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Spectroscopie de fluorescence atomique Ă  vapeur froide

La spectroscopie de fluorescence atomique par vapeur froide (CVAFS) est une technique efficace pour dĂ©terminer la concentration du mercure. C’est une des mĂ©thodes les plus sensibles pour analyser ce composĂ©, en particulier dans l’environnement, puisque la contamination au mercure est une des plus grandes problĂ©matiques de notre atmosphĂšre[1]. Cette mĂ©thode a Ă©tĂ© crĂ©Ă©e afin de rendre le mercure Ă  son niveau d’oxydation le plus bas, Ă  l’aide d’un agent rĂ©ducteur, pour qu'Ă  la suite de plusieurs Ă©tapes, le mercure sous la forme gazeuse, ait la possibilitĂ© de passer ou non par un amalgameur d’or. Finalement, les Ă©lectrons sont excitĂ©s et ramenĂ©s Ă  leur Ă©tat fondamental, lĂ  oĂč ils Ă©mettent l’énergie absorbĂ©e[2] - [3] - [4]. Cette mĂ©thode vise Ă  dĂ©terminer la concentration du mercure Ă  l’état de trace, et ce de façon prĂ©cise.

Histoire

Figure 1. ReprĂ©sentation du personnage nommĂ© Chapelier ToquĂ© dans l'Ɠuvre Les Aventures d'Alice au pays des merveilles de l'auteur Lewis Caroll.

La premiĂšre mention du mercure dans l’histoire date du IVe siĂšcle av. J.-C. C’est Aristote qui a dĂ©crit le mercure comme Ă©tant de l’«argent liquide». À cette Ă©poque, les risques liĂ©s Ă  l’utilisation de cet Ă©lĂ©ment Ă©taient dĂ©jĂ  connus[5].  

Toutefois, cela n’a pas empĂȘchĂ© les chapeliers, lors du XIXe siĂšcle, de l’utiliser pour traiter les fourrures servant Ă  la fabrication de chapeaux en feutres. En raison des effets nocifs sur le cerveau, les chapeliers avaient d’importants symptĂŽmes d’hydrargyrisme, inspirant le cĂ©lĂšbre personnage de Lewis Carroll; le Chapelier ToquĂ©[5] (Figure 1).

Ce n’est que bien plus tard que la dĂ©tection et quantification du mercure a fait son apparition dans les mĂ©thodes analytiques. En 1964, Winefordner et Vickers ont inventĂ© la spectroscopie de fluorescence, dans le but de dĂ©terminer la concentration d’élĂ©ments chimiques variĂ©s[6].  La technique de spectroscopie de fluorescence par vapeur froide a donc ainsi pu connaitre ses dĂ©buts. 

Principe de la fluorescence

En spectroscopie de fluorescence, les Ă©lectrons de certaines molĂ©cules ou des atomes gazeux (en Ă©mission de fluorescence atomique) sont excitĂ©s en absorbant des rayons Ă©lectromagnĂ©tiques, en UV et visible, selon leur longueur d’onde d’absorption[5]. Il en rĂ©sulte ainsi un changement de niveau d’énergie Ă  la hausse des Ă©lectrons des atomes. En effet, chaque niveau Ă©lectronique (S) possĂšde plusieurs niveaux vibrationnels[7] (1, 2, 3, 
), comme dans le diagramme partiel de Jablonski de la Figure 2 ci-dessous.

Figure 2. Diagramme partiel de Jablonski.
Figure 3. Diagramme montrant le déplacement de Stokes.

Le retour des Ă©lectrons excitĂ©s Ă  un Ă©tat infĂ©rieur ou fondamental s’appelle relaxation. En revenant Ă  leur niveau fondamental, les Ă©lectrons peuvent passer par des sous-niveaux d’énergie appelĂ©s niveaux d’énergie vibrationnels. Ce type de relaxation entre les niveaux d’énergie peut se produire lorsque les Ă©lectrons excitĂ©s transfĂšrent leur surplus d’énergie Ă  des molĂ©cules de solvant[5]. Une fois revenus Ă  leur niveau Ă©nergĂ©tique fondamental, les Ă©lectrons Ă©mettent de la chaleur ou des photons, soit une relaxation non rayonnante ou rayonnant, aussi appelĂ©e Ă©mission de fluorescence. Dans le cas de la fluorescence, des photons sont Ă©mis par les Ă©lectrons Ă  une certaine longueur d’onde pendant quelques secondes (habituellement d’une durĂ©e allant de 10-10 Ă  10-5 secondes)[5]. Ainsi, les photons peuvent ĂȘtre dĂ©tectĂ©s et permettent de diffĂ©rencier les molĂ©cules et les atomes selon la longueur d’onde Ă©mise observĂ©e. Par contre, il est important de noter que la longueur d’onde d’émission et la longueur d’onde d’absorption sont diffĂ©rentes dĂ» au temps requis aux Ă©lectrons pour passer du niveau excitĂ© au niveau fondamental; c’est le dĂ©placement de Stokes (Figure 3)[5]

Cependant, seulement certaines molĂ©cules peuvent Ă©mettre de la fluorescence. Effectivement, la plupart du temps, un processus de relaxation non radiatif est plus rapide qu’un processus radiatif[8]. Donc, c’est la nature des molĂ©cules ainsi que la longueur d’onde d’excitation qui indiquent si elles Ă©mettent ou non de la fluorescence. Par exemple, une molĂ©cule ayant  une longueur d’onde d’excitation plus faible que 250 nm ne pourrait pas fluorescer, puisque les rayonnements sous 250 nm sont plus Ă©nergĂ©tiques et pourraient briser des liens de la molĂ©cule[7]. Aussi, les molĂ©cules qui fluorescent le plus sont plus rigides, possĂšdent un ou plusieurs noyaux aromatiques ainsi que des groupements Ă©lectrodonneurs[7].

Un avantage de la fluorescence par rapport Ă  l’absorbance dans la dĂ©tection de composĂ©s est la sensibilitĂ© des mĂ©thodes. En effet, les mĂ©thodes de dĂ©tection par Ă©mission de fluorescence sont jusqu’à 1000 fois plus sensibles que les mĂ©thodes d’absorption. Effectivement, en fluorescence, la puissance rayonnante Ă©mise est proportionnelle Ă  l’intensitĂ© de la source lumineuse, tandis qu’en absorbance la puissance rayonnante est indĂ©pendante de l’intensitĂ© de la source[5]. D'autres avantages en fluorescence sont les facteurs augmentant la fluorescence. Ceux-ci sont les impuretĂ©s et les complexations. En effet, des impuretĂ©s ou des agents complexant, peuvent augmenter la fluorescence Ă©mise en augmentant la rigiditĂ© des molĂ©cules.

Un inconvĂ©nient de la fluorescence est la diminution de la puissance rayonnante Ă©mise ou « quenching ». Des agents quenchants peuvent diminuer la fluorescence en brisant des liens d’une molĂ©cule, et donc en diminuant sa rigiditĂ© et par le fait mĂȘme, sa fluorescence. Aussi, l’augmentation de la tempĂ©rature peut avoir un effet quenchant sur l’émission de fluorescence. Effectivement, plus la tempĂ©rature augmente, plus il y a de collisions efficaces entre les molĂ©cules de solvant et de solutĂ©, diminuant ainsi la fluorescence[7].

Fonctionnement de la technique

La mĂ©thode de vapeur froide pour analyser le mercure est une technique qui est considĂ©rĂ©e simple. Au dĂ©part, il y a prĂ©sence de mercure ionique dans la solution acide. Celui-ci sera par la suite rĂ©duit par un ion stanneux dans l’idĂ©e d’avoir dorĂ©navant le mercure Ă  l’état fondamental. MalgrĂ© la simplicitĂ© de la technique, il y a plusieurs facteurs qui peuvent affecter une analyse[9].

Principe théorique

Pour cette technique, l’échantillon que l’on veut analyser doit ĂȘtre sous forme de solution aqueuse. Si ce n'est pas le cas, une digestion doit ĂȘtre faite pour le solubiliser. Comme c’est une mĂ©thode spĂ©cifique pour le mercure, l’analyte dont il sera question pour expliquer le fonctionnement de la mĂ©thode sera le mercure.

Donc, une fois le mercure en solution, il est insĂ©rĂ© dans un systĂšme oĂč il sera rĂ©duit par une digestion acide. Pour ce faire, il est aspirĂ© dans un tube Ă  l’aide d’une pompe pĂ©ristaltique. Dans un deuxiĂšme tube, un agent rĂ©ducteur, tel que du chlorure stanneux, est aspirĂ©. Les deux tubes se rejoignent dans une boucle de mĂ©lange, ou encore dans une chambre de rĂ©action, oĂč la rĂ©action entre les deux rĂ©actifs se produit. L’agent rĂ©ducteur rĂ©duit le mercure Ă  son niveau d’oxydation le plus bas, soit en Hg0 :

Si le mercure fait partie d’une molĂ©cule plus complexe, la rĂ©action de rĂ©duction permet de le libĂ©rer de celle-ci[3].

Un gaz vecteur est insĂ©rĂ© dans le systĂšme afin de faciliter le mĂ©lange entre le Hg et l’agent rĂ©ducteur. Il permet aussi d’entraĂźner le mĂ©lange dans une chambre de sĂ©paration gaz/liquide[3]. On utilise un gaz vecteur inerte pour transporter le mĂ©lange dans cette chambre de sĂ©paration, oĂč le gaz utilisĂ© est barbotĂ© dans le mĂ©lange. À la suite de la rĂ©action de rĂ©duction, le mercure se retrouve sous forme gazeuse, donc le gaz entraĂźne le mercure avec lui lorsqu'il est barbotĂ© dans le mĂ©lange. Il est important d’utiliser un gaz noble pour cette mĂ©thode puisque ceux-ci sont inertes, afin de s’assurer que le signal absorbĂ© et Ă©mis dans le dĂ©tecteur de fluorescence provient uniquement de l’analyte et non du gaz. 

Une fois que le mercure est entraĂźnĂ© sous forme gazeuse, il est transportĂ© par le gaz Ă  travers un sĂ©choir. Celui-ci permet de s’assurer que le mĂ©lange gazeux ne soit pas saturĂ© en vapeur d’eau ou encore qu’il ne condense pas plus loin dans le systĂšme. Comme cette technique est trĂšs sensible, le sĂ©chage du mĂ©lange gazeux est important, car il permet de rĂ©duire les possibilitĂ©s d’interfĂ©rences. Pour sĂ©cher, on introduit un second courant du mĂȘme gaz vecteur dans le sĂ©choir. Il est aussi possible de le chauffer lĂ©gĂšrement[5] - [4].

Par la suite, l’échantillon arrive Ă  une valve oĂč il peut, ou non, passer dans un amalgameur d’or. S’il passe par le chemin oĂč se trouve l’amalgameur d’or, il est piĂ©gĂ© sur celui-ci. L’amalgameur agit comme une trappe afin de concentrer l’échantillon avant son entrĂ©e dans le dĂ©tecteur de fluorescence. Une fois qu’il y a assez de mercure accumulĂ©, une lĂ©gĂšre impulsion de chaleur est donnĂ©e pour libĂ©rer le mercure. Ainsi, il est possible d’avoir un signal plus fort pour les Ă©chantillons oĂč la concentration en mercure serait Ă  l’état de trace. Si la concentration de l’échantillon est assez grande pour ĂȘtre au-dessus de la limite de dĂ©tection, il faut simplement placer la valve dans la position qui permet au mercure de contourner l’amalgameur d’or[2] - [3] - [4].

Figure 4. Schéma d'un montage de CVAFS.
Figure 5. Lecture de l'énergie de fluorescence à 90 degré.

Une fois l’échantillon rĂ©duit, vaporisĂ© et concentrĂ©, il entre finalement dans la cellule de fluorescence. Un rayon incident de longueur d’onde d’excitation de 253,7 nm est absorbĂ© par le mercure. Les Ă©lectrons de la couche de valence sont donc excitĂ©s et montent Ă  un niveau Ă©nergĂ©tique supĂ©rieur. Ils redescendent ensuite Ă  leur Ă©tat fondamental, Ă©mettant ainsi l’énergie absorbĂ©e. En revenant Ă  leur Ă©tat fondamental, l’énergie Ă©mise est lue Ă  un angle de 90° par rapport au rayon incident pour Ă©viter de fausser la mesure en lisant l’énergie Ă©mis par la source (Figure 5)[2] - [3] - [4].

La fluorescence est Ă©mise de façon Ă©gale dans toutes les directions et son intensitĂ© est proportionnelle Ă  la concentration en mercure. Le dĂ©tecteur reçoit un signal continu, car des vapeurs de mercure sont gĂ©nĂ©rĂ©es aussi longtemps qu’il y a des rĂ©actifs[3].

Performance de l'appareil

La spectroscopie de fluorescence atomique Ă  vapeur froide (CVAFS) est une mĂ©thode qui permet des analyses trĂšs sensible. On constate que cette mĂ©thode offre une gamme dynamique qui est plus large que ce que permet la spectroscopie d’absorption atomique Ă  vapeur froide. De plus, l’avantage de la mĂ©thode par fluorescence est que la limite de dĂ©tection se trouve infĂ©rieure Ă  des ppt. Il existe deux types de configuration pour l’instrument CVAFS. Pour la premiĂšre configuration, il s’agit d’utiliser la dĂ©tection de fluorescence atomique. Cette technique permet une limite de dĂ©tection aux alentours de 0,2 ppt. En ce qui concerne le deuxiĂšme type de configuration, un systĂšme d’amalgamation d’or est utilisĂ©. Celui-ci a pour objectif de prĂ©-concentrer le mercure avant qu’il arrive Ă  la dĂ©tection de fluorescence atomique. Pour cette mĂ©thode, la limite de dĂ©tection s’oriente davantage vers 0,02 ppt[4].

Avantages et Inconvénients

Le mercure est un Ă©lĂ©ment qui est crĂ©Ă© naturellement et il est en trace dans l’environnement. Il provient de la croĂ»te terrestre, par sources anthropiques, c’est-Ă -dire, les activitĂ©s humaines. Par exemple, le dĂ©gazage naturel est une des contaminations les plus importantes pour le mercure, soit avec des Ă©missions allant jusqu’à 6000 tonnes par an[10]. Ainsi, dĂ» au fait que le mercure est un Ă©lĂ©ment toxique qui provoque beaucoup de contaminations Ă  l’état de trace, il est important, malgrĂ© tout, d’avoir accĂšs Ă  des instruments sensibles.

La spectroscopie d'absorption atomique fait davantage face Ă  des interfĂ©rences dues Ă  l’effet de trempe lors de l’analyse, ce que la fluorescence n’est pas influencĂ©[11]. Ainsi, dĂ» au fait que des traces sont analysĂ©es de l’ordre des ppt, l’analyse ne doit pas ĂȘtre affectĂ©e par des interfĂ©rences. La spectroscopie par fluorescente est Ă  la base, une des mĂ©thodes les plus sensibles pour analyser le mercure dans l’environnement, soit dans les eaux, les sols et dans l’air. Donc, la spectroscopie par fluorescence atomique Ă  vapeur froide est une technique qui a Ă©tĂ© crĂ©Ă©e pour amĂ©liorer la sensibilitĂ© de la mĂ©thode, sa limite de dĂ©tection, ainsi que son automatisation[12]. La mĂ©thode de spectroscopie par fluorescence est alors plus sĂ©lective et sensible que pour la mĂ©thode d’absorption atomique. De plus, la mĂ©thode CVAFS permet d’ĂȘtre linĂ©aire sur une gamme de concentration qui est jusqu'Ă  105 fois plus large[13].

Cette mĂ©thode a des inconvĂ©nients quant au fait, que toutes les espĂšces molĂ©culaires sont prĂ©sentes dans le gaz porteurs. Par exemple, ceux qui sont en grande quantitĂ© sont l’O2 et le N2. L’inconvĂ©nient de leur prĂ©sence dans le gaz porteur, est que ceux-ci diminuent le signal de fluorescence. Par ce fait, les rĂ©sultats sont affectĂ©s. Une des techniques qui a Ă©tĂ© crĂ©Ă©e pour contrer cet effet nĂ©gatif, est d’utiliser des piĂšges d’or, ayant l’objectif de rĂ©colter le mercure qui provient du flux de gaz de combustion. En chauffant par la suite, le mercure est extrait de l’or et celui-ci est transportĂ© au dĂ©tecteur Ă  l’aide d’un gaz porteur inerte. Ainsi, le signal de la fluorescence n’est plus affectĂ© par les espĂšces molĂ©culaires du gaz porteur et permet une analyse plus sensible et avec une limite de dĂ©tection de < 0,1 pgm-3[13].

Applications

Problématique du mercure dans l'environnement

Le mercure est problĂ©matique dans l’environnement puisqu’il est toxique. Il est donc important de pouvoir le doser de façon fiable. En effet, il se retrouve dans l’environnement dĂ» Ă  des sources anthropiques ainsi qu’en infime quantitĂ© par les microorganismes qui en produisent. Ainsi, puisque les sources industrielles Ă©mettent du mercure, celui-ci peut s’évaporer facilement et ĂȘtre transportĂ© par les vents. Donc, la contamination peut ĂȘtre trĂšs large, comme elle peut ĂȘtre localisĂ©e. Aussi, comme il est possible de le voir dans le cycle biogĂ©ochimique du mercure dans l’environnement, le mercure subit plusieurs transformations dans l’environnement, soit sous forme organique (sous sa forme mĂ©thylĂ©) ou inorganique[1].

Figure 6. Méthylmercure avec un halogénure.

C’est le mĂ©thylmercure qui est la forme la plus toxique et la plus bioaccumulable, c’est-Ă -dire qui s’accumule dans les organismes de la chaĂźne alimentaire[1]. Ainsi, mĂȘme s’il n’est prĂ©sent qu’en petite quantitĂ© dans l’eau, sa concentration augmente avec les niveaux de la chaĂźne alimentaire. De plus, lorsqu’il est ingĂ©rĂ© via du poisson, par exemple, le mĂ©thylmercure est absorbĂ© en majoritĂ© dans l’estomac, passe par le tractus intestinal, puis par le systĂšme sanguin qui le distribue dans tout l’organisme[1]. Le mercure sous sa forme mĂ©thylĂ© peut passer la barriĂšre hĂ©mato-encĂ©phalique pour accĂ©der au cerveau et chez les femmes enceintes, il peut passer la barriĂšre placentaire et atteindre le fƓtus[1]. Ainsi, chez les enfants Ă  naĂźtre, le mĂ©thylmercure peut causer des dĂ©gĂąts neurologiques, des retards mentaux et peut interagir avec le dĂ©veloppement des enfants[1].

Références

  1. Gouvernement du Canada, « Le mercure : Votre santé et l'environnement : Outil de ressources », sur Gouvernement du Canada,
  2. An Introduction to Fluorescence Spectroscopy, Buckinghamshire, United Kingdom, PerkinElmer,
  3. Douglas A. Skoog, Fundamentals of analytical chemistry., Belmont, CA, Thomson-Brooks/Cole, , 8e Ă©d. (ISBN 0-03-035523-0, OCLC 52942967, lire en ligne)
  4. Kriszta Venczel et BĂ©la G. LiptĂĄk, Instrument and automation engineers' handbook. Volume II, analysis and analyzers, Boca Raton, United States, CRC Press, , Fifth edition Ă©d. (ISBN 978-1-4987-2768-6, OCLC 960706941, lire en ligne)
  5. Douglas A. Skoog (West, Donald M., Holler, F. James., Crouch, Stanley Ross, (1940- ...)., Buess-Herman, Claudine., Dauchot-Weymeers, Josette.), Chimie analytique, Bruxelles, Groupe De Boeck, , 2e Ă©d. (ISBN 978-2-8041-6295-5 et 2-8041-6295-8, OCLC 800555918, lire en ligne)
  6. J. D. Winefordner et T. J. Vickers, « Atomic Fluorescence Spectroscopy as a Means of Chemical Analysis. », Analytical Chemistry, vol. 36, no 1,‎ , p. 161–165 (ISSN 0003-2700, DOI 10.1021/ac60207a052, lire en ligne)
  7. Gwenola Burgot et Jean-Louis Burgot, MĂ©thodes instrumentales d'analyse chimique et applications : mĂ©thodes chromatographiques, Ă©lectrophorĂšses et mĂ©thodes spectrales, Paris, Éditions Tec & Doc, , 2e Ă©d., 320 p. (ISBN 2-7430-0878-4, OCLC 71828266, lire en ligne)
  8. Francis Rouessac, Daniel Cruché et Annick Rouessac, Analyse chimique : méthodes et techniques instrumentales modernes : cours et exercices corrigés, Paris, Dunod, , 6e éd. (ISBN 978-2-10-048425-6, OCLC 56928723, lire en ligne)
  9. Douglas E. Shrader et William B. Hobbins, « The Determination of Mercury by Cold Vapor Atomic Absorption », sur Agilent Technologies,
  10. Patricia Cava-Montesinos, Eva Ródenas-Torralba, Ángel Morales-Rubio, M. Luisa Cervera et Miguel De la Guardia, « Cold vapour atomic fluorescence determination of mercury in milk by slurry sampling using multicommutation. », Spain, Department of Analytical Chemistry, Faculty of Chemistry, University of Valencia, Research Building,
  11. « Atomic absorption spectrometry technology », Mercury Instruments USA
  12. Kozin L. F. et Steve C. Hansen, Mercury Handbook : Chemistry, Applications and Environmental Impact, Cambridge, RSC Publishing, , 219 p. (ISBN 978-1-84973-409-7, OCLC 868916960, lire en ligne)
  13. Evan J. Granite, Henry W. Pennline et Constance Senior, Mercury control : for coal-derived gas streams, Weinhem, Germany, Wiley-VCH, , 480 p. (ISBN 978-3-527-32949-6, OCLC 890796156, lire en ligne)
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