Spritmonitor

Le site a été créé à l’initiative de Thomas Fischl et Dominik Fisch, lors de leurs années d’étude à l’université de Passau[1] initialement, le projet s’appelait ‘’Tableaux de consommation’’ en allemand, et après une phase de test, le nom fut changé en Spritmonitor (Sprit signifiant carburant en allemand). Le site Internet est géré par la société Fisch und Fischl GmbH, fondée en 2008.

Spritmonitor offre deux fonctions principales :

On peut renseigner la consommation de carburant, et les coûts liés au véhicule (on peut aussi effectuer des évaluations, telles que la consommation en fonction de la saison)[2] - [3]. L’accès mobile à Spritmonitor est également possible.

De plus, on peut consulter les données rentrées par les autres utilisateurs. Les futurs acquéreurs peuvent de la sorte se renseigner sur les consommations réelles du véhicule avant l’achat ; en effet, les écarts entre la réalité et les chiffres annoncés sont significatifs[4] - [5] - [6].

La quantité et la qualité des données présentes dans la banque de données de Spritmonitor est telle qu’elle est maintenant utilisée à des fins scientifiques par ICCT dans son étude annuelle “From Laboratory To Road”[7] - [8] - [9] tout comme la Fédération européenne pour le transport et l'environnement pour son étude “Mind The Gap”[10] - [11]. L’association allemande Deutsche Umwelthilfe se réfère également à Spritmonitor[12].

En sus des études scientifiques, la banque de données de Spritmonitor est utilisées pour les tests de véhicules menés par différents médias[13] - [14] - [15] - [16]

Dans Spritmonitor, on trouve des données sur plus de 1 000 000 véhicules entrés par 700 000 utilisateurs. En tout, le site comprend des données sur plus de 40 millions de passages à la pompe, correspondant à 20 milliards de kilomètres parcourus[17].

Ce site s'avère utile, car en conditions réelles d'utilisation, les véhicules consomment davantage qu'annoncé[18] - [19] - [20].

• (de) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en allemand intitulé « Spritmonitor » (voir la liste des auteurs).