Le schéma national d’infrastructures de transport (SNIT) est un outil de planification des projets d'aménagement du territoire français visant à développer les transports ferroviaire et fluvial, mais également certains aménagements aéroportuaires et routiers.
Caractéristiques
Le SNIT[1] est écrit par le ministère de l'Écologie, du Développement durable et de l'Énergie, via sa Direction générale des infrastructures, des transports et de la mer.
Le , le Conseil économique, social et environnemental a jugé « très insuffisant » l'impact écologique des projets de l'Etat. Le total des investissements concentrées à travers ce plan se chiffre à 254 milliards d'euros [2]. Une grande partie de cette somme est allouée à la construction de Ligne à grande vitesse.
Le , le ministre des transports Frédéric Cuvillier annonce sa refonte pour 2013 avant de prioriser les différents projets[3] et de baisser le coût global.
Le , le contenu du SNIT correspond à des projets dont le coût a été évalué à près de 245 milliards d'euros sur 25 ans. Il est en cours de révision par la « commission Mobilité 21 » chargée de trier, hiérarchiser, et mettre en perspective ces grands projets infrastructures[4].
Notes et références
- Direction Générale des Infrastructures, des Transports et de la Mer ; Schéma national des infrastructures de transport, PDF, 196 pages
- https://www.lesechos.fr/entreprises-secteurs/auto-transport/actu/0201922322292-transports-un-schema-national-bien-moins-vert-que-prevu-295959.php
- « Refonte du Snit : les premières réflexions de la commission Mobilité 21 », sur Actu-Environnement, Actu-environnement (consulté le ).
- https://www.ecologique-solidaire.gouv.fr/priorisation-des-nouvelles-infrastructures-transport-commission-mobilite-21 Priorisation des nouvelles infrastructures de transport - Commission Mobilité 21 (www.ecologique-solidaire.gouv.fr)