Rumeen Farhana
Rumeen Farhana, née au Bangladesh dans le district de Brahmanbaria le , est une femme politique bangladaise, avocate de profession. Elle est députée, au titre des sièges réservés pour cinquante femmes élues[1] - [2] au parlement, le Jatiya Sangsad[3] - [4] - [5].
Député au Jatiya Sangshad 11th Jatiya Sangsad (en) Women’s Reserved Seat-50 (d) | |
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- | |
Khorshed Ara Haque (en) Afroza Haque Rina (en) |
Naissance | |
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Nom dans la langue maternelle |
রুমিন ফারহানা |
Nationalité | |
Formation |
Viqarunnisa Noon College (en) Université de Londres |
Activités | |
Père |
Oli Ahad (en) |
Parti politique |
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Biographie
Jeunesse et formation
Farhana naît à Islampur le dans le district de Brahmanbaria. Son père, Oli Ahad , est un homme politique du Bangladesh. Après ses études secondaires à Holy Cross School et la poursuite de ses études à Viqarunnisa Noon School and College, elle finalise sa formation supérieure en droit à l'Université de Londres. Elle obtient ensuite son diplôme de barrister à Lincoln's Inn au Royaume-Uni.
Carrière
Rumeen Farhana devient la secrétaire centrale des affaires internationales du Parti nationaliste du Bangladesh (BNP)[6].
En tant qu'avocate « barrister », elle exerce ses fonctions juridiques auprès de la Haute Cour du Bangladesh. Lors de la onzième élection au Jatiya Sangsad, elle a représenté le parti du BNP[7] en tant que la seule femme élue membre du parlement pour ce parti[8] - [9].
En raison d'irrégularités généralisées lors des élections législatives bangladaises de 2018[10], Rumeen Farhana est l'une des sept membres du parlement à faire partie du BNP, le principal parti d'opposition du Bangladesh jusqu'en 2014, et l'un des deux principaux partis politiques de l'ère démocratique du Bangladesh de 1991 à 2014[11] - [12] jusqu'aux actions contre les dirigeants de l'opposition[13], et l'incarcération de l'ancienne Premier ministre Begum Khaleda Zia[14] affaiblit sérieusement le parti.
Rumeen Farhana est membre de l'Association des avocats de Dacca[15]. Elle est également connue comme écrivaine et journaliste bangladaise, en droit et en politique.
En 2019, Rumeen Farhana demande l'attribution d'une parcelle de terrain de 10 katha dans le Purbachal de Dacca auprès du gouvernement. Tout membre du parlement peut normalement postuler pour une telle attribution, mais sa demande a été divulguée par le ministère, ce que Rumeen Farhana a supposé avoir été délibérément fait par le ministère en raison de sa position en tant que membre du parti d'opposition[16].
Références
- « BNP's Rumeen takes oath », Dhaka Tribune (consulté le )
- « BNP's Rumeen takes oath as MP », New Age (consulté le ).
- « List of 11th Parliament Members (Bangla) », parliament.gov.bd (consulté le )
- « BNP's Rumeen Farhana takes oath, demands reelection », The Daily Star (consulté le )
- « Rumeen Farhana unofficially elected: EC secretariat », Daily Sun (consulté le )
- « Rumeen gets BNP's nomination for reserved seats », Samakal (consulté le )
- « BNP MP-elect Rumeen to be sworn-in Sunday », Dhaka Tribune (consulté le ).
- « BNP names Barrister Rumeen Farhana for woman's parliamentary seat », bdnews24.com (consulté le )
- « BNP names Rumeen Farhana for woman's parliamentary seat », Kaler Kantho (consulté le )
- (en-US) Ganguly, « The World Should Be Watching Bangladesh's Election Debacle », Foreign Policy (consulté le )
- Maniruzzaman, « The Fall of the Military Dictator: 1991 Elections and the Prospect of Civilian Rule in Bangladesh », Pacific Affairs, vol. 65, no 2, , p. 203–224 (ISSN 0030-851X, DOI 10.2307/2760169, JSTOR 2760169)
- Syed Tashfin Chowdhury, « Violent Bangladesh poll 'not credible' », Al Jazeera (consulté le ).
- « Govt takes hardline », The Daily Star, (consulté le ).
- « Bangladesh Opposition Leader Zia in Prison a Year », Human Rights Watch, (consulté le )
- (bn) « ব্যারিস্টার রুমিন ফারহানা » [« Avocat Rumin Farhana »], Kaler Kantho (consulté le )
- « Why only me? BNP MP Rumeen asks as her land application goes viral », bdnews24.com (consulté le ).
- (en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « Rumeen Farhana » (voir la liste des auteurs).