Sonia Mertens
Biographie
Elle apparait dans la troupe du Théâtre royal de la Monnaie dirigée à l'époque par François Ambrosiny pour la saison 1928-1929.
Elle est soliste en 1931-1932. En fin de saison, elle occupe le même rang que G. d'Astra et M. Coeck dans le ballet en un acte de Herman Terlinck Paris et les trois divines – où le rôle de Pâris est encore interprété par une femme : la danseuse Bella Darms. En 1993, l'hebdomadaire Pourquoi Pas ? l'annonce comme étoile[1], mais en 1936, elle n'est que première danseuse de caractère[2].
Professorat
Elle disparait du répertoire des danseuses du théâtre pour sa réouverture (saison 1941-1942)[3]. Elle ouvre son école de danse où elle va former, notamment, Jacques Sausin et Christiane Vander Motte[4].
Notes et références
- « La revanche de l'opérette », dans Pourquoi Pas ?, hebdomadaire belge du 9 juin 1933, p. 1449.
- « Une fête artistique au profit de la Caisse des pauvres de Pourquoi Pas ? », dans Pourquoi Pas ?, hebdomadaire belge du 6 novembre 1936, p. 3223.
- Jules Salès, Théâtre royal de la Monnaie 1856-1870, Éd. Havaux, Nivelles, 1971
- Christiane Vander Motte, Chronique d'un harcèlement littéraire, Publibook, 2007, p. 393
Liens externes
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