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Soixante, soixante-deux

Soixante, soixante-deux est une chanson d'Eddy Mitchell, Ă©crite sur une musique de Pierre Papadiamandis et parue en 1987, sur l'album Mitchell.

Soixante, soixante-deux

Pistes de Mitchell

Histoire

Avec Soixante, soixante-deux, Eddy Mitchell rappelle que le début des années 1960, n'a pas seulement été pour les jeunes gens de sa génération l'avènement du rock 'n' roll, les filles et les surprises-parties, mais que ces « années d'insouciance[1] », étaient aussi celles de la mobilisation des appelés du contingent pour la Guerre d'Algérie[2], les affrontements entre OAS et FLN...

« [...] Y a pas que le sable qui sent chaud, Y a surtout le grain de ta peau
M'apprendre Ă  tuer, Quand j'veux t'aimer, Et rester ici
Tous dans l'même bateau, J'préfère les Naufrageurs
L'Algérie c'est beau, Oui mais vue du Sacré-Cœur

Soixante, soixante-deux, Quelque part ça m'fait peur
Soixante, soixante-deux, Y avait pas que des rockers
Terrorisme et O.A.S., Infos d'Ă©poque, R.A.S
La vérité sur ces années est encore tabou [...] »

(texte Claude Moine)

Autour de la chanson

Le vers « Tous dans l'mĂŞme bateau, J'prĂ©fère les Naufrageurs  Â», est une allusion au film de Cecil B. DeMille Les Naufrageurs des mers du sud.

Eddy Mitchell, en 1977, avec la chanson Et la voix d'Elvis, aborde/effleure déjà cette période.

En 1994, le chanteur consacre un roman autobiographique Ă  cette Ă©poque P'tit Claude.

Discographie

Discographie live :

1990 :

Notes et références

Liens internes

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