Terrorisme au Japon
Le Japon est l'un des pays les plus sûrs au monde, mais il n'a pas été épargné par des mouvements de violence et de terrorisme qui existent sous trois formes principales : la violence politique exercée par des groupes terroristes d'extrême-gauche ou d'extrême-droite, la violence au nom d'un idéal religieux, et la violence criminelle dont est responsable toute une nébuleuse de gangs mafieux.
Exemples d'attentats meurtriers au Japon
Armée rouge japonaise (Armée rouge unifiée)
Aum ShinrikyĹŤ
Front Armé Anti-Japonais d’Asie du Sud
- : bombe contre Mitsubishi, 8 morts, 376 blessés.
Armée révolutionnaire
- Août 2001 : attentat à la bombe contre le bâtiment de la Société Japonaise pour la Réforme des Manuels d'Histoire ;
- 2002 : attentat à la bombe, à Yokohama dans un parc près d'une base américaine ;
- Novembre 2002 : attentat à la bombe à Osaka contre une base des Forces japonaises d'autodéfense.
Divers
- : Attentat et assassinat contre l'ex-premier Ministre japonais ShinzĹŤ Abe, 1 mort
Les Groupes terroristes au Japon
Groupes terroristes politiques
- Groupe d'extrĂŞme-gauche
- Armée rouge japonaise, fondé en 1971, 30 morts, 110 blessés
- Kakurōkyō, fondé en 1969, 9 morts (8 membres assassinés), 7 blessés
- Chukaku-Ha, fondé en 1957, quelques actions.
- Armée révolutionnaire, apparu en 2000
- Groupe nationaliste
- Kenkoku Giyugun Kokuzoku Seibatsutai, fondé en 2002, arrêté en 2003, 23 actions.
Groupe terroriste religieux
- Aum Shinrikyō fondée en 1984 et qui fait 23 morts et 6 300 blessés
Groupe terrorisme Anti-Impérialiste
- Front Armé Anti-Japonais d’Asie du Sud, actif en 1974, 8 morts, 376 blessés[1].
Voir aussi
Notes et références
- APA --, « Agence Presse Associative (APA) », sur apa.online.free.fr (consulté le ).
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