Tania James

D'origine indienne, elle naît en 1980 à Chicago dans l'Illinois et grandit à Louisville dans le Kentucky. Après ses études secondaires, elle est acceptée à l'Université Harvard d'où elle sortira avec un Bachelor of Arts (en réalisation cinématographique), puis elle entre à la Columbia's School of the Arts où elle passera un Master of Fine Arts (Beaux Arts, Théâtre, Arts visuels et cinématographiques).

Elle publie en 2009 son premier roman, L'Atlas des inconnus (Atlas of Unknowns), l'histoire d'une saga familiale entre le Kerala et New York. En 2012, elle publie le recueil de nouvelles Aerogrammes et en 2015 son second roman, The Tusk that did the Damage. Certains de ces textes ont été publiées dans les magazines, revues et journaux Granta[1], Boston Review (en), The Kenyon Review (en)[2], One Story (en)[3] et A Public Space (en)[4].

En 2016, elle devient professeur à l'Université George Mason[5] à Fairfax, elle intervient dans le cycle du Master of Arts de création littéraire[6], enseignant la méthodologie de rédaction d'une thèse, la fiction et ses formes[7].

Tania James est professeur à la George Mason University et vit à Washington DC[7].

Pour L'Atlas des inconnus (Atlas of Unknowns) :

• Livre de l'année du San Francisco Chronicle en 2009,
• Sélection de l'année 2009 du The New York Times,
• Nomination au DSC Prize for South Asian Literature (en) en 2011[10].

Pour The Tusk that did the Damage :

• Sélection de l'année 2015 du The New York Times,
• Nomination au prix Dylan Thomas (en) en 2016[11].

• Review: “The Tusk That Did The Damage”, by Tania James, article de Dave Burdick pour le Denver Post, 2016[12],
• Visible : Women Writers of Color, interview menée par Deesha Philyaw pour le magazine The Rumpus, 2016[13],
• The Elephant in the Cutting Room, article d'Aria Thaker pour le Harvard Magazine, 2016[14],
• ‘The Tusk That Did the Damage'  by Tania James, article de Randy Boyagoda pour le New York Times, 2015[15],
• The Tusk That Did the Damage, a magical fable, article de Tishani Doshi pour The Guardian, 2015[16],
• The Tusk That Did the Damage – Tania James, article d'Emma Schneider pour la revue "Full Stop", 2015[17]
• Tania James: ‘Lion and Panther in London’, article de Nikesh Shukla, pour la revue "Bookanista", 2015[18],
• The tusk force, article de Charmy Harikrishnan, pour le magazine India Today In, 2015[19], 
• Tania James ' The Tusk That Did the Damage', article de  Mary Whipple pour la revue "Mary Whipple Review", 2015[20]
• The Gravedigger's Keeper: 11 Questions With Author Tania James, interview menée par Daniel Ford pour la revue "Writer's Bones", 2015[21],
• Novelist Tania James talks rogue elephants, India and conservation, interview menée par Nicole Lee pour le Los Angeles Times, 2015[22],
• A Strange and Methodical Thing, interview menée par Meredith Turits pour la revue "Electric Literature", 2015[23],
• 'The Tusk That Did the Damage, by Tania James, article de Valerie Miner pour le SFGate, 2015[24],
• ‘The Tusk That Did the Damage’ by Tania James, recension de Jan stuart pour le Boston Globe, 2015[25],
• 'Aerogrammes’, by Washington’s Tania James: Crisp short stories on kinship, article de Lisa Bonos pour le Washington Post, 2012[26],
• Family Secrets, article d'Emily Cook pour le New York Times, 2012[27],
• Her, There, and Everywhere, interview menée par Jen Michalski pour le magazine "The Nervous Breakdown", 2012[28],
• Tania James, interview menée par Saskia Vogel pour la revue Granta, 2012[1],
• Fiction Chronicle, Atlas of Unknowns, article de Rebecca Tuhus-Dubrow pour le New York Times, 2009[29],
• 'Atlas of Unknowns', by Tania James, article de Malena Watrous, pour le SF Gate, 2009[30].

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