Verrerie de Bruay
La verrerie de Bruay est autorisée par décrets royaux des et au profit de Charles-André Fizeaux et de M. Cordier pour le premier décret [1].
Verreries de Bruay
| Destination initiale |
Fabrication de produits verriers |
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| Construction |
1829 |
| Propriétaire |
Commune de Bruay-sur-l'Escaut |
| Pays | |
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| Commune |
| Coordonnées |
50° 23′ 56″ N, 3° 32′ 25″ E |
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Elle fusionna en 1921 avec la verrerie de Saint-Just.
Un peu d'histoire
Un décret royal du autorise les sieurs Cordier et Fizeaux à créer une verrerie à Bruay[2].
Un autre décret royal de Charles X en date du autorise une verrerie de Bruay au propriétaire M. Fizeaux [1].
Elle est construite le long du Canal de l'Escaut.
Un verrerie de Bruay est également connue sous le nom Verreries Hug et Membré.
Au début du XXe siècle, de grandes grèves se déclarent comme celle du au . Les fabricants de verre à vitres du Nord avait déposer le un nouveau règlement intérieur au conseil des prud'hommes. Ainsi la verrerie de Bruay est frappée de grève, ainsi le , 42 souffleurs et gamins de la verrerie Hug et Membré à Bruay demandèrent un jour de repos par semaine et, ne l'ayant pas obtenu, abandonnèrent le travail et se solidarisèrent avec leurs collègues des autres verreries régionales[3].
L'entreprise devient la «société anonyme des Verreries de l'Escaut et de la Loire » en 1921 lors de sa fusion avec les « Verreries de Bruay sur l'Escaut ». La Compagnie de Saint-Gobain devient en même temps l'un des actionnaires de la société avec 20 % des parts pour intégrer le savoir-faire de l'entreprise.
Notes et références
- Bulletin des lois de la République française, vol. 11, (lire en ligne)
- Bulletin des lois de la République française, Imprimerie nationale des lois, (lire en ligne)
- Statistique des grèves et des recours à la conciliation et à l'arbitrage survenus pendant l'année, Imprimerie nationale (Paris), (lire en ligne)