Vanguard (Nigeria)
Historique
La société Vanguard Media est créée en 1983 par le journaliste Sam Amuka-Pemu avec trois de ses amis[2].
Le journal papier a également une édition en ligne[3]. Il est l’un des rares au Nigeria considéré comme indépendant du contrôle politique, les autres étant This Day, The Punch, The Sun et The Guardian[4]. En , le journal est brièvement suspendu par le colonel Raji Rasaki, gouverneur militaire de l’État de Lagos[5].
En , le site américain Pointblanknews.com, publie un article alléguant que la femme de l’éditeur de Vanguard serait impliquée dans un meurtre rituel. Le Vanguard poursuit le journaliste en justice, l’accusant de racket[6]. En , un militant pour la paix dans le delta du Niger félicite le journal pour ses articles sur les intentions du gouvernement, qui, selon lui, ont aidé les militants à accepter l'amnistie[7].
Références
- (en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « Vanguard (Nigeria) » (voir la liste des auteurs).
- « Vanguard - Lagos », sur Courrier international (consulté le ).
- (en) « Media - Nigeria », sur Centre for Intercultural Learning, Foreign Affairs and International Trade Canada (consulté le )
- (en) « Countries: Nigeria: News », Leland Stanford Junior University (consulté le ).
- (en) « Media: Is Bola Tinubu The Biggest Media Entrepreneur in Nigeria? »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur M2 Marketing Management, (consulté le ).
- (en) « Shutting down the Press: The Practice of Newspaper Closure & Proscription in Nigeria » [PDF], sur Media Rights Agenda, (consulté le ).
- (en) « Moral, Legal and Press War between Nigerian Vanguard Newspaper and US-based PointBlankNews.com: Goliath vs. David », sur Africans In America News Watch, (consulté le ).
- (en) Emma Amaize, « Amnesty - Activist Lauds Vanguard, Uduaghan, Sylva », sur AllAfrica.com, (consulté le ).