Urbania Immobilier
Urbania immobilier est un réseau d'administrateurs de biens et d'agences immobilières en France métropolitaine et en Guyane. Il travaille dans les secteurs : location, gérance locative, transactions immobilières, syndic de copropriété, la location saisonnière et du conseil.
Urbania | |
Création | 2003 |
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Slogan | Acteur du Mieux Vivre Ensemble |
Siège social | 50, av François Arago 92022 Nanterre Cedex France |
Direction | Nicolas Jacquet |
Actionnaires | IPE/Ulysse investissement (depuis le 30 septembre 2010) |
Activité | immobilier, administration de biens |
Filiales | 60 (2013) |
Effectif | 1600 |
Chiffre d'affaires | 90 millions € en 2011[1] en baisse |
Les agences Urbania Immobilier sont principalement implantées en région parisienne, dans la région Rhône-Alpes et sur tout l’arc alpin jusqu’aux Hautes-Alpes, le réseau dispose également de deux agences en Guyane.
Historique du groupe
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, un fonds d’investissement français, IPE (Investors in Private Equity, président Philippe Nguyen), Ulysse Investissements, prend le contrôle d’Urbania et d’Adyal et Nicolas Jacquet, ancien délégué à la Délégation interministérielle à l'aménagement du territoire et à l'attractivité régionale (DATAR) en est nommé Président Exécutif le . En , Urbania signe un partenariat stratégique avec Citya immobilier (propriété de Philippe Briand). Cela en vendant des cabinets représentant un tiers de son chiffre d'affaires[3].
Entre 2012 et 2013, les reseaux Urbania sont acquis par Citya[4].
L'affaire Urbania
Au printemps 2010 éclate l'affaire Urbania, lorsque la banque de la société, la Société générale saisit le tribunal de commerce de Nanterre, à la suite de l'impossibilité d'Urbania de rembourser ses dettes. En effet, la société avait placé les fonds propres des copropriétés gérées sur des comptes miroirs et les avaient investis dans des fonds à risque[5]. Urbania en liquidation a été repris par IPE qui a obtenu des banques (Société générale, Monte dei Paschi, Fortis, Crédit Agricole, Banque palatine et La Banque française) qu'elles renoncent à 50 % de leurs créances, soit 430 millions d'euros. Pour le solde - 209 millions d'euros -, la plupart d'entre elles avaient accepté de recevoir des obligations convertibles en actions Urbania. Fin 2012 Urbania est sur le point de rembourser ses dettes[6].
Notes et références
Liens externes