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SOS: The Final Escape

SOS: The Final Escape (絶体絶命都市, Zettai Zetsumei Toshi, littéralement : La Ville désespérée), ou Disaster Report en Amérique du Nord, est un jeu vidéo d'action-aventure et de survie, développé par Irem sur PlayStation 2. Il est sorti au Japon le , puis en Europe en et en Amérique du Nord en .

SOS
The Final Escape


Date de sortie
JAP : 25 avril 2002
EUR : Novembre 2002
AN : Février 2003

Langue
Français (textes)
Anglais (voix)

Évaluation
CERO : C ?
ELSPA : 11-14
ESRB : T ?
SELL : Pour tous publics
Site web

Le jeu met en scène divers personnages qui tentent de survivre et de s'échapper d'une île artificielle construite sur l'Océan Pacifique, qui s'effondre inéluctablement. Le joueur incarne Keith Helm, un jeune reporter qui doit enquêter sur les causes de la catastrophe, tout en essayant de se frayer un chemin hors de l'île, en évitant les immeubles qui s'écroulent autour de lui et les débris provoqués par les fréquents tremblements de terre.

Il a connu trois suites.

Système de jeu

Le joueur contrôle Keith Helm en vue à la troisième personne. L'état du personnage est symbolisée par deux jauges, présentes en haut à gauche de l'écran : une jauge de PV, verte, qui indique sa santé, et une jauge de QP, bleue, divisée en dix segments, qui indique la quantité d'énergie qui lui reste. L'énergie du personnage s'épuise progressivement lorsqu'il court ou effectue d'autres tâches épuisantes. Pour recouvrer de l'énergie, Keith doit boire de l'eau, faute de quoi sa santé se détériorera petit à petit. Keith peut boire de l'eau potable aux robinets disposés un peu partout sur son chemin, ce qui fait remonter entièrement sa jauge de QP. Parfois, l'eau des robinets est boueuse. Si Keith la boit malgré tout, sa jauge d'énergie est restaurée, mais il perd quelques points de santé en contrepartie. Keith peut aussi emporter des provisions d'eau en remplissant des bouteilles vides, bouteilles qu'il pourra ensuite consommer lui-même ou donner au personnage qui l'accompagne.

Le but du jeu est de se déplacer à travers l'île, tout en évitant les dangers et en trouvant de nouveaux chemins dans situations en apparence insurmontables. Lorsqu'une secousse sévit, le joueur doit s'accroupir, afin de garder sa stabilité et ne pas se blesser, voire perdre la vie. Le joueur peut modifier ou combiner certains objets qu'il trouve pour avancer dans sa quête, ou changer l'apparence de Keith. Les objets sont rangés dans un sac à dos, doté d'un nombre limité d'emplacements (de plus grands sacs peuvent être trouvés).

Keith est accompagné par diverses personnes. Arrivé à un certain stade du jeu, Keith doit choisir entre Karen et Kelly, un choix qui influencera l'histoire du jeu et les différentes zones à explorer.

La version japonaise du jeu est un des rares titres à être compatible avec le Trance Vibrator. Cet accessoire vibrant, fourni exclusivement avec l'édition spéciale japonaise de Rez sur PlayStation 2, permet au joueur de ressentir les secousses se produisant dans le jeu.

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Aperçu des notes reçues
Presse papier
Média Note
Consoles + (FR) 85 %[1]
Edge (UK) 7 / 10[2]
Jeux vidéo Magazine (FR) 10 /20[3]
Joypad (FR) 7 / 10[4]
7 / 10[5]
Presse numérique
Média Note
Eurogamer (UK) 6 / 10[6]
Gamekult (FR) 7 / 10[7]
GameSpot (US) 6,7 / 10[8]
IGN (US) 6,3 / 10[9]
Jeuxvideo.com (FR) 14 / 20[10]
Agrégateurs de notes
Média Note
Metacritic 66 / 100[11]

Notes et références

  1. Cony (Nicolas Guerdin), « Test - SOS The Final Escape », Consoles +, no 131, , p. 102.
  2. (en) Rédaction d'Edge (article non signé), « Testscreen - Zettai Zetsumei Toshi », Edge, no 113, , p. 92.
  3. Jacques Faure, SOS: The Final Escape - Survival error, décembre 2002, Jeux Vidéo Magazine n°27, p. 114.
  4. Greg (Grégoire Hellot), « Test - SOS The Final Escape », Joypad, no 125, , p. 146.
  5. Greg (Grégoire Hellot), « Zoom - Zettai Zetsumei Toshi (test import Japon) », Joypad, no 120, , p. 102.
  6. (en) Kristan Reed, « SOS: The Final Escape Review - Kristan becomes Keith and tries to escape a crumbling city », sur Eurogamer, (consulté le ).
  7. Puyo (Nicolas Verlet), « Test : S.O.S : The Final Escape », sur Gamekult, (consulté le ).
  8. (en) Ryan Davis, « Disaster Report Review - Disaster Report is ultimately a flawed game, but its original premise and varied mix of gameplay create a refreshing experience nonetheless. », sur GameSpot, (consulté le ).
  9. (en) Jeremy Dunham, « Disaster Report - Undeniable proof that a terrific idea doesn't necessarily equal a terrific game. », sur IGN, (consulté le ).
  10. Romendil (Valérie Précigout), « Test : SOS : The Final Escape », sur Jeuxvideo.com, (consulté le ).
  11. « Disaster Report for PlayStation 2 Reviews », sur Metacritic (consulté le ).
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