Saint Siméon

Par ordre chronologique du décès :

• Syméon ou Siméon le Sage (I^er siècle), vieillard qui accueillit l'enfant Jésus au Temple de Jérusalem ; fêté le 3 février[1].
• Siméon de Jérusalem († vers 106 ou 111), deuxième évêque de Jérusalem, réfugié à Pella, martyr ; fêté le 18 février[2] ou le 27 avril[3].
• Simon bar Sabbae et ses compagnons, morts en 344 en Perse.
• Siméon le Stylite (°392 - †459) ou Syméon l'Ancien, ascète au Mont Amane près d'Antioche ; fêté le 26 janvier en Occident[4] et le 1^er septembre en Orient[5].
• Syméon d'Émèse († vers 590), et Jean d'Émèse, fols-en-Christ ; fêtés le 21 juillet[6] - [7].
• Siméon Stylite le Jeune (°521 - †592 ou 597 ?), né à Antioche dans une famille de parfurmeur, anachorète ; fêté le 24 mai[8].
• Siméon de Vaucé († vers 850), prêtre, ermite à Vaucé, non loin de Domfront dans le Passais (Comté du Maine) ; fêté le 7 décembre.
• Siméon de Padolirone († 1016) ;
• Syméon le Nouveau Théologien († 1022), moine et higoumène (abbé) à Constantinople ; fêté le 12 mars[9].
• Siméon de Trèves († 1035), mène une vie d’ermite à Bethléem et au Mont Sinaï, pèlerine longtemps et meurt dans la Porte Noire de Trèves[10].
• Syméon de Thessalonique (XV^e siècle), archevêque ; fêté le 15 septembre.
• Syméon de Trébizonde († 1644 ou 1653), né à Trébizonde, fondeur d'or, martyr à Constantinople par la main des Musulmans, mais à la demande des Juifs ; fêté le 14 août[11].

Et aussi :

• Syméon Métaphraste († ?), hagiographe byzantin ;
• Siméon de Metz († ?), évêque de Metz.