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Tarif fiscal du Parisinus

Le Tarif fiscal du Parisinus est un texte métrologique byzantin conservé à la Bibliothèque nationale de France (Suppl. gr. 676 du XIVe siècle) contenant quelques paragraphes sur le calcul de l'impôt et de la rente fonciers à Byzance, à savoir les définitions des catégories de terre et des mesures adoptées lors des opérations d'imposition. Le texte principal daterait du Xe siècle car il est antérieur à la réforme, probablement de Michel IV, sur la longueur de l'orgyie. Il a fait l'objet d'une mise à jour au XIe siècle pour tenir compte de la nouvelle longueur. Il est la première forme de taxe de Byzance dont le montant est déterminé selon les revenus du contribuable et ne peut être payé qu’en liquide. Il inclut un système d'impôts à percevoir sur les terres agricoles, c’est la Pronoia, ou système fiscal d'attribution de terres, d'étendues diverses, par l'empereur byzantin, à un individu pour qu'il en soutire, pour son propre profit, les revenus d'état qui y sont rattachés[1]. La pronoia pouvait être attribuée de façon arbitraire, des fois prestigieuses, par l'empereur à des membres de sa famille ou à des partisans. Mis en place par la dynastie des Comnènes à partir du xie siècle, le système des pronoiai était utilisé jusqu'à la fin de l'Empire byzantin en 14532 .

Parisinus

Fiscalité agricole et estimations

Nomisma, et pièces des califes Umeyyades, comparaison[2]

Pour le système des terres agricoles, le tarif du Parisinus propose toute une gamme de rĂ©sonnements, afin qu’un paysan puisse  payer les taxes et impĂ´ts pour ses terres avec des monnaies, puisqu’elles sont deux Ă  avoir Ă©tĂ© utilisĂ©es. En effet, il y avait la monnaie en pièce d’or, «nomisma», puis la monnaie en pièce d’argent, utilisĂ©e durant ses dernières annĂ©es, près de la chute de l’empire, pour laquelle les principes de ce texte furent toujours appliquĂ©s en ce qui relate de l’économie de Byzance. Évidemment, les montants dĂ©duits reposaient essentiellement sur deux facteurs. Primo, la grandeur d’une terre, deuxio, les revenus que le paysan produisait grâce Ă  cette terre. Tertio, est-elle une terre rĂ©sidentielle ou une terre dont il se sert pour commercer ? En se rĂ©fĂ©rant principalement Ă  ces facteurs, on peut commencer Ă  jouer avec les dĂ©marches du Tarif du Parisinus, afin de dĂ©terminer la contribution du paysan envers l’État, de ses terres[3]. En rappelant que la monnaie est principalement le nominisma, maintenant, Ă©tablissons des valeurs principales reliĂ©es Ă  la grandeur et la qualitĂ© d’une terre. Les valeurs en nomisma selon les caractĂ©ristiques d’une terre sont les suivantes, dans le tarif du Perisinus ; un nomisma de valeur pour chaque modios de terre de première qualitĂ©, c'est-Ă -dire une terre arable pouvant ĂŞtre arrosĂ©e ou Ă©tant attachĂ©e aux habitations des villageois, donc une terre oĂą la culture intensive Ă©tait possible. Un nomisma pour deux modios de terre de deuxième qualitĂ©, donc terres arables; un nomisma pour trois modios de terre de troisième qualitĂ©, dont la pâture est mauvaise ou selon les coutumes locales; Trois nomismata pour un modios de prĂ© de fauche, sans doute parce que celui-ci pouvait ĂŞtre exploitĂ© toute l’annĂ©e au complet. Il est ajoutĂ© que ces taux pouvaient varier soit Ă  cause d'ordonnances impĂ©riales, soit Ă  cause de coutumes locales[3]. Le modios, citĂ© tant de fois, Ă©tait l’unitĂ© de mesure sĂ»re pour les terres[4]. Il est toujours indĂ©terminĂ© s’il s’agit de 888 m2  de surface, comme le allant jusqu’à 1280 m [4]. Important, Ă  part la qualitĂ© de la terre, sa surface maintenant. Les prix selon les surfaces fonctionnent comme il suit; des principales mesures mentionnĂ©es dans ce qui suit: modios, Ă©tant mesure de superficie qui peut varier entre 888 et 1 280 m2[5], «schoinion» ou «mesme», une longueur qui correspond Ă  10 ou 12 «orgyiai», donc de 21,30  Ă  25,30 m, «orgyai», mesure de longueur qui correspond Ă  187-216 cm; «spithame-mesme» de longueur, qui correspond de 23,4 Ă  24,6 cm: Schilbach[6]. Maintenant ces prix Ă©tablis, nous pouvons en venir Ă  la dĂ©marche menant Ă  la valeur de l’impĂ´t que l’État prĂ©lève, en opĂ©rant Ă  partir de ces prix-lĂ . On dit du Tarif de Perisinus qu’il est une mĂ©trologie, donc un procĂ©dĂ© scientifique de dĂ©marche pour Ă©tablir la fiscalitĂ©. Voyons donc la complexitĂ© de celui-ci , le faisant si complexe pour qu’il soit scientifique. Comme exemple, rentrons dans les exceptions s’appliquant aux tarifs des terres, selon les caractĂ©ristiques et les mesures et les prix prĂ©cĂ©demment citĂ©s. Les exceptions s’appliquent comme suit; Pour la terre de première qualitĂ© partout, on mesure avec le schoinion de dix orgyies. Dans les rĂ©gions particulièrement fertiles, on utilise le mĂŞme schoinion de dix orgyies. Dans les autres rĂ©gions d'Orient, on utilise le schoinion de douze orgyies .Dans les thèmes d'Occident, on utilise le schoinion de dix orgyies, mais on fait les calculs après avoir diminuĂ© de 10% les dimensions du terrain. Ainsi, si l'on prenait un terrain hypothĂ©tique, un carrĂ© de 213 m de cĂ´tĂ©, d'une superficie rĂ©elle de 45,369 m2 , il compterait pour 50 modios fiscaux selon la procĂ©dure des terres de haute qualitĂ©), 35 modios s'il Ă©tait situĂ© dans les thèmes d'Orient  et 40,5 modios s'il se trouvait dans la rĂ©gion des Balkans. Un allĂ©gement fiscal aux cultivateurs, allonge l'yorgyie d'un quart de spithame, diminuant ainsi la surface "fiscale" des biens imposĂ©s, et, par consĂ©quent, l'impĂ´t qui en Ă©tait exigĂ©[3]. Comme on peut le voir, la complexitĂ© et la rigueur du Tarif du Parisinus sont d’une vĂ©ritable profondeur. Il est tellement sophistiquĂ© qu’il y a tant et tant de conditions et de contraintes Ă  prendre en compte afin de dĂ©terminer la fiscalitĂ© pour une terre. Pour appuyer cela, ne soyons pas surpris des prochaines contraintes qui seront les prochaines citĂ©es, encore et encore, comme l’on peut voit. La fiscalitĂ© ne dĂ©pend plus seulement de la grandeur, la fertilitĂ© et du lieu de la terre, mais de ce qu’elle fournit. Est-ce des vignes ou des cĂ©rĂ©ales qui poussent dessus par exemple ?  Les contraintes deviennent donc les suivantes, si nous parlons pour les loyers entre le XIe et le XIIe sièclele, selon le Tarif du Parisinus; Le loyer moyen des vignes au Xlle siècle Ă©tait de 1 nomisma d'or pour 3 modioi, on peut comparer ce taux Ă  celui du loyer pour les cĂ©rĂ©ales, 1 nomisma pour 10 modios[7][7] .En quoi rendu lĂ , ce texte est-il utile? Si l’on prend toute la dĂ©marche Ă©laborĂ©e, expliquĂ©e prĂ©cĂ©demment, grâce au Tarif du Perisinus, on peut Ă©tablir l’impĂ´t complet, pour une province de Byzance, impĂ´t dont on connaĂ®tra Ă  l’avance la somme avant mĂŞme de le percevoir, grâce Ă  toutes les dĂ©marches mentionnĂ©es plus haut. Ce qu’on appelle aujourd’hui la fraude fiscale, peut donc ĂŞtre ainsi Ă©vitĂ©e, puisqu’avec les mĂ©thodes que nous indique le Tarif du Parisinus, on sait dĂ©jĂ  ce que l’on devrait percevoir comme impĂ´t[8].]. Le Tarif fiscal du Parisinus est donc une mĂ©trologie non seulement qui permet de dĂ©terminer la valeur d’une terre, son loyer et l’impĂ´t dont son propriĂ©taire doit, mais surtout, son raisonnement permet Ă  l’État de connaĂ®tre ce qu’il doit dĂ»ment rĂ©clamĂ© comme montant par province[9].

Recours au sauvetage d'une Ă©conomie

Le Tarif du Parisinus ne constitue pas seulement un outil pour dĂ©terminer les impĂ´ts Ă  percevoir pour les terres, mais aussi un outil pour rebalancer une Ă©conomie. En effet, on peut le voir dans le cas de la dĂ©valuation du nomisma, donc la pièce d’or byzantine. Dans le cas du recenseur KataphlĂ´ron, qui en 1079 a  majorĂ©  les taxes de Lavra de 72,25 %[10], une majoration Ă©norme qui n'est pas explicable par l'augmentation de la fortune de couvent. Donc un nouveau procĂ©dĂ© fiscal a dĂ» ĂŞtre appliquĂ© Ă  ce moment. Or, en 1079, la dĂ©valuation catastrophique de la monnaie byzantine s’accentuait de plus en plus. Comme il est certain que le taux d'imposition de la terre n'avait pas changĂ© , celui du tarif fiscal du Parisinus qui se retrouve inchangĂ© dans le traitĂ© fiscal de Zaborda, qui est datĂ© du XIIe siècle , le VĂ©pibolè pourrait avoir Ă©tĂ© un des moyens mis en place par le gouvernement pour contrebalancer la perte de revenus due Ă  la dĂ©valuation. Grâce Ă  la maintenance des principes Ă©laborĂ©s dans le tarif du Parisinus, on n’a pu donc Ă©laborĂ© ce VĂ©pibolè, qui nous sauve d’une crise[11]. Les Byzantins arrivent donc Ă  la solution pour contrer le dĂ©balancement de la valeur de leur pièce d’or et ce qui permet en mĂŞme temps, de pouvoir continuer avec une Ă©conomie sans avoir Ă  faire appel aux principes du recenseur KataphlĂ´ron qui Ă©tait chargĂ© de la fiscalitĂ© et allait la faire plongĂ©e[12]. Le Tarif du Parisinus est donc rendu lĂ  non seulement une mĂ©trologie pour la perception des impĂ´ts, mais aussi une forme de conseiller, afin de remĂ©dier Ă  des alternatives ou des solutions, au sein d’une mauvaise Ă©conomie.

ImpĂ´ts des contribuables

Le texte ne se limite pas en termes d’impĂ´ts sur les terres agricoles, payĂ©es par les paysans locataires ou propriĂ©taires. En effet, le Tarif du Parisinus Ă©labore mĂŞme un système fiscal, prĂ©levant des impĂ´ts sur une personne en tant que tel. Tout chef de famille de cultivateurs, propriĂ©taire ou locataire est redevable de certains impĂ´ts sur sa personne. On remarquera que dans le Tarif fiscal du Parisinus, il est question des mĂŞmes impositions pour propriĂ©taires de terres et pour cultivateurs libres, sauf peut-ĂŞtre au niveau de certaines redevances qui font objet exceptions. En effet, du point de vue du fisc, il n'y a aucune diffĂ©rence entre propriĂ©taire , cultivateur libre en ce qui concerne le calcul de l'impĂ´t[13]. Dans les deux cas, le montant dĂ©pend des moyens de production que chacun possède, Ă©valuĂ©s selon le mĂŞme tarif. Le statut du cultivateur libre est cependant socialement et Ă©conomiquement plus faible dans la mesure oĂą il est locataire et non pas propriĂ©taire. Son statut peut aussi varier considĂ©rablement pour des raisons historiques, sociales ou, surtout, Ă©conomiques. L'imposition des paysans se fait selon les mĂŞmes principes que celle d’une terre. On Ă©tablit la valeur de l’impĂ´t sur l’être, de chaque cultivateur en tenant compte des moyens de production qu'il possède. L'impĂ´t est fixĂ© Ă  4% de tous ses revenus, ou plus prĂ©cisĂ©ment dit dans le tarif du Parisinus, 1/24 de ces revenus. Ce qui est bien variable, tout comme pour les impĂ´ts Ă  percevoir sur les terres, selon leurs superficies, tel que citĂ© prĂ©cĂ©demment[14]. Pour donner un exemple concret qui pouvait se produire Ă  l’époque et montrer l’aspect sophistiquĂ© du Tarif du Parisinus, voici dans une situation comment l’on dĂ©duisait le montant par lequel un propriĂ©taire ou un cultivateur libre de terre devait payer. Si propriĂ©taire de terre possède 2 bĹ“ufs, cela Ă©quivaudrait Ă  2 locataires possĂ©dant 1 bĹ“uf chacun, et donc qui Ă©quivaut aussi Ă  4 locataires sans bĹ“uf. Ă€ partir de ces rapports, on pouvait prendre la portion qu’un locataire devait payer et la multiplier adĂ©quatement pour savoir le propriĂ©taire devait combien en pièce d’or. rencontre des variations intĂ©ressantes[15]. Selon le tarif fiscal du Parisinus, un propriĂ©taire  Ă©tait Ă©valuĂ© Ă  24 nomismata et donc un locataire, si l’on se rĂ©fère Ă  l’exemple avec les bĹ“ufs, 12 nomismata chacun. Et donc , le propriĂ©taire devait payer un nomisma d'impĂ´t[12]. Étant donnĂ© que l’impĂ´t Ă©tait de 1/24 des revenus d’un ĂŞtre sur des terres agricoles. Le Tarif fiscal du Parisinus est donc une rĂ©fĂ©rence qui contribue au savoir nĂ©cessaire d’un bon fonctionnement de la perception d’impĂ´t, pas seulement au niveau des terres, mais au niveau des revenus personnels d’un agriculteur libre ou propriĂ©taire de terre[12]

Redevances sur les animaux domestiques

Le texte fournis des méthodes au point où l’État peut arrondir ce qu’il perçoit, grâce à des tarifs fiscaux imposés sur un paysan possédant des animaux qui lui ramènent du profit. Les sommes dépendront de l’animal dont il est question et du nombre dont le paysan sur sa terre en possède. Pour éclaircir sur cette démarche, en voici un exemple qui était fort probable de se dérouler à l’époque et qui suivait la démarche du texte[14]. «Le pâturage doit être mesuré en modios. Il faut compter pour chaque mouton et pour le semestre d'hiver, 2 et 1/2 modios, et recevoir 1 nomisma d'or comme retour sur 100 moutons. Et si tu atteins les 4 ou 5 nomismata, tu dois compter comme valeur du troupeau une livre d'or, de la même façon que l'empereur traite à 7 nomismata la livre. Il faut que tu comptes 6 grands moutons ou 10 petits pour un nomisma. Et s'il s'agit de pâturage pour les buffles, les juments, ou les bœufs, il faut compter 10 modioi de terre par tête pour 6 mois de pâture; et recevoir 1 nomisma d'or comme compensation pour trois têtes de bétail»[16].

En somme

Le Tarif fiscal du Parisinus est alors un texte élaborant de façon sophistiquée et rigoureuse les moyens pour un état de percevoir les impôts autant pour une terre, un revenu ou un animal. Il en va même de dire qu’il est un bon guide pour se sortir du pétrin, à l’époque en tout cas, lorsque l’on fait face à une crise économique ou à une dévaluation de sa monnaie. Le Tarif fiscal du Parisinus assure finalement une équité de contribution entre un propriétaire et un paysan locataire de terre, puisque la portion est sujet de multiplication grâce à un rapport de similitude, par lequel on sait que si un propriétaire paie 1/24 de ses revenus, le paysan paie alors 1/72[12]. Il y a donc raisonnement fonctionnel et équité.

Bibliographie

  • GĂ©omĂ©tries du fisc byzantin, Ă©d. J. Lefort et alii, Paris, 1991.
  • Nicolas Oikonomidès, FiscalitĂ© et exemption fiscale Ă  Byzance (IXe-XIe s.) : Monographies 2, Athènes, Institut de Recherches Byzantines, (ISBN 960-7094-65-4), p. 42-43.
  • Nicolas Oikonomides, FiscalitĂ© et exemption fiscale Ă  Byzance(IXe-XIe siècle), Athènes, 1996, p.49-68
  • Laurent Albaret, Le Modios Ă  Byzance, 5. Histoire,
  • GĂ©omĂ©tries du fisc byzantin, Ă©d. J. Lefort et alii, Paris, 1991
  • Sophie MĂ©tivier, Économie et sociĂ©tĂ© Ă  Byzance(VIIIe-XIIe siècle) : Textes et documents,

Notes et références

  1. Nicolas Oikonomidès, Fiscalité et exemption fiscale à Byzance(IXe-XIe siècle), Athènes, , p. 49-70
  2. Otto Nickl, English: above: Umayyad arab-byzantine Solidus; most likely minted under the rign of caliph Muawiyah I. 661–680., (lire en ligne)
  3. Oikonomidès, Nicolas., Fiscalité et exemption fiscale à Byzance (IXe-XIe s.), Fondation nationale de la recherche scientifique, Institut de recherches byzantines, (ISBN 960-7094-65-4 et 978-960-7094-65-0, OCLC 35244745, lire en ligne), p. 51
  4. Laurent Albaret, « Le Modios à Byzance », 5, Histoire,‎
  5. Laurent Albaret, « ,Le Modios à Byzance », 5, Histoire,‎
  6. J. Lefort , alii, Michel Kaplan, Géométries du fisc byzantin,, Paris,
  7. Oikonomidès, Nicolas., Fiscalité et exemption fiscale à Byzance (IXe-XIe s.), Fondation nationale de la recherche scientifique, Institut de recherches byzantines, (ISBN 960-7094-65-4 et 978-960-7094-65-0, OCLC 35244745, lire en ligne), p. 53
  8. Oikonomidès, Nicolas., Fiscalité et exemption fiscale à Byzance (IXe-XIe s.), Fondation nationale de la recherche scientifique, Institut de recherches byzantines, (ISBN 960-7094-65-4 et 978-960-7094-65-0, OCLC 35244745, lire en ligne), p. 54
  9. Métivier, Sophie., Économie et société à Byzance (viiie-xiie siècle), Publications de la Sorbonne, (ISBN 978-2-85944-571-3, 2-85944-571-4 et 2-85944-828-4, OCLC 987023767, lire en ligne)
  10. Nicolas Oikonomides, Fiscalité et exemption fiscale à Byzance(IXe-XIe siècle), Athènes, , p. 59
  11. Nicolas Oikonomides, Fiscalité et exemption fiscale à Byzance(IXe-XIe siècle), Athènes,
  12. Oikonomidès, Nicolas., Fiscalité et exemption fiscale à Byzance (IXe-XIe s.), Fondation nationale de la recherche scientifique, Institut de recherches byzantines, (ISBN 960-7094-65-4 et 978-960-7094-65-0, OCLC 35244745, lire en ligne), p. 59
  13. Oikonomidès, Nicolas., Fiscalité et exemption fiscale à Byzance (IXe-XIe s.), Fondation nationale de la recherche scientifique, Institut de recherches byzantines, (ISBN 960-7094-65-4 et 978-960-7094-65-0, OCLC 35244745, lire en ligne), p. 66
  14. Oikonomidès, Nicolas., Fiscalité et exemption fiscale à Byzance (IXe-XIe s.), Fondation nationale de la recherche scientifique, Institut de recherches byzantines, (ISBN 960-7094-65-4 et 978-960-7094-65-0, OCLC 35244745, lire en ligne), p. 67
  15. Oikonomidès, Nicolas., Fiscalité et exemption fiscale à Byzance (IXe-XIe s.), Fondation nationale de la recherche scientifique, Institut de recherches byzantines, (ISBN 960-7094-65-4 et 978-960-7094-65-0, OCLC 35244745, lire en ligne), p. 68
  16. Oikonomidès, Nicolas., Fiscalité et exemption fiscale à Byzance (IXe-XIe s.), Fondation nationale de la recherche scientifique, Institut de recherches byzantines, (ISBN 960-7094-65-4 et 978-960-7094-65-0, OCLC 35244745, lire en ligne), p. 73
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