AccueilđŸ‡«đŸ‡·Chercher

Takuro Morinaga

Takuro Morinaga (æŁźæ°žć“éƒŽ), nĂ© le , surnommĂ© Moritaku, est un Ă©conomiste japonais, professeur d’économie Ă  l’universitĂ© Dokkyo, de Saitama dans la banlieue de Tokyo et chroniqueur d’une Ă©mission de tĂ©lĂ©vision[1]. Économiste trĂšs mĂ©diatique, il s’exprime Ă  la tĂ©lĂ©vision et Ă  la radio sur les sujets les plus divers, de la politique aux mangas en passant par les jeux vidĂ©o. Ses idĂ©es suscitent souvent de nombreuses rĂ©actions.

Takuro Morinaga
une illustration sous licence libre serait bienvenue
Biographie
Naissance
Nom dans la langue maternelle
æŁźæ°žć“éƒŽ
Nationalité
Formation
Activités
Economic pundit, Ă©conomiste, professeur, tarento
Enfant
Kƍhei Morinaga (d)
Autres informations
A travaillé pour
Dokkyo University (en)
Mitsubishi UFJ Research and Consulting (d)
Taille
1,67 m
Masse
73 kg ()

Biographie

Jeunesse

À l’ñge de neuf ans, Takuro Morinaga commence une collection de petites voitures lorsque son pĂšre lui a offert sa premiĂšre. Aujourd’hui, il en possĂšde plus de 20 000[2].

Otaku

En 2006, Takuro Morinaga a estimé le marché global des otaku entre 26 milliards et 34 milliards de dollars[3].

Taxe sur les beaux

La proposition de majorer le taux d’imposition des hommes beaux et riches, qu’il a faite sur la chaüne Nippon TV, a eu un grand retentissement sur Internet[4].

Il propose de moduler la fiscalitĂ© selon l'apparence du contribuable. Son idĂ©e est la suivante : si les laids Ă©taient fiscalement favorisĂ©s, ils retrouveraient leurs charmes, ce qui se traduirait par une hausse des mariages, donc de la natalitĂ© et de la croissance. Les hommes cĂ©libataires seraient classĂ©s en quatre grandes catĂ©gories : les beaux gosses, les normaux, les moyennement laids et les laids. Ces critĂšres seraient Ă©tablis par conseil d’évaluation de la beautĂ© composĂ© d'un jury de cinq femmes tirĂ©es au sort[5].

Takuro Morinaga s’intĂ©resse depuis longtemps Ă  la question des cĂ©libataires et a notamment publiĂ© deux livres sur le sujet : Akujo to shinshi no keizaigaku (Les sciences Ă©conomiques de la femme fatale et du gentleman, 1996), et Hikon no susume (Incitation au cĂ©libat, 1997)[6].

Bibliographie

  • Akujo to shinshi no keizaigaku (Les sciences Ă©conomiques de la femme fatale et du gentleman, 1996)
  • Hikon no susume (Incitation au cĂ©libat, 1997)
  • Surviving in an Era of „3 Million Annual Income (2003)[7]

Notes et références

  1. https://www.youtube.com/watch?v=H1W4y-ZFuao
  2. http://web-japan.org/nipponia/nipponia46/fr/feature/feature11.html
  3. http://www.msnbc.msn.com/id/11115376/ns/world_news-asia_pacific/t/japans-nerd-culture-almost-mainstream/
  4. « ÉCONOMIE. Il faut taxer les beaux gosses ! », Courrier international,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
  5. « Un économiste japonais préconise de taxer les beaux et de soulager les moches », sur RTL.fr (consulté le ).
  6. « PORTRAIT. Takuro Morinaga : un Ă©conomiste du cĂ©libat », Courrier international,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
  7. https://www.nytimes.com/2005/06/10/your-money/10iht-masia.html
Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplĂ©mentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimĂ©dias.