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À cœur vaillant rien d'impossible

À cœur vaillant rien d'impossible (Wild Hearts Can't Be Broken) est un film américain, sorti en 1991. Il s'inspire de la vie de Sonora Webster Carver (1904-2003), une saltimbanque américaine.

À cœur vaillant rien d'impossible

Titre original Wild Hearts Can't Be Broken
Réalisation Steve Miner
Scénario Matt Williams
Oley Sassone
Acteurs principaux
Sociétés de production Walt Disney Pictures
Silver Screen Partners IV
Pegasus Entertainment
Pays de production Drapeau des États-Unis États-Unis
Genre Drame
Biographique
Romance
Durée 88 minutes
Sortie 1991

Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution

La phrase « À cœur vaillant rien d'impossible » était la devise de Jacques Cœur.

Synopsis

Pendant la grande dépression, Sonora Webster quitte sa famille pour devenir plongeuse à cheval avec Doc Carver (en).

Fiche technique

Distribution

  • Gabrielle Anwar : Sonora Webster
  • Michael Schoeffling : Al Carver
  • Cliff Robertson : William Frank "Doc" Carver (en)
  • Dylan Kussman : Clifford Henderson
  • Kathleen York : Marie
  • Frank Renzulli : M. Slater
  • Nancy Moore Atchison : Arnette Webster
  • Lisa Norman : tante Helen
  • Lorianne Collins : Clarabelle
  • Elizabeth Hayes : Miss Simpson
  • Laura Lee Norton : Mrs. Ellis
  • Michael J. Matusiak : photographe
  • Jeff Woodward : reporter #1
  • David Massry : reporter #2
  • Cheri Brown : jolie fille
  • David Dwyer : machiniste
  • Haley Aull : petite fille
  • Ed Grady : prédicateur
  • Katy Matson : gamin #1
  • Wendy Ball : gamin #2
  • Sam Aull : gamin #3
  • Carson Aull : gamin #4
  • Boyd Peterson : fermier #1
  • Gene Walker : fermier #2
  • Lowell D. Smith : cow-boy
  • Rick Warner : docteur
  • Mark Jeffrey Miller : Candy Man

Autour du film

Production

Le film a été tourné à Myrtle Beach et à Orangeburg, en Caroline du Sud.

Réception

Sonora Webster et sa sœur Arnette ont vu le film mais furent déçues des libertés prises avec la réalité :

« Le film donnait une large place au courage qu'elle avait de continuer à monter après avoir perdu la vue. Mais, la vérité était aussi que monter à cheval était la chose la plus amusante que vous pouviez faire et nous adorions cela. Nous n'avons pas voulu abandonner. Une fois que vous étiez sur le cheval, il n'y avait plus rien à faire sauf s'accrocher à lui. Le cheval était responsable. »

— Arnette Webster, The New York Times[1]

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Notes et références

  1. (en) Bill Kent, « The Horse Was in Charge », The New York Times, New York, (lire en ligne) « "The movie made a big deal about having the courage to go on riding after she lost her sight," she said. "But, the truth was, riding the horse was the most fun you could have and we just loved it so. We didn't want to give it up. Once you were on the horse, there really wasn't much to do but hold on. The horse was in charge." »

Liens externes

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