Viaduc d'Alaï
Le viaduc d'Alaï était le plus grand viaduc de la ligne Fourvière Ouest-Lyonnais (F.O.L.)[1], dont il ne reste aujourd'hui que les piles, toujours visibles.
Viaduc d'Alaï | ||||
Géographie | ||||
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Pays | France | |||
Région | Auvergne-Rhône-Alpes | |||
Département | Rhône | |||
Commune | Tassin-la-Demi-Lune | |||
Coordonnées géographiques | 45° 44′ 54″ N, 4° 45′ 48″ E | |||
Fonction | ||||
Franchit | ruisseau de Charbonnières | |||
Fonction | Viaduc ferroviaire | |||
Caractéristiques techniques | ||||
Type | viaduc à treillis métallique | |||
Longueur | 207 m | |||
Hauteur | 28 m | |||
Matériau(x) | maçonnerie, fer | |||
Construction | ||||
Construction | 1885 | |||
Mise en service | 1886 | |||
Maître d'ouvrage | Compagnie de Fives-Lille | |||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Rhône-Alpes
Géolocalisation sur la carte : Rhône
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Histoire
Ce viaduc traversait le vallon du ruisseau de Charbonnières au PK 5 de la ligne F.O.L.[2].
L'ouvrage a été construit en 1885 par la Compagnie de Fives-Lille, long de 207 mètres et haut de 28 mètres[3], il comportait 5 travées solidaires, dont 3 centrales de 45 mètres, et 2 extrêmes de 36 mètres. Le tablier est un treillis métallique.
Les 4 piles et leur fondation, ancrées à 17 mètres de profondeur, risquent de gêner la construction de l'"Anneau des Sciences", nom vendeur de la section occidentale du périphérique lyonnais, envisagé pour 2030, et qui devrait suivre en tunnel le ruisseau de Charbonnières[4].
Notes et références
- « Ancienne ligne de chemin de fer de l'Ouest Lyonnais », sur Groupe de Recherches Historiques "Le Vieux Brindas" (consulté le )
- « Ancienne ligne de chemin de fer de l'Ouest Lyonnais », sur Chemin de fer de l'Ouest Lyonnais (consulté le ).
- « 1883-1884 : La naissance du chemin de fer Lyon- Vaugneray-Mornant », sur Groupe de Recherche et d’Étude de l’Histoire de Craponne, (consulté le ).
- « 517 - Viaduc d'Alaï sur le ruisseau de Charbonnières », sur Massif Central Ferroviaire, (consulté le ).