©partement | Indre-et-Loire | ||
| Communes | Tours | ||
| Autres informations | |||
| Fuseau horaire | UTC+01:00 | ||
| GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : Indre-et-Loire
| |||
| ĂŽles en France | |||
Description
Il s'agit d'une longue île de près de 1,7 km dont la largeur varie entre 170 m au nord, environ 70 m en son centre et 200 m au sud.
Histoire
L'île aux Vaches est inscrite dans le périmètre de la zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) des « ilots et grèves à sternes de l'agglomération tourangelle », où nichent deux espèces de sternes ; elle est aussi habitée par le Castor d'Europe[1]. Cette ZNIEFF est elle-même recouverte par deux sites du Réseau Natura 2000, le site de « La Loire de Candes-Saint-Martin à Mosnes » et le site de la « Vallée de la Loire d'Indre-et-Loire »[2].
Site de captage d'eau de Tours, elle s'appelait précédemment île au Perron et fut habitée jusqu'en 1950. Il y avait alors encore une ferme sur elle lorsqu’elle fut acquise par la ville de Tours pour y installer le site de captage[3] - [4].
Les vingt-et-un puits de captage ont été rénovés de 2009 à 2012[5].
Références
- « Ilots et grèves à sternes de l'agglomération tourangelle » [PDF], sur le site de l'INPN (consulté le ).
- « Liste des sites Natura 2000 de Tours », sur le site de l'INPN (consulté le ).
- Quand l'île aux Vaches s'appelait l'île au Perron, La Nouvelle République, 2 mai 2012
- « Du fleuve au robinet, l'eau potable à Tours », Le Magazine de la Touraine, no 1,‎ , p. 42-44.
- Sur l'île aux Vaches, assez d'eau pour toute l'agglo tourangelle, La Nouvelle République, 17 avril 2012